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C est ma bibliothécaire qui m a conseillé ce titre. Elle connaît mon pêché mignon pour les dystopies. Elle a attisé ma curiosité en me disant que je n en avais jamais lue comme celle ci. Et je confirme. Une véritable pépite. le début ne paie pas de mine, ça demarre doucement. Mais alors quand l action se met en place Ça déménage.

J ai beaucoup aimé l univers créé par l auteur autour des bécanes. Un monde sordide où il n y a que deux possibilités : travailler à la mine et crever ou gagner des courses avec sa bécane et obtenir son billet pour la base un paradis dans le ciel.
Adam dont le frère vient d être assassiné, décide de participer à une terrible course dans le désert. Une course où il y aura des morts, des pièges, du danger.
Adam formera un trio avec Sadie une nana courageuse et douée pour réparer les bécanes et fille du colonel et Kane un personnage mystérieux qui m a conquise dès le départ.
L histoire est très prenante, angoissante menée à un rythme effréné. Un twist final particulièrement réussi.
Bref j ai vraiment adoré et je regrette que le tome 2 ne soit pas encore sorti.
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Je cherche mes mots depuis pas mal de temps pour vous parler de ma lecture de Stone rider... sans pour autant trouver par où commencer ni comment dire tous les effets que ce roman a eu sur moi. À la fois déroutant et captivant, j'ai vécu quelque chose d'unique avec cette histoire. J'avais beau me sentir très étrangère, très paumée, il y avait un truc qui me maintenait au livre, qui m'empêchait de le reposer/d'abandonner. Comme une voix qui me soufflait « Continue. Continue... » Je l'ai fait et je suis encore plus perdue. Ai-je aimé ?

Dans la vie d'Adam, vous avez deux choix de carrière : la mine ou la Course, l'un aussi dangereux que l'autre. Mais si vous gagnez la course, vous pouvez échapper à la mine et partir pour la Base. Installée dans le ciel, c'est la cité idéale où tout le monde rêve d'être. le gagnant de la course gagne son billet d'entrée. Cette année, Adam est décidé à gagner la Course, qu'importe que sa Longthorn soit fatigué, qu'importe qu'il soit seul... Il ne veut pas finir à la mine.

On le sent dès le départ, Adam est un personnage prêt à tout et Stone rider un roman très particulier. « Une écriture nouvelle et captivante » annonce Gallimard sur la quatrième de couverture. C'est très bien dit et je crois que c'est un des plus qui m'a maintenue au récit. La plume de David Hofmeyr a quelque chose de particulier et donne une ambiance très oppressante à son récit. Non pas que ce soit bien ou mal, Stone rider est vraiment addictif et prenant. Mais il en ressort un je ne sais quoi de sombre, d'assez inhumain et de plutôt cruel.
Cela vient d'un tout : la complexité à suivre certains dialogues, le sentiment d'injustice, la difficulté de la Course, les personnages eux-mêmes, l'écriture de l'auteur. Les phrases - de même que quelques chapitres - sont souvent courtes, incisives ; les dialogues sont brefs, parfois brutaux/agressifs ; le monde dans lequel évolue les personnages est injuste, leurs possibilités d'évasion si minces ; le style de l'auteur aussi décousu que direct ; les liens entre les personnages ont la même consistance. J'étais souvent paumée, souvent incapable de cerner Kane ou Adam, de comprendre ce qui avait fini par les unir.
Pourtant, je m'y suis plu ! Si Adam et Kane sont des personnages que j'ai parfois eu du mal à suivre, une part de moi n'a pas pu s'empêcher de s'accrocher à eux. J'avais beau être parfois perdue dans les dialogues et dans l'action, je ne résistais pas au besoin de connaître le fin mot de Stone rider, d'avoir envie qu'ils s'en sortent. C'est prenant, tant par l'action que par ce côté acéré de l'écriture ! Sans compter que j'étais incapable de deviner ce qu'il arriverait aux personnages, de répondre aux questions qui m'arrivaient au fil des pages. Il fallait littéralement que je continue !
Stone rider est aussi un mi-chemin intéressant. Mi-aventure, mi-romance, mi-biker, le lecteur évolue dans un univers hostile où la moto est une part dominante de la société. Elle est un héritage familial et un prolongement de soi, un objet de liberté comme de dangers. David Hofmeyr arrive même par moments à lui donner un côté vivant, à la limite de l'intelligence artificielle. J'avais peur que ce soit quelque chose qui me laisse externe, mais finalement j'ai saisi rapidement la force de ce lien, la nécessité des Courses. C'est presque palpable : Adam aime sa Longthorn autant qu'il pourrait aimer un animal de compagnie ou même une personne physique.
Si je ressors de ma lecture incertaine quant à l'idée d'avoir aimé ou non ce récit, j'ai la conviction qu'il détient quelque chose autant dans l'idée de potentiel que dans l'idée que c'est simplement moi qui ai bloqué au départ du roman. Parce que j'ai finalement apprécié tout ce qui fait la différence de Stone rider, cette dualité constante qu'on ressent entre les personnages et dans les personnages. Adam et Kane ne se battent pas seulement pour une vie meilleure, ils se battent aussi avec eux-mêmes, ce qu'ils sont et ce qu'ils ne sont pas/ce qu'ils voudraient être. Et je me suis finalement aussi prise au jeu de l'écriture de David Hofmeyr, qui avec du recul a su retranscrire et transmettre beaucoup au travers de son roman.
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« Une course pour l'espoir. Une course pour l'amour. Une course pour la vengeance . » Voilà ce que nous promet cette couverture aux deux motos qui foncent dans ce désert aride… et… pari réussi !


