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3,99

sur 441 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce tome 7 conclue à mon sens une série de très bons tomes. La suite aura un petit creux avant de reprendre sur la fin.

Dans ce tome 7, le narrateur n'aura de cesse de nous recommander le Petit Lutin Rose, lecture ô combien insipide mais infiniment plus joyeuse que ce tome 7. Et pour cause, les Orphelins Baudelaire, résolus de découvrir le secret V.D.C, d'échapper au Comte Olaf tout en délivrant leurs amis Beauxdraps, ont le choix d'avoir une ville entière pour tuteur. Or ce choix se fera sur Villeneuve-Des-Corbeaux, petit bourgade aux règles iniques, aux citoyens simplets et revenchards et aux rues sillonnées de corvidés. le programme est le suivant : cuisine mexicaine, petite leçon de poésie, découverte de ce qu'est un deus ex machina, meurtre et prison. Tout un programme! Les orphelins se retrouvent confiés à un factotum, gentil comme tout mais hélas, comme d'habitude inefficace.

On continue à en apprendre plus, indirectement sur V.D.C et aussi sur le narrateur. . On retrouve aussi les Beauxdraps. Et enfin, je le dis, ce tome 7 est la fin d'un cycle selon moi.

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L'histoire se complique réellement dans ce tome.
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Les orphelins ont une expérience inédite. Mr Poe ne trouvant plus de tuteurs acceptant de les accueillir (trop peur de se faire tuer par le Comte Olaf), il leur propose d'être sous la tutelle d'un village entier. Les enfants choisissent rapidement leur village. V.D.C ou bien Villeneuve des corbeaux. Là bas, il vivent chez Hector qui les accueille un peu forcé par les autres mais il aime bien les enfants. Dans cette ville, il y a tout un tas de règles stupides. Les livres sont interdits, les inventions aussi.

Les enfants et Hector font les corvées pour tous les autres habitants du village. Il vivent en dessous d'un arbre géant bourré de corbeau, l'arbre Jamaisplus. Tous les jours, ils trouvent des poèmes apparemment écrit par leur amie Isadora. Et un jour, les habitants du village attrapent le Comte Olaf, veulent le juger et tuer. Sauf que même s'il lui ressemble, ce n'est pas pas du tout le Comte Olaf.


A la fin de ce tome, on comprend que tout sera différent pour les orphelins (qui depuis le tome 6 se demandent s'ils le sont vraiment.). Il se passe pleins de trucs, on se rend vraiment compte que Lemony Snicket est un personnage à part entière de l'histoire (si on ne s'en doutait pas auparavant).

Quand je l'ai pour la première fois, j'ai appris l'existence d'un phénomène, l'instinct grégaire. Auparavant, je ne le connaissais et je l'ai encore utilisé par plus tard qu'hier. D'une manière générale, cette série m'a apporté beaucoup de culture générale.


Encore un tome très intéressant.
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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Quand je l'ai lu, je n'ai pas trouvé que c'était le meilleur de la série. Sans doute le côté absurde et désespéré qui commençait un peu à me taper sur les nerfs (à moi aussi, ça arrive). Et pourtant, à bien y réfléchir, c'est un des tomes les plus intéressants de la série. Tout d'abord les références, puis l'imagination de l'auteur, parfois débridée, et aussi l'excellent travail de Rose-Marie Vassallo à la traduction, extrêmement délicate.
Mais surtout la transformation des schémas narratifs : le tournant pris dans le tome 5 se confirme enfin dans celui-ci. Les tuteurs s'effacent et à présent il n'y en a plus réellement (c'est d'ailleurs le dernier tome où il en sera question) ; la quête de VdC prend de l'ampleur ; la famille de l'auteur apparaît une première fois ; enfin, les orphelins vont finir par abandonner définitivement leurs tuteurs pour se lancer à la poursuite du comte Olaf et ses sombres secrets. On entre dans l'action, le vif du sujet. Et ça valait bien le coup de nous avoir fait attendre si longtemps.
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Que de frustration pour ce septième tome ! J'ai adoré le lire, mais à l'image de nos orphelins préférés, j'étais, au terme de l'histoire, complètement dépitée. On apprend des choses sur ce mystérieux VDC, mais pas suffisamment pour comprendre de quoi il retourne, alors qu'on pensait que les choses allaient peut-être s'arranger, la tournure que prennent les événements les rend encore pires qu'avant ! Bref, les Baudelaire n'ont pas fini de déchanter.
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Un nouvelle mésaventure des malheureux orphelins Baudelaire continuellement pourchassés par le fourbe Comte Olaf et pas du tout aidés par des adultes d'une stupidité affligeante (si l'on excepte leur ami Hector).

Une série très pédagogique, néanmoins amusante, pour les enfants, plein de vocabulaire à apprendre (surtout celui du champ sémantique "malheur") ce qui se perd de nos jours.
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Qui souhaite recevoir les orphelins Baudelaire ? Monsieur Poe est très embarrassé car les tragiques évènements et les catastrophes que les enfants suscitent, entraîne dans leur sillage une notoriété maudite.
Pour la septième fois, ils se retrouvent sous la coupe d'étrangers. Tout un village, V.D.C., aura la responsabilité de les protéger.
Un autocar les dépose à l'arrêt. Une brume épaisse les enveloppe et rend l'hospitalité désolante. Seuls des corbeaux les saluent du haut de leur arbre.

V.D.C…. connaissez-vous un village qui se nomme par initiales ? Les enfants sont curieux et leur intérêt croît en rencontrant les habitants et leurs dirigeants, le Conseil des Anciens.

