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Cher lecteur,
Je te conseillerais bien de jeter ce livre à la corbeille. Mais auparavant, tu aimerais peut-être savoir pourquoi. La raison en est qu'il relate le pire épisode à ce jour de la vie des orphelins Baudelaire - leur bref passage dans une clinique véreuse -, ce qui en fait l'ouvrage le plus sinistre jamais publié depuis l'invention de l'imprimerie.
C'est bien simple, dans ce volume, tout est détestable d'un bout à l'autre : un télégramme sans réponse, une opération sans raison, des ballons en forme de coeur, une rengaine à donner la migraine, des chirurgiens qui n'en sont pas et des informations troublantes au sujet d'un incendie. A l'évidence, pareille lecture n'a rien d'une partie de plaisir.
Moi qui ai fait le serment de narrer ce récit sans omettre un seul détail sordide, je suis bien placé pour savoir qu'il ne mérite que la corbeille à papiers, où tu l'as sans nul doute pêché.
Avec mes sentiments respectueux.
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C'est celui que j'ai préféré. Je le relirai très certainement une fois dans un challenge Halloween. L'oncle devient vraiment complètement zinzin à force de poursuivre les orphelins. Ses acolytes sont ras des paquerettes, ça ne l'aide pas à réussir ses plans machiavéliques !
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Suite des 3 malheureux Baudelaire...
Cette fois-ci, pas du tuteur, mais leur cavale commence (ils sont accusés de meurtre rien que cela !).
Le tome 7 annonçait déjà un renouveau et le tome 8 le confirme, l'intrigue avance un peu et c'est beaucoup moins redondant...
En plus ,la fin de ce tome donne très envie de lire la suie...
En avant pour le neuvième opus...
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Oui, je sais, je dévore les livres de cette série à une vitesse folle. Mais je vous jure que je ne le fait pas exprès. Bon passons. J'adooooore cette série, et cela, de plus en plus, au fil des tomes.
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Un tome encore bien sympathique. La piste VDC avance doucement, on apprend de nouvelles choses et les orphelins sont encore dans de Beauxdraps (fuhuhu) Bref ma relecture se passe toujours aussi bien et j'ai toujours aussi envie de relire la suite donc tout va bien !
Lien : https://antredemhiryo.home.b..
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Ce 8e tome amorce selon moi un petit déclin dans la série Baudelaire. En effet, je n'arrive pas à accrocher au contexte, celui de la Clinique, des Archives, des Volontaires. Pourtant, l'humour du narrateur est toujours présent. On a ainsi le droit à une D.R.H complètement tyrannique et décalée, des Bénévoles hospitaliers joyeux mais d'aucune aide et à un service d'Archives où il ne faut surtout, surtout pas lire les dossiers... Mais vraiment, le contexte, je n'accroche pas, sans réellement comprendre pourquoi.
Hormis ce point, ce tome 8 a une narration à l'identique des 7 premiers tomes. le sort s'acharne toujours autant sur les Baudelaire et les secrets commencent à devenir légion. . Ainsi, les mystères pullulent, les questionnements aussi, ce qui nous laisse espérer des réponses à nos questions.
Le tome 8 est également le moment où l'on commence à voir vraiment Prunille grandir. Commençant à marcher à la fin du tome 7, son langage se passe de plus en plus de traduction, un petit point cohérent même si les aptitudes Baudelaire sont généralement très invraisemblables ( un bébé aux dents de castor et à l'intelligence d'un intelligence? Non mais vraiment Mr Snicket... )

Challenge le tour du scrabble en 80 jours ( 6e éd)
Challenge Séries
Challenge 50 objets 2019-2020
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Les aventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et voilà qu'après avoir échappé de justesse au comte Olaf dans le village de VDC, ils trouvent refuge dans un hôpital. Un drôle d'hôpital d'ailleurs, avec des services étranges. Un hôpital-archives même, puisqu'il semble conserver des archives sur absolument tous les sujets, et pas seulement ceux du domaine médical.

Encore une fois, nos orphelins vont devoir faire preuve d'adaptation et d'imagination pour échapper au comte Olaf et à ses sbires, mais pas seulement. Désormais pointés du doigt par le journal du coin, le petit pointilleux, comme étant des assassins, ils se retrouvent à devoir cacher leur identité à tous ceux qu'ils croisent. Et comme si tout cela ne suffisait pas, ils continuent à enquêter sur VDC, ces trois lettres qui semblent les poursuivre et qui, rappelons-le, ont été identifiés par les Beauxdraps comme étant un élément important lié à leurs mésaventures.

Ce tome-ci reste donc dans la lignée des précédents, mais chaque tome me semble désormais plus intéressant que les premiers parce que depuis l'apparition de VDC, chacun nous apporte son lot de révélation. Et c'est une grosse révélation que nous offre ce tome 8, attention !