J'ai commencé ma lecture en étant convaincue qu'il s'agissait d'un one-shot, je me suis malheureusement trompée. Ce qui m'inquiète, c'est que je ne trouve aucune information sur la parution du prochain tome alors que le tome 1 date maintenant de 2015… Et je serai plus que déçue de ne pas connaître la suite… !
Pourtant, le début de ma lecture n'a pas été folichon. J'ai rencontré quelques difficultés à rentrer dans l'histoire et j'ai eu du mal à apprivoiser l'univers. Mon immersion n'a pas été immédiate et a été compliquée.
Puis, il y a l'arrivée de Kane, et les événements avec Franck… Dès lors, tout s'enchaîne et c'est un rythme effréné qui s'installe jusqu'à la fin. Avec «Stone Rider» David Hofmeyr a réussi un coup de maître ! Il révolutionne la dystopie et nous prouve à nous lecteur que le genre n'est pas épuisé, qu'il peut encore se renouveler et se démarquer de ses congénères.


Ce livre est une véritable course poursuite, au sens propre comme au figuré.
Quel univers ! C'est badass à volonté, on est pris dans la course autant que les personnages. On trépigne et on s'inquiète, j'ai aimé ressentir cette tension tout au long du livre. Le suspense est à son comble et la prévisibilité est absente. C'est masculin, violent, énergique, audacieux et original. « brûlant de caractère » dit Michael Grant (auteur de Gone) au dos du livre, et c'est exactement ça !
Avec sa « békanique » David Hofmeyr crée un univers avec une vraie identité. Les protagonistes entretiennent avec leur békane un étrange lien spirituel. Lorsqu'ils enfourchent leur moto il y a une sorte de fusion entre leur corps, leur esprit et la békane, ils ne forment qu'un. Avec son petit côté Mad Max l'auteur surprend. Et quel twist final ! Je ne l'ai pas vu venir!


Niveau personnages, alors que Kane m'a plu tout de suite, j'ai mis du temps à m'attacher à Adam et Sadie. Pourtant, au final, c'est ce trio infernal qui fait que l'on aime ce livre. À eux trois ils forment une unité. Kane est dangeureux, mystérieux et sacrément charismatique. Adam est celui qui évolue le plus au cour de l'histoire. Il se révèle, s'endurci, prend de l'aplomb et du courage. Et malgré tout, il reste égal à lui-même vis à vis de ses valeurs. Quant à Sadie, j'aime ces personnages féminins forts. Elle a du cran, c'est une battante, être une Blood l'a forgé. La vie de famille chez eux relève plutôt de la survie. (Si toutefois on peut appeler ça une famille… ? Avoir Levi comme frère et le Colonel en tant que père n'est pas une mince affaire…)


