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3,83

sur 185 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quand Joe Hill se frotte à l'apocalypse…



Vous allez me dire que son père l'a déjà fait. Oui si tu veux mon loulou mais même si les Kings fils ont un je ne sais quoi de King père, ils ont leur propre identité et croyez moi que la sortie de l'Homme feu, je l'attendais. Et quand je l'ai trouvé en demande de partenariat, … Bon, mes enfants se sont couchés super tôt ces derniers temps pour découvrir la lecture dans leur lit. *hum* Ce qu'il faut savoir particulièrement sur Joe Hill c'est qu'il vous donne 700 pages comme ça pouf à dévorer et que vous avez l'impression d'en avoir à peine 200 tellement le roman est riche.



Tout d'abord, le principe de l'apocalypse zombie. Vous allez me dire (non mais je vous vois venir alors que cela ne marchera pas) qu'on a eu suffisamment de Walking dead et autres choses bizarres pour parler de l'apocalypse. Or, ici, il prend comme hypothèse : Et si on avait trouvé un spore qui permet de diffuser une maladie qui développe des écailles sur vous et qui vous fait ignifier dès qu'il y a du stress. Tous les humains pourraient être potentiellement une bombe humaine. Mode de propagation sporadique (je sais je fais de l'humour). Comment réagiraient les gens, avec des gens infectés dans leur entourage ? Cela vous donne le tournis ? Et bien vous en avez pour 700 pages les gars.

Quand Joe Hill capture l'âme humaine.



Evidemment, si on était dans un roman d'apocalypse, les gens à écailles de dragons, ce seraient les zombies. Ce qui veut dire qu'on se retrouve dans le mauvais camp avec des gens qui veulent nous exterminer, qui nous privent de notre moyen de subsistance, voire de notre droit de vivre, tout simplement. le choix, c'est de fuir ou de combattre. de se réunir en horde et de communier tous ensemble, provoquant une entité unique. Ou de tout casser. Ou de se poser des questions et tenter de dialoguer avec les autres. Ou de mourir. Et là, j'ai envie de vous dire que c'est absolument génial de se retourner le cerveau !



Entre la plume qui coule de source (parce que ce petit pavé, il faut le lire avec un bon rythme) et l'histoire palpitante, j'ai lu ce petit livre en 3 jours. Pendant mon week end de canicule à la maison. Et c'était un week end de rêve sur ma chaise longue, un avant goût de mes vacances. Joe Hill a ce petit grain de folie que nous avons tous en nous, bien entendu, mais c'est aussi un conteur né qui a le rythme dans la peau. Il n'hésite pas à nous servir une bonne chanson pour nous entraîner dans un de ces chapitres. Ni un bon mot pour vous faire rire en pleine situation catastrophique. Il m'a sortie une palette d'émotions absolument fantastique ce week end et pour cela, je le remercie. J'attends la prochaine sortie avec impatience
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L'homme feu et moi, au début, ça n'a pas collé.
Peut-être que j'attendais beaucoup de cette lecture, peut-être que j'en avais une image erronée ?
En tout cas il nous a bien fallu presque 200 pages pour nous comprendre.
Par contre, une fois lancé, ça a plutôt bien roulé.

Harper est infirmière scolaire jusqu'au jour où une terrible épidémie arrive.
Quittant le monde scolaire, elle se porte volontaire pour aider à l'hôpital.
Lorsque les malades sont infectés, leurs corps se recouvrent d'écailles jusqu'à ce qu'ils s'embrasent.

Le départ fut très houleux. J'ai eu beaucoup de mal avec les personnages d'Harper et de son mari. Je trouvais la première insipide et le deuxième détestable. Et puis progressivement j'ai appris à apprécier Harper.