« - Silence ! répliqua la vieille dame. Oui, enfants Baudelaire, je suis sûre que vous vous tracassez, à propos du comte Olaf. Mais nous sommes vos tuteurs et nous vous protégerons. D'ailleurs, nous avons promulgué une nouvelle règle, la règle n° 19833. Elle précise clairement qu'aucun criminel n'est admis dans l'enceinte de notre cité. »

Cachés dans ce bourg, ils devront payer leur hébergement en travaillant. La bienvenue est austère et les directives sont dictatoriales. Hector, le cantonnier, est leur hôte. La première image de cet homme, le montre un peu niais et soumis, mais bien vite, les enfants sont charmés par sa gentillesse et son ingéniosité. Hector a un rêve… celui de s'élever au-dessus de l'arbre aux corbeaux, de V.D.C., de l'autorité despotique, et de fuir dans le ciel à bord de son ballon dirigeable.

Si le village se targue d'être un lieu sûr, à l'abri de toute agression et maraudage, les enfants, qui sont soumis à l'esclavage, n'ont qu'une idée… partir. Néanmoins, il faudrait élucider un mystère… Des vers écrits sur des bouts de papier sont remis aux enfants par les corbeaux. Ces phrases ressemblent aux poèmes d'Isadora Beaudraps. Où sont-ils ? Sont-ils toujours prisonniers d'Olaf ?
Lorsque le chef de police, Miss Luciana, arrête à tort un homme en le prenant pour Olaf et que le châtiment est le bûcher, Violette, Klaus et Prunille essaient de le défendre. En vain… car leur plaidoyer se retourne contre eux. D'événements en catastrophes, d'une justice arbitraire à un meurtre, les enfants voient l'arrivée d'un nouveau… le détective Dupin.

Le temps est compté… Cette fois-ci, arriveront-ils à s'en sortir ?

Dans ce septième épisode, l'histoire prend un tournant. Ce n'est qu'à la fin que certains personnages se placent sur l'échiquier de l'auteur. Il serait presque souhaitable de dresser une liste, comme une sorte d'organigramme généalogique. Seulement à la moitié des aventures baudelairiennes, l'attention est maintenue pour la suite. Après avoir lu la pugnacité des enfants, puis leur découragement et leur affliction, nous retrouvons leurs esprits belliqueux et intelligents.
Cette série est définitivement à conseiller aux enfants de moins de 10 ans, même si parfois les situations sont délicates et tristes. le comte Olaf et sa bande sont de vrais méchants…
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Les pauvres orphelins Baudelaire n'en sont décidément pas au bout de leurs mésaventures. Rappelez vous, nous les avions laissés en compagnie de Jérôme D'Eschemizerre, après le désastre des enchères In où ils avaient tant espéré retrouver leurs amis Beauxdraps cachés dans un lot appelé VDC qui n'était autre que de la Véritable Dentelle de Calais…

Les enfants doivent maintenant être placés auprès d'un autre tuteur et, cette fois, c'est un village tout entier qui s'occupera d'eux. Un village appelé VDC (Villeneuve des Cordbeaux), qui considère les corbeaux comme des dieux et qui en est donc envahi.

Depuis le tome 5 et l'introduction de VDC dans l'histoire (bien qu'on ne sache toujours absolument rien de ce que cela signifie), cette énigme nous suit, telle un fil rouge. Les orphelins cherchent à en savoir plus et prêtent attention à tout ce qui pourrait leur fournir une explication. D'autant que c'était également la seule piste qu'ils ont pour retrouver les triplés Beauxdraps. Cet aspect ajoute quelque chose que nous n'avions pas dans les premiers tomes : un fil conducteur, une énigme qui se poursuit de tome en tome. Et c'est agréable. On a vraiment la sensation que l'auteur veut nous emmener quelque part.

Ce tome 7 reste dans le même moule que tous les précédents. On ne change pas une équipe qui gagne. Encore une fois, voilà les orphelins face à un nouveau tuteur. Encore une fois le comte Olaf apparait pour essayer de leur mettre la main dessus. Encore une fois ils se servent de leur intelligence et de leur ingéniosité pour s'en sortir tous seuls. Et encore une fois nous avons sous les yeux une aventure palpitante qui se lit vite et bien.

Affaire à suivre !
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Enfin une rupture dans la série des "Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire" ! J'ai beaucoup apprécié ce 7ème tome pour cela. Certes, nos orphelins ont de nouveau un nouveau tuteur (sic), mais on commence à deviner une intrigue plus globale, autour des triplés beauxdraps, du mystérieux V.D.C, de la mort des parents Baudelaire, et bien sûr du terrible comte Olaf.
Le thème du livre sur les corbeaux, qui migrent en masse suivant les moments de la journée de part et d'autre de la ville, pour finalement s'endormir sur l'arbre du titre, m'a également particulièrement plu : c'était singulier, inattendu, voir poétique.
Bref, un excellent tome.
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Avec ce septième tome, nous atteignons un point de non retour: dans les précédents opus de la série, nous constations que le schéma initial (à savoir que les orphelins se retrouvent confiés aux bons soins d'un nouveau tuteur pendant que le Comte Olaf est recherché pour ses crimes) se transforme; les retournements de situation rythment ce volume dans lequel nous faisons de nouvelles découvertes au sujet du sigle VDC. Cependant, le mystère s'épaissit et les orphelins ne pourront compter que sur eux-mêmes pour se tirer d'un mauvais pas: les voilà accusés d'un crime qu'ils n'ont pas commis! Violette, Klaus et Prunille doivent désormais prouver leur innocence auprès de la population aigrie d'un sinistre village, et poursuivre leur lutte contre le Comte Olaf et sa nouvelle alliée, Esmé Gigi Geniveve d'Eschemizerre, sixième conseiller financier de la ville par ordre de chiffre d'affaire, quatrième fortune du pays, et scélérate aussi perfide que retorse.
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