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Un ami me conseille de lire les livres d'Hamilton depuis fort longtemps, j'ai fini par céder. J'ignore s'il y a un ordre logique par lequel il faut entamer les différents cycles, mais j'ai choisi complétement par hasard d'entamer celui de Pandore.
Les 200 premières pages furent particulièrement laborieuse, et j'ai bien failli abandonner. Trop de personnages, trop de destins évoqués, on ne sait pas où l'on va : il n'y a pas de liens apparemment à première vue. Et surtout, je m'attendais à une expédition spatiale, une sorte de huis clos dans l'espace, et c'est en réalité le récit de la préparation d'une expédition, et donc forcément une déception au premier abord.
Mais après avoir passé ce cap des 200 pages, la lecture est bien plus agréable. On fini par avoir une sorte de petit fil rouge des destinées, on comprend un peu mieux où l'auteur veut aller, et le récit à défaut d'être complétement passionnant, se révèle bien sympathique.
Au final, se fut une bonne surprise, et les dernières 100 pages sont vraiment intéressantes et donne envie de continuer.
Je veux la suite !
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Pandore Abusée - Tome 1
(Roman) Style: Science-fiction

Halmilton ... Est un auteur très difficile a lire. J'ai réussi a lire trois livres avant de terminer son livre. Malgré les longueurs, on plonge dans un univers riche mais le style de l'écriture n'est pas pour un publique large mais bien restreins. C'est pour amateur de science-fiction seulement!!!

malgré les imperfections de l'oeuvre. Il y a des moment captivant, l'intrique nous tien accroché. Peter F. Hamilton ne vous laisseras pas indifférent...

Il est seulement un auteur Complexe, emmêlé. Un style embrouillé néanmoins passionnant! Je ne serais définir l'écrivain. Je ne regrette pas la lecture. Cependant le livre est limité aux amateur de science-fiction ... Un récit désordonné , malgré-tout passable, supportable!

Il faut juste avoir le courage de le lire et d'aimer la science-fiction chaotique.
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Cette critique concerne la totalité du cycle de l'étoile de Pandore (4 tomes).

Certains vous dirons que Peter F. Hamilton c'est long. Je dirais que je suis d'accord.
Certains vous dirons que quand c'est long c'est chiant et d'autres que plus c'est long plus c'est bon. Je dirais que je suis entre les deux, je suis plus nuancé et je n'aime pas les choix binaires.
Certains vous diront que Peter F. Hamilton c'est long et chiant. Et je vous dirais que je ne suis pas d'accord. Que parfois oui, quand même, il y a quelques longueurs par-ci par-là. Que les romans gagnerais à être amputé de 100 à 200 pages. Mais au vu de l'aventure épique, la qualité de l'écriture (de la traduction dira-t-on), du traitement des (trop ? Non ça va on s'y fait) nombreux personnages, de l'histoire, du suspense et du plaisir généré (celui de la lecture et celui de retrouver les héros, auxquels ont s'est attaché, lorsque, nouveau tome en main, ont reprend la lecture du cycle).
Parce que oui, il faut faire des pause entre les Tomes. Ne fut-ce que pour éviter l'indigestion Hamiltonienne. J'ai moi même mis environ mis deux ans à lire les 4 tomes (entre temps j'ai lu plein plein d'autres choses, SF, fantasy, fantastique, littérature classique, romans, nouvelles, policier, horreur...). Donc si vous vous lancez dans l'aventure prenez conscience qu'il faut savoir laisser passer du temps entre chacun de ces livres de 800 pages. le risque est de ne pas se souvenir de tel ou tel personnages. « Son nom me dit quelque chose mais... » Et puis 100 pages plus loin : « ha mais oui c'est lui qui avait fait tel chose », parce qu'on se souvient que c'est l'ami d'un tel ou que ce moment rappelé nous avait marqué, bien qu'on ai oublier le nom du ou des personnages y ayant participer.

Pour en venir au roman en lui même.

On a à faire à une agréable aventure faite de découverte et de voyage : découverte des sphères de dyson et voyage jusqu'à là-bas, exploration des chemins Sylfen par Orion, Tochee et Ozzie (vous savez ce gars avec son afro qui est le co-inventeur, avec Nigel Sheldon, des trous de verre et qui possède la moitié de CST – Compression Space Transport).

Une aventure fait de complot : Qui est ce Judas qui s'associe à ceux qui complotent contre le Commonwealth intergalactique ? Qui est cet Arpenteur des étoiles, cet créature énigmatique qui influence la race humaine et dont seul les Gardiens de l'individualité reconnaissent l'existence ? Et MatinLumièreMontagne qui veut éradiquer le Commonwealth et ses habitant afin de se répandre sur toute la galaxie...

Une aventure de conflit militaire : Tant sur terre que dans l'espace, la menace est partout et tout type d'opération doit être mené pour éviter que le Commonwealth ne sombre dans l'oubli. L'action donc bien présente, tout comme le stress lié à l'échec d'une mission.