Ce qu'il faut avoir en tête lorsque l'on s'attaque à cette lecture, c'est que c'est un post apocalyptique très centré sur les rapports humains.
Alors, certes, c'est très intéressant. Mais j'avoue être un peu resté sur ma faim en ce qui concerne la vision de ce monde apocalyptique.
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Avec 980 pages au compteur, ce roman de Joe Hill est une véritable briquasse mais laissez moi vous dire que j'ai tout simplement kiffé cette lecture !

Joe Hill est le fils de Stephen King et je vous confirme le vieil adage : la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre ! Je suis une fan inconditionnelle du père, me voici une fan inconditionnelle du fils !
Sa plume est aussi addictive et ce roman est un véritable "page turner".

980 pages et je n'y ai trouvé aucune longueur. le rythme est régulier, les chapitres courts et rythmés. Hier, il me restait presque 400 pages et je les ai dévorées sans m'en rendre compte… certes, je suis allée dormir un peu tard mais il était hors de question que je ne le termine pas. Et là fin, ouahhhhh !

Il s'agit d'un roman fantastique "apocalyptique". L'intrigue de base est géniale et tout le roman est super bien construit avec des rebondissements et des révélations tout du long. Certes, j'avais deviné ce qui se passerait à la fin mais j'ai été bien éduquée avec les romans du Papa et n'oublions pas que le Fantastique et la SF sont mes styles de lecture de prédilection.

Bref. Un gros coup de coeur pour ce roman ! Maintenant je vais programmer la lecture de Nosfera2 après la fin du challenge, histoire de confirmer le coup de coeur pour cet auteur. J'avais adoré la série Lock & Key sur Net, pas étonnant puisque c'est tiré de romans de Joe Hill !
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Je ne pensais pas avaler un si gros pavé en si peu de temps. Dans ce roman, Joe Hill réussi à ne pas laisser de temps mort. On n'a pas le temps de s'ennuyer et on a souvent des périodes de stress pour les personnages.
On se retrouve à suivre Harper, infirmière contaminée par l'écaille et souhaitant tout faire pour mener sa grossesse à terme malgré la quantité d'embûche qui pourrait l'empêcher de mener son projet à bien. Dans une période entre l'arrivée d'une catastrophe et l'ambiance que l'on connait habituellement dans des histoires post-apocalyptiques.
Ici, on se retrouve souvent confrontés à notre manière absurde de vivre, à ce que l'humanité pourrait nous offrir de pire. Il est si facile de se laisser entraîner par sa haine et sa colère, se laisser porter par la panique et le désespoir. Harper nous offre un exemple de maîtrise de soi et d'espoir inébranlable.
Un bon roman à découvrir
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C'est impressionnant comme dès le départ j'ai eu l'impression que c'était ce qui nous arrive en pire. Une pandémie assez terrifiante, et tout le monde y va de sa théorie, et ça ressemble à du grand n'importe quoi. C'est comme ça, il y a toujours des gens qui ont des théories plus débiles les unes que les autres sur l'origine des catastrophes qui nous tombent dessus, et que souvent les médias propagent un peu trop vite.

Dès les premières lignes on est dans l'histoire, plongés dans les événements.
Une étrange épidémie apparaît, transmise par des spores et se manifestant par l'apparition de tatouages mordorés qui s'embrasent de temps à autre et provoquent semble-t'il une mort inéluctable par combustion.

Harper, infirmière, découvre qu'elle a été contaminée et qu'elle est enceinte, et par la même occasion la vraie nature de son mari.
D'ailleurs, n'est-ce pas au moment des drames ou des séparations qu'on découvre la véritable personnalité de ceux qu'on aimait ?

Rapidement elle va découvrir une colonie d'infectés, qui se cachent pour échapper à "l'abattage" qu'organisent des milices de non-infectés, soi-disant pour lutter contre la propagation du mal. Mais quelle charmante humanité...

Car oui, cette humanité au bord du gouffre va devoir reconstruire une société à l'écart des autres. On pourrait croire qu'ils ont appris de leurs douleurs. Eh bien même pas, ils vont laisser la noirceur de leurs âmes prendre le dessus. Il y a là une galerie de personnages effarants ou attachants, mais tous passionnants.