Vous l'aurez compris, je suis conquise, j'ai très envie d'en apprendre davantage sur la base et de connaître l'avenir de tout ce petit monde… Si vous en avez marre des dystopies qui suivent toutes le même schéma, tentez « Stone Rider » ! Une course poursuite à coupe le souffle ! Palpitant !
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Dans le futur, les hommes restés sur Terre survivent à peine, travaillant à la mine, mourant jeunes. Une partie des hommes sont partis vivre sur une base. On dit qu'ils y vivent bien et en bonne santé. Une seule chance de rejoindre cette base : gagner la course de Blackwater. La participation à la course permet au moins d'échapper à course. Mais la course est dangereuse, les blessures, décès sont nombreux.
Adam Stone a justement une vie très difficile. Il hésite à participer à la course, s'il gagnait, il devrait abandonner son frère qui est handicapé depuis qu'il a a lui même fait la course mais s'il ne participe pas, il devra aller travailler à la mine...

Une course très dangereuse, pour amuser un petit groupe de privilégiés, on pense bien sûr à Hunger Games et d'une certaine manière dans les alliances, le fait qu'il ne peut y avoir qu'un seul gagnant... il y a des ressemblances.
Mais le roman a plein de spécificité et on oublie vite la comparaison.
Il y a d'abord le personnage d'Adam qui est vraiment intéressant. Dans un monde difficile, violent, Adam est plein d'empathie. Il s'intéresse aux autres, il leur vient en aide. Pour gagner la course, il le sait, il faudrait se montrer égoïste, ne pas s'attacher aux autres, se méfier de tous mais Adam en est incapable.
Il y a aussi plein de suspense et de surprise. A plusieurs reprises, j'ai été très étonnée du revirement de situation. Je ne m'attendais en particulier pas du tout aux diverses révélations sur Kane, personnage mystérieux, que rencontre Adam.
Il y a une grande particularité : les békanes, des engins que l'on se passe de père en fils et qui gardent en mémoire la trace des pilotes précédents. Les courses en sont enrichis.
Il y a surtout, une atmosphère particulière. A la fois dans la description de ce monde violent, dans lequel on rentre vite. Mais aussi dans le style de l'auteur dont on perçoit le rythme même à travers la traduction.

Le roman a une vraie fin avec une petite ouverture mais j'aurais voulu qu'il continue encore. C'est peut-être le seul petit reproche que je pouvais faire au roman. Mais j'ai lu que ce serait une trilogie. Vivement la suite !
Lien : http://bloguiblogas.blogspot..
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Voici une parution de la rentrée qui m'a très vite intriguée. Je n'avais absolument pas entendu parler de ce roman, pourtant j'ai très vite été accrochée par le résumé, promettant une histoire des plus originales, ainsi que par la couverture, sobre mais superbe. Je ne savais donc pas trop à quoi m'attendre, et j'ai plongé dans l'histoire auprès d'Adam Stone.

Tout au long du récit, on suit donc Adam qui rêve de quitter sa ville natale désertique, Blackwater, pour la luxueuse Base. Sa seule chance pour accomplir ce rêve : remporter la course sur le Circuit de Blackwater. Une course à moto dangereuse qui le mettra à rude épreuve, corps et âme. Sauf qu'il ne sera pas le seul à tenter sa chance, et il devra alors affronter Kane ainsi que la belle Sadie. Mais est-il vraiment prêt à tout afin de réaliser son rêve ?

Le gros, gros point fort du roman est sans conteste l'univers ultra-original qui le compose. A mi-chemin entre la romance adolescente, la dystopie et le monde des bikers, Stone Rider est un savant mélange qui happe le lecteur dès les premières pages et qui nous entraine dans une incroyable poursuite, tourbillon d'évènements et de sensations.

J'ai été par contre mitigée par le côté hyper masculinisé du livre. Sans conteste David Hofmeyr vise un public assez restreint, s'adressant essentiellement au lectorat masculin que féminin. Les personnages féminins ont d'ailleurs un rôle assez rédhibitoire au milieu de toute cette violence, cette virilité et cette profusion de testostérone. L'action a la part belle dans ce roman, au détriment de tout le côté émotionnel qui parait bien fade, limite insensible, et qui manque cruellement de développement.