Une histoire de conflit politique : où luttent les dynasties (ces familles nombreuse dont le plus vieux représentant a parfois plus de 300 ans), le pouvoir politique et militaire (avec la marine) ainsi que diverses organisations criminelles mais aussi les bureaux de la police de Paris…

Une histoire avec de forts liens positifs et... : Une amitié de plus de 300 ans entre Sheldon et Ozzie. Une amitié récente entre ozzie et Orion. Wilson Kime (le troisième homme à avoir posé le pied sur Mars) et sa femme Anna etc.

...avec de fort liens négatif, voire carrément de la haine : L'inspecteur Paula Myo, qui est génétiquement modifié pour être la plus intègre non seulement des services de police mais aussi de toute l'humanité, qui s'oppose vivement à tout ceux qui transgressent les lois tel que les Gardien de l'individualité, Dudley Bose qui tepe sur le système de plusieurs personnes, les personnalité politiques qui s'opposent et se haïssent mais qui se sourient en face à face…

Une histoire de technologie et de science : Sphère de Dyson, trou de vers, vaisseau supraluminique, Champs de forces ultra résistant, armes ultra moderne et dévastatrice, Terraformation, rajeunissement, enveloppement et résurrection, transfert de mémoire (avec édition à la clef, implant cyber, Unisphère et cybersphère (comprendre internet intergalactique)

Un histoire avec des extra-terrestre :Les connus mais mystérieux Silfens, Tochee, seul spécimen connu de sa race qui entre soudainement en jeu, L'ange des hauteur (un vaisseau doté de sa propre conscience), et les Raiels qui vivent en son sein…


Vous l'aurez comprit, on a à faire ici à un space-opera pur et dur. Un univers complet et complexe ou s'entrecroise le destins de plusieurs personnages principaux et secondaire, mais aussi tertiaire (et de toute l'humanité), avec des intrigues différente set sur plusieurs niveaux.

Si tout ceci vous parle peut-être devriez-vous essayer. Sinon lisez le recueille de nouvelles "Manhattan à l'envers" dont le personnage Paula Myo de "L'étoile de Pandore" est un des personnage centrale et qui raconte aussi ce qui se passe avant cette saga.

Sinon le roman Dragon Déchu, qui n'a rien à avoir avec cette saga, est une excellent introduction (de 900 pages tout de même) à l'univers et à l'écriture de Peter F. Hamilton.
Lien : http://p2nix.over-blog.com/2..
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Le début bien poussif d'un space-opera en 4 actes et pas très inventif qui plus est. Trop de digressions noient l'intrigue principale qui semble pourtant intéressante. Cette première partie ne pousse pas à lire la suite.
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Belle entrée en matière, bien qu'un peu complexe au départ avec la multitude de personnages et d'histoires parallèles.
Laisse présager du bon dans le second !
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Jamais je n'ai lu de roman aussi addictif depuis Les chroniques de Krondor de Raymond E. Feist. Et c'était dans un tout autre registre!
Dans l'étoile de Pandore, Peter F. Hamilton nous offre un space opera fabuleux où alliances politiques côtoient invasion extraterrestre, assassinats violents et histoire d'amour, le tout dans un univers futuriste crédible qui donne à réfléchir.

Etant moi-même auteur, je dois avouer que je suis jaloux de Peter F. Hamilton. Si je pense parvenir à appliquer correctement les techniques d'écriture dans mes romans, je suis sûr de ne pas le faire en permanence. Et c'est là qu'Hamilton impose le respect, car il réussit la prouesse de tenir la distance sur 4 tomes soit plus de 2000 pages. Exceptionnel!

La grande force de ce roman est la minutie des descriptions extrêmement graphiques qui parsèment le récit. Hamilton est passé maître pour faire visualiser son univers au lecteur. Du coup, on s'immerge en quelques lignes dans chaque scène.

Il joue également parfaitement avec les époques. Des points de précisions dans une scène permettent de comprendre un contexte historique (bien que futuriste pour nous). Il en profite pour développer ses personnages et leurs vies avant la découverte des "Dyson" (vous comprendrez plus tard...gnark gnark gnark).

J'aime dire que la force d'un récit réside dans les personnages. Je l'explique souvent sur mon blog d'écriture. Selon moi, l'histoire vient en second plan. Hamilton nous offre des personnages charismatiques, attachants et crédibles. La cohérence de la psychologie des personnages est assez impressionnante.

Dans cette pléiade digne de Game of thrones, les femmes tiennent une place prépondérante. En effet, plutôt que de s'efforcer à les faire ressembler à des hommes, il exploite l'idée qu'hommes et femmes sont différents . Notre génome est différent, notre façon de penser, de faire l'amour, de nous défendre, de nous battre, de réfléchir, de pardonner, de chérir...
Ainsi, les personnages féminins utilisent leurs atouts avec brio.