J'ai adoré ce roman qui nous parle de beaucoup de choses ; d'espoir avec l'énergie du désespoir, d'instinct grégaire, de la bêtise et de l'égoïsme, de religion et d'obscurantisme, du déni climatosceptique, d'écologie, et du fait qu'on semble n'apprendre jamais rien de nos erreurs ; comme si nous-mêmes n'étions rien d'autre qu'une saloperie de virus qui détruit l'écosystème dont il a besoin pour vivre, comme un Ebola qui à peine installé dans son hôte, le détruit irrémédiablement sans aucune logique pour sa propre survie...
alors que l'ensemble de la nature, de la faune et de la flore, va dans le sens de sa propre pérennité, l'humain semble ne voir qu'à très court terme.

D'ailleurs, l'hypothèse avancée là est très réaliste quant à l'origine du mal, puisque les scientifiques en parlent. C'est terrifiant de penser que rien n'est fait pour empêcher cela, et qu'on pourrait bien se prendre ce genre de réalité terrible comme un mur en pleine face .

Ce roman, comme d'autres avant lui mais c'est pas si souvent, m'a provoqué par moments des réactions physiques douloureuses, des angoisses au point d'en avoir des palpitations en lien avec la bassesse et la duplicité que certains recèlent dans leur âme, bien plus que par la dangerosité du virus.

Pendant cette lecture j'ai tremblé, d'inquiétude mais aussi de colère, j'ai eu peur et j'ai espéré, parfois mes yeux se sont embués... j'ai adoré cette histoire !
C'était le deuxième roman de Joe Hill que je lisais après Nosfera2. Je les ai aimés autant l'un que l'autre.

En digne héritier de son illustre père, qui n'est autre que Stephen King, la plume de Joe Hill est redoutablement efficace. J'en suis totalement fan.
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Avec Joe Hill, la relève de Stephen King est clairement assurée, même si on espère qu'elle ne sera ni pour demain ni pour après demain.

Dans ce roman, un virus se répand sur le monde L'écaille du dragon. Une brûlure intérieure, incontrolable, sauf pour l'homme feu et quelques personnes qui réussissent à maitriser l'écaille. Les personnages sont puissants et anbivalents. Parfois on les aime et d'autres fois on les déteste. Il y a tous les sentiments, de l'amour à la peur, de la convoitise à la haine. La tension est permanente, car le danger semble être tapi de tous les côtés.

La fin est explosive et personnellement, malgré les 620 pages, j'en aurais bien dévorer encore 100 de plus, pour ne pas avoir autant à construire sur l'après cette dernière bataille.
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Quelle aventure ! Je découvrais Joe Hill et c'est une excellente surprise. J'ai adoré ce roman ! Presque mille pages d'une histoire qui m'a tenu en haleine pendant trois jours !

Par où commencer.. le contexte ! J'adore ces mondes post-apocalyptiques ! Fan inconditionnelle de The Walking Dead, je suis déjà convaincue. Ici, c'est une maladie d'une toute autre nature : la combustion. La planète est ravagée par cette "écaille de feu" qui touche quiconque hume des cendres. Harper échappe pendant un temps à cette tragédie, pourtant elle est infirmière et côtoie des contaminés tous les jours. Jusqu'à l'accident. D'emblée, je me suis prise d'affection pour ce personnage. Une femme de caractère qui ne se laisse pas guider par la peur et qui tend la main à son prochain. Une femme aussi soumise à son mari que j'ai tout de suite détesté. Comme on dit souvent, trop gentil c'est suspect...

