La villa aux étoffes, tome 3 : L'héritage de la villa aux étoffes

Dans ce tome 3, la première guerre mondiale est terminée.
L'économie est en berne et la famille se retrouve presque au complet.

Cet opus est moins intéressant que les deux précédents. On se retrouve avec une crise conjugale pour les deux personnages principaux.
D'ailleurs tout tourne un peu de trop autour de cette crise.
Le roman décrit aussi des changements de moeurs, une évolution vis a vis des femmes, et donc un conflit générationnel. Avec certains éléments qui m'ont semblé peu crédibles par rapport a l'époque.

Néanmoins ce roman se lit bien et reste agréable malgré tout. Je reste intéressée par l'histoire de cette famille et de son personnel de maison.

Je suis donc au milieu de la saga, j'espère que la suite reprendra un peu de souffle et que ce tome 3 ne sera qu'un tome de transition.

Traduit de l'allemand par Corinna Gepner

Cette saga est comparée à "Downton Abbey". J'ignore si la comparaison est pertinente puisque je ne connais pas cette série ou ce film.
La guerre est finie, mais les effets délétères de l'inflation pèsent sur les plus pauvres.
Ce n'est bien évidemment pas le cas de la famille Meltzer dont l'entreprise a été remise à flot grâce à l'apport financier du meilleur ami de Paul, Ernst von Klippstein devenu son associé.
Entre Paul et Marie, le torchon brûle. Plus question d'amour fou. Marie quitte le domaine avec ses enfants.
Que va-t-il advenir de leur couple ?
On tourne en rond pendant quasiment tout le troisième tome : je t'aime ou je ne t'aime plus ? Je ne t'aime plus ou je t'aime encore ?
J'avoue que ce récit m'a beaucoup moins intéressée que les précédents, ce qui explique mes seulement trois étoiles.
Je suis déçue.

Comme pour les 2 tomes précédents, le livre commence à être intéressant uniquement à la seconde moitié.
Cependant, j'ai trouvé intéressant les traits de personnalité peu avenant que l'auteur a développé pour certains personnages. J'ai également apprécié de découvrir la psychologie des allemands après la guerre. Mais je trouve que cet aspect n'est pas assez développé.

Enfin, le troisième tome est fini.

Vous l'aurez compris si je dis enfin c'est que pour moi c'était presque un supplice.

Que de lenteurs, de longueurs, de moments où il ne se passe rien de spécifique...

Je vais tout de même persévérer avec les tomes suivants car j'ai aimé les deux premiers mais pitié pas un autre tome comme celui-ci...

Troisième tome et petit coup de moins bien dans cette saga maintenant culte d'Anne Jacobs.
Alors que le premier tome est construit autour d'un décret de famille et d'un amour qui déjoue les mariages entre classes sociales; que le deuxième traite du rôle des femmes durant la guerre de 14 à la tête des familles … ce troisième tome tourne autour d'une dispute de couple qui dure plus de 550 pages. Je l'aime mais il ne me respecte pas, je l'aime mais elle ne veut pas m'écouter blabliblu snif snif.

Les personnages secondaires que j'ai tant aimé dans le second tome sont quasiment effacés (Tilly et Klippy).

Bon, parce que les petites manigances des domestiques restent savoureuses et que les enfants de la famille sont vraiment charmants … je lirai la suite.
Et puis cette sensation de retourner dans un endroit douillet quand on lit une longue saga familiale mérite un peu d'indulgence.
Par contre pour le 4ème tome, plus de cadeaux, les Melzer ont intérêt d'être au niveau !!

Dans se troisième tome, la guerre est enfin terminé et tout semble revenir à la normal. Marie va débuter une nouvelle carrière qui lui tient à coeur pourtant dans sa vie privée tout va mal.
C est un vrai plaisir de retrouver la famille et leurs aventures. Une lecture rythmée et agréable

Un troisième tome qui nous plonge dans l'après première guerre mondiale. La famille Melzer essaie de retrouver une vue normale sans les privations de guerre. Mais ce début de 20 ème siècle est aussi le début de l'émancipation de la femme et cela perturbe l'équilibre de la famille.
Une lecture bien documentée avec des personnages attachants ( sauf une certaine gouvernante )
Mais je ne poursuivrai pas cette saga historique qui ne manque pas de secrets de famille mais il n'y pas assez de reliefs et trop de longs passages ennuyeux.

Instagram: visionbykri

Je retrouve ici la famille Meltzer dans la Villa aux Etoffes pour ce tome trois.

Tome trois qui me semble un peu long pour commencer. J'ai tendance à m'ennuyer durant les 200 premières pages je me demande quand est-ce qu'il va se passer quelque chose et j'ai aussi beaucoup de mal à me réhabituer aux personnages pourtant si bien connus.

Je persévère bien entendu et je commence à apprécier la lecture pour les plus de 400 pages restantes, ouf !

Rendez-vous donc à la sortie du quatrième tome.

Si l'on veut lire une saga grandiloquente en rebondissements, alors ce n'est pas cette série qu'il faut lire. L'auteur nous offre le quotidien de la famille Melzer après la première guerre mondiale, où la matriarche représente l'ancien temps auprès de ses enfants et de ses petit-enfants. Deux mondes qui cohabitent tout de même bien. Une lecture agréable et distrayante.

Nous retrouvons la famille Melzer après guerre en 1923, Paul a repris les rênes de son entreprise.Malgré les difficultés d'après-guerre avec son associé ils mettent tout en oeuvre pour moderniser l'entreprise familiale.

Marie quant à elle a des projets de carrière et décide de se lancer à coeur perdu dans son projet maintenant que les enfants ont bien grandi.

Mais des obstacles prévisibles et imprévisibles vont encore venir perturber la vie de cette famille bourgeoise.

💫 Je dois vous avouer que j'ai vraiment dû me motiver et persévérer car j'ai failli abandonner.

Pourquoi ? et bien l'auteure a choisi un rythme beaucoup plus lent que le tome précédent et avec l'accumulation de descriptions cela a failli avoir raison de moi.

Passé un bon 200 pages enfin l'action revient et c'est tant mieux car j'ai beaucoup aimé toutes les péripéties que va subir les personnages.

Bref ici je découvre l'évolution de ceux-ci avec l'apparition de la modernité et les moeurs évoluent bien évidemment, les femmes commencent à s'émanciper.

J'ai beaucoup aimé Marie et ses belles soeurs encore une fois.

Un personnage dont je tairais le nom m'a vraiment fait dresser les poils enfin plutôt deux,mais cela donne vraiment un sens à ce roman.

On découvre aussi l'après-guerre et les difficultés pour les habitants allemands pour faire face à l'inflation ,le manque de travail.
Une population désireuse de nouveauté et d'espoir à des jours meilleurs.