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Critique de HORUSFONCK


Ma première visite chez Ionesco!
Voilà ce que c'est, d'avoir arrêté ses études à Bac moins deux.
On traîne, on remet, mais on finit par arriver à La cantatrice chauve, puis à La leçon puisque cette dernière suit la première. Il y a donc une certaine logique dans ce théâtre de l'absurde. Un, puis deux... À noter que cela aurait pu être deux puis un. Va savoir. Mais cela m'aurait contraint à commencer la lecture du volume à plus de sa moitié en y mettant un marque-page supplémentaire! Trop complexe pour Horusfonck.
Donc, Horusfonck (c'est moi) le traîne-lattes des chefs-d'oeuvre de la littérature entame, poursuit et achève la lecture de son premier volume des écrits d'Eugène Ionesco. Rien que ça.
Alors, j'ai bien apprécié et je ne m'en étonne pas puisque je ne suis jamais si bien servi que par moi-même en personne. Jusque-là, rien d'absurde.
Je lirai donc d'autres oeuvres de Ionesco.
D'avoir lu, avec gourmandise, Courteline et Cami, me permet d'en retrouver quelques traces dans les deux pièces de Ionesco... Absurde, me rétorquera-t-on? Eh, pas tant, répondrai-je en évoquant Les Boulingrins et Drames de la vie courante.
Il faut bien se raccrocher à quelque-chose, absurde ou non ?
Passons.
Ionesco va plus loin dans l'absurde et la réjouissance qu'il (l'absurde) peut procurer au lecteur/spectateur/critique/prof/élève/pompier/poissonnier et que sais-je encore qui ouvre les vannes de sa perception et laisse ses yeux briller. Sans queue ni tête mais avec tête-à-queue garanti ou non mais pas que.
Je répète : J'ai bien apprécié.
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