Enceinte, apeurée, Harper tente le tout pour le tout : elle fuit. Elle tombe alors sur John, alias l'homme feu, dont la faculté de contrôler le feu est aussi fascinante qu'apeurante. Il la conduit jusqu'à une petite communauté, cachée dans un ancien camp de scout. Elle y rencontre de nombreux contaminés qui ont survécu aux massacres et tissent des liens plus ou moins fiables. Mes petits coups de coeur vont pour Renée, une femme dont elle s'est occupée à l'hôpital qui lui sera d'un très grand soutien et Nick, un enfant sourd, qu'elle a soigné à l'hôpital également. Des personnages vraiment attachants qui aident Harper quand elle en a le plus besoin.

Ce roman est bourré d'actions. Il se passe un nombre incalculable de choses et j'étais tellement emballée que j'avais l'impression de moi aussi me battre pour survivre. de plus, c'est vraiment très bien écrit, et ça se lit à une vitesse !

J'ai aimé que l'auteur mette en avant le fait de vivre en autarcie. Cela a ses bons côtés mais il y a aussi des points négatifs. J.Hill le montre très clairement dans ce roman.

Et il faut retenir que le danger vient aussi bien de dehors que de l'intérieur...

Je suis ravie de ma lecture et vais continuer à lire les autres romans de cet auteur !
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Quand j'ai vu ce pavé je me suis dit : whouaaaa que de bonnes heures de lecture en perspective … Une fois la lecture terminée, je peut vous confirmer que je ne m'étais pas trompée de beaucoup.

Comme à son habitude, Joe Hill sait manier la plume, presque comme son père … Je dis presque car je ne suis pas sous le charme aussi intensément, mais je retrouve comme à chaque fois, cette petite folie qui me plaît tant !

La terre est sous l'emprise d'un vilain virus !!! Méchante maladie qui fait prendre feu aux êtres humains … Bhoooooo... ça craint quand même …. Tu te promènes tranquillement et plofffff tu t'enflammes …

Non, allez trêve de plaisanterie … Cette aventure est rondement bien menée, nous avons tout pour passer un excellent moment. J'avais vraiment l'impression d'être dans l'aventure, de ressentir ces nuées de fumée, cette chaleur incandescente frétillant sous la peau. Joe Hill est très fort pour ça. Il nous embarque une fois de plus dans les ténèbres, nous met face à cette horreur qui n'est pas simplement la maladie, mais aussi l'être humain qui parfois peut être bien plu dangereux et néfaste que le virus.

Un petit bémol quand même : pas mal de longueurs qui ont tout de même un peu ralenti mon avancée dans l'histoire … Et c'est quoi cette fâcheuse habitude de nous mettre une phrase à la fin du chapitre pour nous dire ce qu'il va arriver au personnage ! Ca spoil un peu je trouve … Une fois ça va mais régulièrement je trouve cela un peu lourd !!!!

Joe Hill reste une valeur sûre pour les amateurs du genre. Il y a comme à son habitude, une manière directe de vous amener dans son récit sans que l'on comprenne comment. Il a du talent c'est certain et une fois de plus il nous le confirme avec ce nouveau roman.

Je remercie les Editions JC Lattès pour leur confiance en me donnant l'occasion de découvrir le nouveau roman de Joe Hill.
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Une lecture qui m'a pas mal occupée ces dernières semaines puisqu'il s'agit d'une belle briquette de 700 pages. Un ouvrage sur lequel l'auteur a travaillé pendant quatre ans avant de le proposer à ses lecteurs. Et cet auteur il s'agit de Joe Hill. Ce nom ne vous dira peut être rien puisqu'il s'agit d'un nom de plume mais cet écrivain est tout simplement le fils de Stephen King que l'on ne présente plus.

C'est une information que j'ignorais avant d'écrire cet avis et c'est la quatrième de couverture qui a tout simplement attiré mon attention et donné envie de découvrir ce roman présenté comme un mélange de thriller et de science-fiction.

Imaginez ! du jour au lendemain, d'étranges tatouages sont apparus sur le corps de la population mondiale. Cela aurait pu être sans conséquence si ces marques ne s'embrasaient et de ce fait, vous transformaient en torche vivante. L'écaille, c'est ainsi que l'on nomme cette maladie est partout. Et il n'existe aucun traitement. le monde est plongé dans un chaos total et les incendies déciment tout sur leur passage.

