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EAN : 9789995253172
Editions Tombouctou (01/01/2015)
2.5/5   2 notes
Résumé :
Dans son nouveau roman, Adamou Idé s'interroge sur le tragique destin de ces fils et filles de paysans d'Afrique partis à l'assaut du savoir à l'université du pays. Nourris de rêves et d'espérance, ils ne rencontrent que d'amères désillusions. Victimes d'un système d'apprentissage de la vie qu'ils n'ont pas choisi, ils résistent. Ils luttent avec les armes de leurs convictions. On leur tire dessus? Peuvent-ils s'essayer à d'autres vocations? Peuvent-ils marcher sur ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Au Niger, un fils de paysan a la chance de pouvoir poursuivre ses études grâce à l'aide de son oncle? Mais en fin de compte, rien n'est aisé et le choix est difficile entre l'espoir d'un futur meilleur et l'appel des traditions... Il s'agit là d'un thème classique dans la littérature africaine. le livre est agréable à lire. On se pose, avec l'auteur, toute une série de questions, mais rien de bien nouveau n'en ressort.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Connais-tu la puissance des mots? Connais-tu ce plaisir suprême, ce bonheur ineffable que l'on ressent quand on les écrit pour chanter, dire le beau, la vérité, ouvrir les portes des prisons, guérir les blessures des hommes?
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… Comme un seul homme, nous entamâmes les premiers mètres sur le pont…Devant nous, point de salut. Il fallait courir vite, dans le sens inverse de notre lutte et de notre dignité. Une deuxième explosion tonna, plus assourdissante que la première, suivie aussitôt d’une troisième. Puis des armes crépitèrent tacatacatac…tacatacatac…Des crie d’orfraie fusèrent de partout. On crachait, on toussait, on courrait, la poitrine en feu, les yeux en larmes. Et c’est dans cette course effrénées pour sauver le seul bien qui nous restait encore que je sentis Cajou ralentir le pas, puis se ramollir, après avoir poussé un cri sourd. Un cri qui m’arrêta net dans mn élan… A quelques mètres, Issaka aussi gisait dans une mare de sang. Touché en plein milieu du dos, il ne bougeait plus. Non loin de lui, un autre étudiant. Fauché pareillement…
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