AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de pandaroux


Bill Abott est un jeune garçon issue d'une union entre une mère un peu bizarre (seule sans ambition particulière) et d'un père soldat inconnu.
Il va nous conter sa vie, ses peurs, ses envies.

Dans une Amérique puritaine (on est dans les années 50), Bill nous raconte sa quête de soi, son attirance pour la poitrine de la bibliothécaire ou son attirance pour son beau père. Il va s'avérer être un bisexuel, nous rassurant constamment pour son amour pour les femmes mais également pour les hommes.

C'est un livre appel à la tolérance. Il est plein d'humour pour traiter les thèmes de l'homosexualité ou encore de la bisexualité. On se souvient notamment du grand père qui n'aimait jouer que les rôles de femmes, ou encore la bibliothécaire qui insiste sur son titre de "Miss".

J'avoue avoir un peu eu du mal au début de ma lecture. le début est truffé de référence théâtrale à des auteurs comme Ibsen ou encore Shakespeare (forcément des oeuvres que je n'ai pas encore lues, oh honte à moi). La lecture a été limpide par la suite car on s'attache à Bill et aux autres personnages, on s'émeut beaucoup mais on rit beaucoup.

Évidemment dans ce livre de John Irving, on ne peut pas louper des épisodes sur Vienne ou encore sur la lutte. Pour moi ce sont toujours des clins d'oeil fétiches au monde selon Garp.

Vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé mais j'ai adoré. le jeune Bill Abott va me manquer.
Commenter  J’apprécie          150



Ont apprécié cette critique (13)voir plus




{* *}