La plume de David Hofmeyr illustre ce ressenti. L'auteur ne fait pas de chichis, il va droit au but avec des phrases courtes dignes d'un scénario. Il relate ce qu'il voit, ce qu'il imagine, sans entrer dans le côté émotionnel du récit. Les faits sont là, bien décrits dans ce style rapide et concis, mais cela apporte une certaine froideur au texte qui m'a encore une fois assez perturbée.

L'histoire, quant à elle, est véritablement centrée sur ces courses de motos. A ce niveau là, j'ai trouvé que l'auteur réussissait parfaitement à nous mettre dans l'ambiance dangereuse et survoltée que créaient ces évènements. le danger est là, tapi à chaque page, et on ressent parfaitement cette tension et cette nervosité tout au long de l'histoire. de ce côté là, j'ai été pleinement convaincue par l'atmosphère de l'histoire, très prenante et angoissante.

Ainsi, si l'univers du livre m'a véritablement séduite, le contenu en lui-même m'a plutôt refroidie. David Hofmeyr a oublié toute la partie humaine de son récit, ce qui aurait parfaitement contrebalancé avec le monde sombre, cruel et insensible qu'il dépeint. Toute cette absence de sentiment a été la cause de ma difficulté à rentrer pleinement dans ce récit, et à m'attacher aux différents protagonistes. Je n'ai pas eu l'impression de les connaitre plus que cela. Quant à la romance, à peine esquissée, elle ne m'a pas vraiment transportée elle non plus...

J'attends donc énormément de la suite. Car David Hofmeyr a tout de même su titiller assez ma curiosité pour avoir envie de poursuivre l'aventure auprès d'Adam. Stone Rider reste un récit très original dans un genre dystopique où on commence vite à en faire le tour et à se lasser. L'auteur a ainsi su proposer une nouveauté qui fonctionne, incontestablement, même si elle plaira plus au lectorat masculin que féminin. J'espère donc retrouver un peu plus d'émotions dans le prochain tome pour me transporter véritablement au coeur de l'histoire et m'attacher pleinement à ces personnages si différents les uns des autres. Une série qui reste à suivre...
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Je ne connaissais pas ce roman avant qu'il soit élu pépite du roman adolescent européen par le salon du livre de Montreuil. le résumé et la couverture m'ont de suite plus donc je l'ai acheté.

L'auteur nous immerge dans un univers assez original. Blackwater est une ville hostile à la vie, entre pollution, produits toxiques, tempête et des températures qui varient grandement, ce n'est pas un lieu propice pour que des hommes y vivent. Et pourtant, Adam y vit, pour s'en sortir, il n'a qu'une seule chance, participer à la course de békanes de Blackwater et gagner un ticket pour la Base, le saint des saints.

Ce livre m'a particulièrement plu à cause de son univers unique. Ce désert hostile où tous les hommes n'ont que deux choix : la mine ou la course. J'ai apprécié cet univers. Mais je dois dire que je me pose pas mal de questions sur ce monde. Que renferme la Base, parce que pour l'instant j'ai plus l'impression que c'est un mirage. Pourquoi organiser cette course ?

En plus, la préparation de la course et la course en elle-même ne manque pas d'actions. C'est ce qui fait qu'on ne peut pas lâcher ce livre une fois commencé. J'ai aimé être au coeur de la course et ressentir ce que vit Adam. L'action comprend pas mal de scènes de violences mais on est prévenu dès le début, tout ou presque est autorisé pour gagner.

Adam est un personnage courageux et motivé. Il n'aime pas la violence mais n'hésite pas à s'en servir quand c'est vraiment nécessaire. Sadie est le seul personnage féminin de ce roman. Elle n'a rien d'une jeune fille sensible, elle est assez coriace car marquée par les événements durs de sa vie. Kane est un solitaire. Son histoire est bouleversante et un peu irréaliste mais sa carapace fait qu'on n'arrive pas à capter ces sentiments.

