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3,34

sur 1636 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Tout au long de l'histoire j'ai senti qu'il y avait une histoire qui allait se reveler mais qu'à la fin n'arrive pas. La fin je n'ai pas aimé car à mon avis il y eu plusieurs choses de l'histoire de Rosemarie qui restent jusqu'à la fin comme un mystère.
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charmant mais pas inoubliable
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Lecture juste agréable, pour moi, qui ne restera pas, c'est certain, inoubliable. La couverture m'a davantage plu que l'intérieur, presque indigeste ... Dommage ... Je suis passée à côté de l'engouement général ...
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Des personnages féminins sur trois générations, attachants et denses,
mais j'ai moins aimé le tempo de l'ensemble, cette mélancolie poussiéreuse, cette lente et longue déambulation dans les pièces de la maison et dans les souvenirs de la mémoire.
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Ce roman commençait bien.
On se retrouve avec une famille "de femmes", ce que j'apprécie toujours, puisque ma propre famille est majoritairement féminine.
La maison de Bertha est un autre point fort du récit : elle m'a donné envie de partir à la recherche d'une vieille demeure du même genre, avec un verger plein de vieux pommiers.
Ce sont les seuls points positifs que j'ai trouvés à ce roman...
De nombreuses questions sont soulevées, auxquelles on ne nous apporte aucune réponse. Les "secrets" de famille qui nous sont révélés sont finalement assez communs et, étant donné la qualité de l'écriture de l'auteure, je m'attendais franchement à ce qu'elle fasse preuve d'un peu plus d'imagination en ce qui concerne les cachotteries de ses personnages !
Quelques redondances sont également venues alourdir un récit qui n'en avait réellement pas besoin : je n'ai plus compté les fois où l'héroïne part se baigner et se retrouve nue face au frère d'une de ses amies d'enfance.
Vite lu mais vite oublié, ce roman ne m'a pas laissé un souvenir impérissable malgré son bon début. Dommage.
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Hagena Katharina - "Le goût des pépins de pomme", traduit de l'allemand par Bernard Kreiss - éditions Anne Carrière (268 pages) ; publication originale : «Der Geschmack von Apfelkernen» (Kiepenheuer & Witsch, Köln, August 2009 - 272 S., ISBN 978-3-462-04149-1).

Ce tout premier roman de cet auteur a connu un succès phénoménal en Allemagne : 250.000 exemplaires vendus en quelques semaines, si bien que les éditeurs se sont empressés de le faire traduire rapidement dans une multitude de langues. Au total, à ce jour, environ 800.000 exemplaires vendus dans le monde, dont 55.000 en France en à peine cinq mois.

Un roman allemand, traitant (apparemment) de réalités allemandes, qui se vend autant et si rapidement en France, ne pouvait qu'attirer mon attention. de surcroît, la quatrième de couverture promettait un récit traitant grosso modo de la mémoire familiale… Hélas, trois fois hélas !
C'est un bon roman de divertissement, un «Unterhaltungsroman» bien écrit : notons que la traduction française, faite à la hâte, ne rend pas tout à fait compte de la qualité de l'écriture quelque peu poétique du texte. Mais à part ça, il ne s'agit guère que d'une gentille bluette, à la « terrrrrible » exception près du mot «nazi» qui apparaît sur le mur du poulailler mais que les deux protagonistes font disparaître rapidement sous plusieurs couches de peinture en batifolant. Les mauvaises langues pourraient même penser que le fait de n'absorber dans l'intrigue que les destins particuliers de trois donzelles (aussi tragiques soient-ils) de l'après-guerre, cadrés dans celui des trois dernières générations féminines issues de Bertha, ne sert qu'à dissimuler ou éviter une fois de plus l'interrogation sur les conséquences de ce passé hitlérien.

Le côté le plus gentillet réside dans la description des sensations olfactives, gustatives, visuelles, tactiles et même auditives engendrées par le jardin, la vieille maison et les anciennes robes, reflets d'une écriture typiquement féminine ? (en tout cas, ce genre de description constitue un véritable régal chez Colette).
Tout est bien qui finit bien, Iris et Max se marièrent et eurent beaucoup d'enfants.
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Un peu ennuyeux ces atermoiements sentimentaux entre femmes dans le cercle familial
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C'est mignon et un peu plat, ça rappelle des souvenirs d'enfance et des vacances amusantes où les enfants faisaient les fous dans les champs et prenaient leur goûter avec de bonnes tartes aux pommes...
A vrai dire, je me suis un peu ennuyée et ces souvenirs d'enfance ne m'ont pas touchés.
Mais je suppose que c'est très personnel...
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Iris hérite de la maison de famille à la mort de sa grand mère, avec les souvenirs, les joies et les drames qui s'y sont déroulés au fil des ans...
Un roman bien écrit, mais dont le rythme de la narration était trop lent et nostalgique à mon goût.
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Iris hérite de la maison de sa grand-mère.
Après l'enterrement, elle replonge dans ses souvenirs, et remonte peu à peu le temps.
Je n'ai pas accroché à l'écriture, et me suis souvent emmelée dans la chronologie.
Et chose rare sur ce type de livre, ses souvenirs ne m'évoquent rien, ne me provoquent pas d'agréables réminiscences.

A part la couverture, charmante, pas grand chose ne m'a intéressée, et je suis allée jusqu'au bout parce qu'on me l'avait prêté. (Et aussi parce que j'espérais m'y accrocher plus à mesure).
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