AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Faignan


J'aime bien Robin Hobb. L'assassin royal a été un bonheur pour moi. Donc, il y a quelques années, quand cette série est sortie, j'ai voulu la lire. Je me suis arrêté en plein milieu. Je n'avais pas la foi, je n'accrochais pas. Puis, il y a quelque temps, cette saga est revenue dans la conversation. Je me suis donc lancé dans une nouvelle tentative. J'avais conscience que si je m'arrêtais en chemin, je n'arriverais jamais jusqu'au bout.
Le cycle commence avec la déchirure. du premier abord, l'univers semble novateur. Nous arrivons dans un univers qui s'inspire clairement du Far West. D'un côté, nous avons un royaume dans la révolution industrielle, de l'autre des nomades qui rappellent les natifs américains. D'un côté la magie, de l'autre une religion monothéiste qui possède une sorte d'écriture sacrée et un code moral rigide. Jamere Burvelle est le personnage principal de cette histoire. D'un premier abord, nous pourrions croire que sa vie est simple et toute tracée. Mais voilà, il vit dans des territoires nouvellement conquis. Fils militaire d'un nouveau noble, son statut n'est pas aussi bien assuré que nous pourrions le croire. Pour parfaire son éducation, son père qui l'a élevé pour être militaire, l'envoie auprès d'un vieil ennemi, un nomade qui doit lui apprendre une autre façon de faire la guerre. Cette histoire est avant tout une histoire autour de l'identité.
Le tout est alléchant, mais dès ce moment initial, je ne suis pas à mon aise. Tout est trop caricatural. le plus dur pour moi est le système successoral. Je ne comprends pas comment un truc pareil pourrait tenir. C'est idiot, mais ça m'empêche complètement de m'impliquer dans l'histoire.
Commenter  J’apprécie          30



Ont apprécié cette critique (2)voir plus




{* *}