En bref, c'est un univers qui m'a particulièrement plu avec une course folle qui nous maintien en haleine tout au long du roman. Malgré tout, pas mal de questions se posent parce que l'auteur ne donne pas assez d'explications. J'espère trouver ces réponses dans les prochains tomes.
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Une lecture déroutante, une nouvelle expérience dans le monde de la dystopie.... Stone Rider m'a fait l'effet d'un bon coup de poing, vous enlevant souffle et raisonnement.
L'univers désertique et mort renvoyant à un décor de Mad Max est terriblement masculin terriblement viril, terriblement cruel. La testostérone est là, à chacune des pages.
Et cela change de la ligne directrice "féminine" des dystopies.
J'avais le gorge sèche et pleine de poussière à l'image des participants de cette course mortelle de Blackwater. On vit et ressent la fatigue, la mort, la peur et le sang. C'est bruyant, vrombissant, pétaradant, poussiéreux, rugissant....Même la belle Sadie a un côté masculin assumé. Tout est brut et brutal. Et j'ai aimé ce côté western futuriste et violent.
Mais, il ne s'agit pas d'une violence vaine et complaisante, non... en filigrane, on retrouve - à mon sens - la trame du Cid : l'amour et l'honneur; la vengeance par le sang pour laver les crimes, la loyauté et les sentiments enchevêtrés dans une gangue de violence.
Quand la littérature jeunesse contemporaine croise les grandes tragédies classiques, cela donne une profondeur étonnante à notre vision de futur....
J'ai trouvé cet alliage vraiment fort, novateur et osé.
L'écriture est forte. Percutante. Dure et fragmentée. Mais, paradoxalement, de cette fragmentation naît une mélodie poétique mélancolique.
Car mélancoliques, les personnages le sont terriblement, ce qui leur confère une force presque palpable. Adam, Kane et Sadie nous deviennent proches et semblent presque faire partie de nous à la fin du tome 1 tant l'écriture nous fait vivre leurs tourments.
Bon, je dois reconnaître tout de même que certains passages de description mécanique étaient un peu longs pour la femme que je suis, mais il faut reconnaître à l'auteur le talent d'avoir réussi à faire vivre de simples engins juste par la force de son écriture.
J'ai plus que hâte de suivre la suite des aventures de ces personnages...Il est fort à parier que cet éden rêvé, La Base, ne sera pas aussi paradisiaque qu'il en a l'air...
Un beau moment...vraiment
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Adam Stone rêve depuis tout petit de participer au circuit de Blackwater, une course de « békanes » dont le premier prix est un aller simple pour la base, un paradis où tout le monde rêve d'aller. Mais plus que tout, Adam veut la belle Sadie Blood, la fille du colonel de la ville de Blackwater. Entre lui et la base, il y a les Scorpions, une des bandes de la ville dont le chef n'est autre que Levi Blood, fils du colonel. Il est aussi habile sur sa békane que tyrannique. Adam fera aussi la rencontre de Tone, un pilote inquiétant.

Le meilleur livre que j'ai lu depuis longtemps.

Note : 10/10

Sébastien
(Depuis le blog Livresse du comité ado)
Lien : https://livresseanderlecht.w..
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Stone Rider est génial,dans le thème de mad max.En gros c'est dans le futur la terre est pourrie un base spatiale a été crée pour accueillir les riches.Le seul moyen pour les habitants de la terre d' y aller est de gagner une énorme course de moto spectaculaire.
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Dans un monde à la "Mad Max", où les hommes ont massacré la Terre à tel point qu'elle est devenue toxique, la lie de l'humanité tente d'y survivre malgré tout. Les humains les plus favorisés ont fui vers le ciel dans des vaisseaux-arches. Pour se divertir, ils offrent aux Terriens la possibilité de gagner le droit de les rejoindre par le biais d'une course de motocross truffée de pièges mortels.
Adam, quinze ans, va tenter sa chance sur sa békane...
Une lecture difficile, violente, haletante. Heureusement, les valeurs telles que la solidarité et l'amitié subsistent dans le coeur de certains. Cette aventure plaira surtout aux garçons férus de motos (mais pas que), à partir de quinze ans. Pour ma part, je lirai le second tome avec plaisir, mais nuancé d'une petite appréhension à cause de la brutalité du monde évoqué. Bon, je serrerai un peu les dents!
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