Bart Simpson, tome 1 : Prince de la farce

Qui ne connaît pas Bart Simpson et ses intrépides mésaventures ?
Dans cette bande dessinée, nous suivons au cours de plusieurs petites histoires, les mésaventures de Bart Simpson, qui, il faut bien l'avouer, est souvent responsable de ce qui lui arrive. Rien que la couverture de ce livre, met tout de suite dans le bain, et le reste de la lecture est équivalente à cette scène.
J'ai particulièrement aimé l'histoire du cinéma, qui m'a fait sourire plus d'une fois.
j'aime ce genre d'humour, qui met en scène des enfants capables de mettre le chaos à travers le monde et avec une insouciance presque agaçante.

Dans la famille Simpson, je demande Bart ! Pas Homer, le père loufoque, pas Marge la mère au chignon en banane, pas cette surdouée de Lisa, ni cette Maggie qui suce continuellement sa sucette, non je demande Bart, le fauteur de troubles et là, il va s'éclater !!!
Plusieurs épisodes aux couleurs fluos, où l'on passe :
à un Bart-Tarzan qui boit à la paille son jus de coco, puis secourt une Jeanne rousse trognon encerclée de pirates style "Caraïbes" et de lions qui grincent des crocs. RRR !!!! L'or de la cité interdite fond et engloutit tout ce qui bouge. SPLORCH !!!
à un Bart blagueur dans un cadre plus scolaire.HUM! HUM!
à un Bart cinéphile qui a une trouille bleue des monstres et en rêve la nuit
à un Bart inventeur de virus électronique qui met en scène le professeur Frick aux yeux bridés qui aura du malà stopper les cataclysmes qui ne vont pas tarder à s'abattre sur le monde.
Non ce n'est pas lourd, c'est du Simpson et lorsqu'on est fan... on rit

J'adore la série télévisée des Simpsons et plus particulièrement Bart qui me fait beaucoup rire avec ses blagues. Donc, quand j'ai trouvé ce livre au salon de la BD de ma ville, je me suis dit que sa allait être une lecture amusante ou du moins divertissante. Eh bien, je me suis trompée. Sur la petite dizaine de sketchs, seul un m'a fait sourire. Certaines histoires sont un peu redondantes. Bref, une petite déception sur laquelle je n'épiloguerais pas plus.
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