Relecture de ce classique de
Thomas Hardy, à la lumière d'une critique parue dans Babelio par Allantvers qui m'a donné le goût d'y replonger. Des pages d'un lyrisme grandiose et un portrait cru du monde agricole dans l'Angleterre victorienne et des passages d'une sensualité exacerbée, quasi érotiques, de la cour faite par Angel Clare à
Tess D'Urberville. J'ai pu apprécié cette fois-ci à sa juste mesure cette oeuvre que j'avais lue à un trop jeune âge.
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