La littérature fantastique a souvent véhiculé des clichés sexistes - sans misogynie volontaire, je pense - Tolkien bannissant quasiment les femmes du Hobbit. Et je dois avouer être auparavant sceptique sur la place des femmes (en tant que femme et non pâle copie des hommes) dans la fantasy, car je manquais d'imagination. Hamilton a réussi à exploiter merveilleusement les qualités du "sexe faible" pour nous faire comprendre que leur force est ailleurs et parfois bien plus puissante que celle des hommes. C'est fascinant!

Du coup, et pour la première fois dans un roman, j'ai largement préféré les personnages féminins au détriment de leurs homologues masculins. C'est leur capacité d'adaptation qui m'a subjugué. L'univers de l’étoile de Pandore n'est en rien machiste - il est dans la logique lignée des mouvements qui vont enfin permettre aux femmes de s'émanciper totalement - et il ouvre ainsi le champ des possibles. Ici, par de Katniss Everdeen (Hunger Games) ou de Béatrice Prior (Divergente) qui tirent des flèches, donnent des coups de pieds et font finalement tous les trucs bien virils de mecs (ça rend les livres encore plus sexistes selon moi). Non! Les femmes sont brillantes et ne cherchent pas à imiter les hommes. Elles suivent leurs propres voies. Et c'est en ça qu'Hamilton renouvelle réellement la SFFF.

Dans l'étoile de Pandore, on voyage sur des distances phénoménales de planètes en planètes. On découvre des univers merveilleux et hostiles, des races extraterrestres très loin des humanoïdes de Star Wars (car il n'y a presque aucune chance qu'une race E.T. ait suivie la même évolution que nous), des vaisseaux spatiaux très élaborés dont les descriptions rendent encore une fois crédible et cohérent le récit. Et le tout sur plusieurs années!

Vous l'aurez compris, L'étoile de Pandore est pour moi plus qu'un coup de cœur, c'est une révélation. J'en jalouse même ceux qui vont le découvrir tant j'aimerais être à leur place. Fort heureusement, il me reste encore quelques ouvrages de l'auteur à lire dont Dragon déchu que j'attaquerai prochainement et dont je vous ferai une chronique s'il me séduit.



Lien : https://lecultedelasfff.word..
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J'avais délaissé la SF pure, et plus particulièrement le space opera, pendant des années, me consacrant essentiellement à la fantasy.
Hamilton m'a offert un rare moment d'évasion avec L'étoile de Pandore. L'univers est si vaste, si cohérent, si précis que je me demande comment l'auteur a fait pour ne pas s'y perdre.

Ce premier volume de la tétralogie m'a tenu en haleine de la première à la dernière ligne et j'ai aussitôt acheté les trois autres volumes.
J'adore cet univers extrêmement graphique où chaque détail est à sa place, mais sans empêcher le lecteur de visualiser ses propres paysages.

Par dessus tout, c'est la justesse des personnages qui m'a séduit. Leur psychologie est savamment étudiée et en parfaite adéquation avec l'univers décrit.

Une merveille!
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Histoire(s) très riches réunies en une seule car nombreux personnages à de nombreux endroits différents, une idée de départ très prenante comme tout le déroulé de l'histoire, un seul bémol : une fin que j'ai trouvé bâclée au vu des 4 pavés (foisonnants et passionnants) qui la précèdent.
C'est dommage, mais ne boudons pas un plaisir certain tiré de la lecture de ce space opéra parfois au gout d'hard science...
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La deuxième tentative fut la bonne. J'avais essayé de lire ce roman il y a quelques années et j'avais laissé tomber à cause du nombre de personnages et du temps qu'il fallait attendre entre la sortie des différents tomes. Comme je n'aime pas rester sur un échec cette été j'ai repris cette saga depuis le début. Magnifique grâce à l'auteur je suis devenu accro au space opera. Certes les personnages sont nombreux et divers ça part dans tout les sens. Mais si on s'accroche bien c'est un pur régale. Ce premier tome donne le ton pour une suite haletante. Tout le monde connait l'histoire de la boîte de pandore. Et c'est précisément le centre de cette histoire. Une boîte est ouverte et il ne sera plus possible de faire machine arrière. Savoureux mélange entre Interstellar et l'étoffe des héros, qui nous garde en haleine du début à la fin....
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Pour cet été j'avais envie de partir loin très loin et peu importait le temps que ça me prendrait. Ce vaste space opera était donc de bon aloi. Il m'a fallu un peu de temps pour rentrer dedans et ai été parfois un peu déçu par des intrigues très secondaires. Il est vrai également que je n'aurais pas craché sur un peu plus de combats à coup de missiles et autres , mais ce n'était pas l'objet de l'auteur. Je me suis donc laissé embarquer par l'auteur dans la description de son Commonwealth et par les personnages, c'est facile à lire et on tourne les pages avec avidité. L'imagination déployée par l'auteur me fait écrire que je n'hésiterai pas à rembarquer avec lui.
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