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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Nous avons le portrait d'un véritable ours qui aime l'Afrique et qui essaie tant bien que mal de protéger sa faune exceptionnelle. Il doit lutter contre les braconniers mais également contre un gouvernement corrompu qui ne fait pas dans la dentelle. Nous avons tous les clichés de l'Afrique réunis dans ce one shot.

Contrairement à la plupart des lecteurs, je n'aime pas véritablement les différentes oeuvres de l'auteur. Je dois reconnaître qu'il sait bien dessiner les paysages africain mais malheureusement pas vraiment ses personnages qui se ressemblent avec leurs bouilles si caractéristiques. A la longue, on s'y fait !

Personnellement, je me demande comment notre héros a fait pour rejoindre la Tasmanie avec son petit coucou venant d'Afrique. Je le vois mal traverser l'Océan Indien et l'Australie ! Cela manque encore de crédibilité.

L'ambiance est présente pour un véritable safari ou une traversée de la jungle. Dépaysement garanti !
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Que de critiques très positives pour cette BD ! La mienne va s'en éloigner.

Afrika est une BD qui ne m'a pas transcendée. Je l'ai lu. Je ne l'ai pas détestée, je ne l'ai pas aimée non plus. C'est tout à fait le genre de bande dessinée qui me laisse indifférente. Que puis-je en dire à par « Ça se lit » ?
Pourquoi ça me n'a pas marquée ? L'histoire est basée sur de l'action : c'est une BD d'action comme il existe des films d'action. Ce n'est pas que l'action est mauvaise, mais quand il n'y a que ça, mon intérêt faiblit. de plus, le suspense est faible. On retrouve tous les ingrédients de base : des morts, des armes, un environnement hostile, une poursuite où la vie des héros est menacée.
Je me demande si l'intrigue n'aurait pas été plus intéressante sur un format plus long. L'auteur aurait pu développer, non seulement sa réflexion sur la relation de l'homme avec les animaux qu'il abat les uns après les autres, mais aussi son approche de la politique africaine notamment et des décisions prises par les hommes politiques. le début de la bande dessinée était prometteur, mais ce qui a suivi la découverte des corps a déçu mes attentes.
Le personnage principal pourrait être intéressant. Dario Ferrer, ermite mystérieux, bourru, mais attachant. Malheureusement, c'est un stéréotype qui est trop vu et revu et qui, cette fois, n'a pas fonctionné sur moi.

J'ajoute à cela que le graphisme me laisse tout aussi froide que l'histoire. Je n'apprécie pas vraiment ces traits trop marqués. Cependant, j'aime la représentation de la nature sauvage et les scènes de vie animales qui ouvrent la BD. Notamment celle du guépard, mélange de vigilance et de nonchalance.

Une BD qui rappelle que les hommes sont plus cruels que les animaux (si quelqu'un en doutait encore…).
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j'étais très étonnée (ou pas) sur la première planche de découvrir un lion avec la même tête qu'un humain. Oui, les traits des personnages sont toujours les mêmes, mais je n'imaginais pas que ceux des animaux aussi.
Ce détail mis à part, j'ai bien aimé cette "tranche de vie" parce que finalement on ne sait que peu de chose de ce qu'il se passe de façon globale, c'est un épisode dans la vie d'un gardien de réserve et d'une journaliste ! Au mauvais endroit au mauvais moment....
Juste une tranche de vie, mais qui en quelques pages mets en lumière tout ce qui freine les pays africains.... et nous balance une bonne baffe dans notre tête occidentale....
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O problema em Hermann é que passaram quarenta anos desde que começou a desenhar o Comanche de Greg, arquétipo (literalmente falando) do "western" em banda desenhada. E por mais esplendor gráfico que Hermann apresente as suas personagens são, desde então, sempre pálidos estereótipos. E os enredos nunca daquela densidade, tão notória é a ausência dos argumentos de Greg, para sempre um défice. Assim, e por mais injusto que isso seja, o leitor compara e lamenta, pois once a Red Dust, always a Red Dust.

Daí a pouca empatia com este Dario Ferrer, protagonista de “Afrika” (Éditions du Lombard, 2007 [1993]), o eterno hermannesco desajustado, envelhecido mercenário, agora ecologista desamparado, vítima de um mundo que já não quer aceitar. A maturidade como crescente recusa, de si-próprio e de vós-outros. Figura constante do anti-herói, com nada de novidade, que na galeria recorrente só nos traz o excêntrico item de ser careca.

Mas, acima de tudo, a desilusão com a tal "Afrika" que ele anuncia. Uma desilusão que é também uma muito europeia desistência cognitiva – a “África” desilude porque se incompreende, porque não corresponde às expectativas romanescas do “eu” eurocentrado. Esse mundo desilusão, incognoscível, simbolizado/mascarado no "k" de "isto é Afrika" – um tique do soviet chic
recorrente naquela década (o livro é de 1993) – mostra-se, ao olhar depauperado do idealista desiludido ocidental afinal um não-west de oportunidades, assim uma apenas sim-south de desorganização e ingerências, um factor "k" na equação de uma selva de trevas. Daí ao suicidário Ferrer nem um passo vai.

Enfim, uma enorme simplicidade de olhar. E, para além do esplendor gráfico, o que sempre vale aquando diante de Hermann, é apenas essa frágil simplicidade, preconceituosa, que fica. Nada acima do registo habitual do olhar dos leitores preferenciais deste tipo de banda desenhada.
Lien : https://www.academia.edu/110..
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