J'ai également noté quelque chose de nouveau dans ce tome-ci par rapport aux précédents : c'est la première fois qu'on ne voit pas le comte Olaf. Je veux dire, il est là, bien sûr, mais les seules traces de sa présence sont sa voix qui sort d'un interphone de façon régulière. En dehors de ça, nous avons seulement affaire à ses acolytes. Ils sont tous là d'ailleurs, Esmé, les dames poudrées, le chauve, l'homme au crochet, l'homme montagne, aucun ne manque à l'appel.

Vous l'aurez compris, les mésaventures des orphelins baudelaire sont toujours aussi passionnantes et ne sont pas encore terminées, après tout, on ne sait toujours pas ce qu'est VDC !


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La série noire continue, pour ma plus grande jubilation. Ce tome... Disons qu'il ne sort pas du lot mais qu'il a le mérite de faire encore avancer l'histoire. Parlons également un peu de l'humour toujours bien présent avec cette fameuse affaire de saut à l'élastique, ou encore de l'ironie déployée autour de la vision du monde en guimauve et carton-pâte des Dérideurs.
En somme, s'il y a bien une qualité en plus dans ce roman, c'est le fait que le suspense y soit déployé avec une qualité qu'on n'avait plus vue depuis le fameux "Cauchemar à la scierie". du reste, rien qui ne change, à notre grand plaisir, ou déplaisir, c'est selon.
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Je poursuis mon aventure avec les orphelins Baudelaire. Et avec un peu plus d'enthousiasme depuis le tome sept, je l'avoue. Déjà parce que le schéma habituel que l'auteur nous sert depuis le début : placement des enfants, arrivée du comte, embrouilles, replacement des enfants à quelque peu changé. Je dis quelque peu parce que nous n'y trompons pas, c'est un peu du bis repetita tout de même.

Klaus, Prunille et Violette se retrouve donc pour une fois face à eux-mêmes, sans adulte pour les « chaperonner » et un peu beaucoup dans la mouise. Enfin, plus que d'habitude parce qu'ils sont quand même accusés du meurtre du comte Olaf… Qui n'est pas mort, bien entendu… le trio doit donc se montrer encore plus inventif et surtout arriver à résoudre le fameux mystère de V.D.C. Un point important car ce mystère relance profondément l'intérêt que j'ai pour la saga. Il reste cinq tomes cependant et je pense que l'auteur va se donner un malin plaisir à faire durer tout cela, mais bon, maintenant on a l'habitude.

Pour ce tome huit, les enfants se retrouvent donc dans une clinique et plus particulièrement aux archives de la clinique. Nous sommes toujours dans une sorte de non-sens car, soyons honnêtes, la salle des archives est en fait : 1- ce que cherchait les enfants désespérément (comme c'est pratique…), 2 – n'a rien à voir avec la clinique en elle-même. Un peu tiré par les cheveux mais au moins, on avance… un peu… L'absurdité se poursuit avec ces adultes qui sont vraiment des imbéciles de première, des situations assez rocambolesques et des événements tirés par les cheveux. Mais si comme moi, vous en êtes au tome huit, c'est une habitude maintenant. Oui, peut-être mais j'arrive à un point où cela devient pénible. J'entends par là que l'auteur dénigre les adultes constamment. Les romans ont un public jeunesse, donc je suis d'accord avec le principe de mettre les héros qui sont des enfants en avant. Mais, l'intérêt assez grotesque au final de cet acharnement sur les « grands » n'a pas vraiment de sens…

L'histoire va tout de même bon train et il est appréciable de voir les enfants dans des circonstances qui les poussent dans leur retranchements. Ils en viennent à prendre de gros risques mais aussi à commettre des petites choses répréhensibles. Rien de bien grave et c'est pour leur survie mais il y a un traitement de la chose très intéressant.

La présence de l'auteur est encore une fois beaucoup trop prégnante sur le récit. A petite dose, c'est comique et instructif, mais là on arrive à un point où l'histoire est très alourdie par des définitions et des divagations. Passages que j'ai pris l'habitude de sauter, tout simplement.

La fin laisse présager de bonnes choses mais je préfère ne pas trop m'avancer…
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La traque de nos orphelins Baudelaire par le méchant comte Olaf continue, maintenant dans un rythme nouveau par rapport aux premiers livres de la série. Après avoir réussi à s'échapper du village aux corbeaux, mais recherchés en tant que meurtriers, nos orphelins préférés trouvent refuge dans une clinique, où ils vont avancer encore un peu plus dans l'énigme V.D.C et la mort de leurs parents. Mais devinez qui va débouler et leur faire encore avoir des ennuis ? Comme toujours l'histoire est rigolote et un peu décalée, avec de l'idée, bref, toujours une bonne lecture à partager avec votre pré-ado !
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