Au milieu de cette désolation, Harper oeuvre pour aider les malades. L'abnégation dont elle fait preuve est totale et elle va le payer de la pire des façons puisqu'elle va être contaminée à son tour alors qu'elle vient d'apprendre qu'elle est enceinte.

Une seule solution pour elle. Fuir les milices qui traquent et abattent les malades pour sauver la vie qu'elle porte.

Son salut se présente lorsque sa route croise celle d'un homme capable de maîtriser le feu qui couve chez les infectés. Et si vivre avec l'écaille était possible ?

Je ne savais pas à quoi m'attendre lorsque j'ai entamé ma lecture mais voici une histoire dont on ne sort pas indemne et qui est à mettre entre les mains d'un public averti. La violence physique et verbale est présente tout au long de ce récit et, si elle m'a quelquefois dérangée, il ne pouvait en être autrement pour ce monde apocalyptique.

Le style d'écriture de l'auteur est à l'image de cette violence : brut de décoffrage, sans fioriture, percutant et très imagé. Il ne laisse aucun répit à son lecteur.

On pourrait dès lors se dire que c'est une histoire basique qui nous est délivrée. Mais que nenni ! L'univers imaginé est sublimement exploité, les retournements de situations m'ont laissée pantoise et je me suis rongée les doigts jusqu'à l'os tellement certaines situations m'ont stressée.

Ajoutez à cela des personnages qui ne vous laisseront pas indifférents, que ce soit ceux qui font preuve d'altruisme ou ceux qui vous donnent envie de vomir. Il n'y a pas de juste milieu, vous devrez choisir un camp.

Joe Hill nous propose ici un roman explosif qui n'a rien à envier à son King de père. On se laisse vite submerger par cette histoire qui nous mène aux tréfonds de l'âme humaine avec ses violences, ses peurs et ses espoirs. Un portrait sans aucune concession d'une société où l'égoïsme, la peur et la bêtise occupent les premières places. Cela ne vous rappelle rien ?!

A découvrir de toute urgence !
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Joe Hill nous montre à sa vision de la fin du monde, avec son dernier roman.
Ils nous racontent, qu'une épidémie vient de se rependre sur terre. Celle-ci se propage sous forme de sport, et les gens infecter ce retrouve avec des genres de tatouage sur le corps. Ces tatouages sont appelés écaille de dragon. Et les personnes infectées vont subir le sort de combustion spontané. Alors de la va, se conclure en un brasier géant sur toute la planète. Ou les non infecté vont faire en sorte d'exterminé les malades, pour éradiquer cette peste.

Une jeune infermière, saine, va essayé de venir en aide au malade. Jusqu'au jours, ou l'hôpital prend feu. Suite à ça, elle va découvrir qu'elle est enceinte mais aussi porteuse de cette maladie. de la, elle va tout mettre en oeuvre, pour essayé de sauver son enfants.

Celle-ci, va faire la rencontre d'un individu, ce faisant appelé le pompier, qui arrive a dompté le feu. Et cet homme, va l'emmener dans un camps de survivant. Dans ce camp, elle va se rendre conte, que les personnes infecter, on trouver un remède et celui-ci consiste a chanter.
Mais tous ne va pas ce passer comme prévu.

Excellent livre, quoique un tout petit peu moins bon que Nosera2. Mais qui ce laisse lire facilement. Et où, l'on s'attache bien aux personnages. Avec du rebondissement jusqu'à la fin.
Joe Hill, nous fait énormément de clin d'oeil, a ses propres livres mes ainsi qu'à son père et plein d'autre auteur, réalisateur et acteur. C'est comme s'il avait voulu, à travers son roman, remercie toute sa connaissance littéraire et qui lui a permis de devenir écrivain.


Et vous avez-vous peur du feu ???
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