Encore une grosses sage en mode Space Opera pour l'auteur de la gigantesque série " L'aube de la nuit ".
Je trouve formidable la capacité que Hamilton a de nous faire avaler des centraines de pages sans qu'on ai le temps de s'ennuyer. J'ai beaucoup apprécié cette histoire en 3 tomes qui met en scène une race d'E.T. tout à fait formidable.
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Un autre grand space-opéra comme Hamilton sait les faire.
De nombreux fils, qui semblent partir un peu dans tous les sens : Paul Myo, qui chassent ses terroristes, Ozzie qui part sur les chemins silfiens.
Pour résumer, on pourrait dire que le Commonwealth (nom choisi par l'auteur pour l'ensemble des 600 mondes terriens) a découvert une anomalie dans le système de Dyson et décide d'y envoyer une expédition, ouvrant de ce coup la boite de Pandore.
Certes, sur certains fils, comme Ozzie, on se demande le lien avec l'intrigue globale, mais c'est le style d'Hamilton, qui finit toujours par les ramener ensemble à un moment.
On aime ou on n'aime pas ce genre de grand space-opéra. Personnellement, j'aime bien.
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Un début de saga long à mettre en place, on découvre tous les personnages sans véritablement savoir ce qu'ils vont nous apporter.
Le monde imaginé par Hamilton est très bien construit, s'est sur qu'il a travaillé dessus et ne va pas se retrouver pris de court durant son écriture. Mais pour quelqu'un qui s'initie à la SF, c'est pas le plus simple à comprendre.
Un livre intéressant tout de même, une histoire qui demande à être lu, j'espère juste que le nombre de pages ne va pas ralentir l'histoire.
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Dans mon jeune temps, on disait que la SF pouvait se complaire dans les (très) courtes histoires. Il y a eu quelques très bonnes oeuvres en plusieurs tomes, mais les séries se formaient d'elles-mêmes (Fondation, Hypérion, Ender, etc.). Maintenant, allez à la FNAC au rayon SF et comptez les oeuvres qui ne sont pas en suites kilométriques...
Ici, c'est la même chose : mon pauvre intelect n'arrive pas à absorber tous ces personnages, tous ces histoires secondaires (?) qui se coupent et se recoupent. À la fin de ce tome, une expédition part pour Dyson Alpha : ce qui est le but; on ne sait toujours pas d'où vient ce nom de Pandore. Quel est la finalité de ces innombrables personnages.
Bref, tout ça est conçu pour faire une énorme quantité de pages que l'on compte vendre à des lecteurs (gogos ?).
Moi, je n'irai pas plus loin : je vais me replonger dans les classiques, où la fin peut-être connue à la fin du bouquin.
Je ne mets pas "d'étoiles", car il faudrait mettre un "-1"
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Au 24ème siècle, alors que l'homme a colonisé plusieurs centaines de planètes, une étoile éloignée de plusieurs milliers d'années-lumière disparaît mystérieusement. le Commonwealth instersolaire décide de construire un vaisseau spatial baptisé, « seconde chance », plus rapide que la lumière, afin d'aller déterminer la dangerosité de l'espèce responsable de cette disparition.
Mais la résistance face à cette « construction » se met en place au travers d'Ozzie, multimilliardaire excentrique qui préférerait attendre que les hommes aient atteint un niveau technologique supérieur avant de se lancer vers l'inconnu ou du groupe terroriste « Gardiens de l'individualité » installé sur Far Away. Mais, la situation à l'arrivée de « seconde chance » est loin de correspondre à ce que les hommes attendaient.
Cette série est une grande fresque qui ravira les amateurs de space opéra.
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Je reste un peu prudent après la lecture de ce premier tome. En effet, la fin du premier tome est assez décevante d'autant plus que Hamilton a mis beaucoup (trop ?) de temps pour nous amener à "ça". Je tenterai les tomes suivants pour lui laisser une chance mais disons que ça part assez mal ...
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