Citations sur Grey : Cinquante nuances de Grey par Christian (102)
Lorsque j'ouvre les yeux, haletant, nous sommes front contre front, les yeux dans les yeux. Putain. Je suis foutu.
"Ana", c'est trop courant, trop ordinaire pour elle. Trop familier. Ces trois lettres ont le pouvoir de blesser... C'est à ce moment-là que je comprends à quel point je souffrirai lorsqu'elle me rejettera. Ça m'est déjà arrivé, mais je ne me suis jamais autant... investi. Je ne sais presque rien de cette fille, mais j'ai envie de la connaître, de la connaître tout entière. Peut-être parce que je n'ai jamais fait la cour à une femme.
- Pourquoi m'avez-vous offert ces livres, Christian ?
Parce ce que je voulais vous revoir. Et vous voilà...
- Quand vous avez failli vous faire renverser par ce cycliste, que je vous tenais dans mes bras et que vous me regardiez comme pour me dire "embrassez-moi, Christian"...
Je me tais en me rappelant son corps contre le mien. Eh merde. Je chasse aussitôt ce souvenir de mon esprit.
- ... j'ai eu le sentiment que je vous devais des excuses et un avertissement. Anastasia, je ne suis pas du genre à offrir des fleurs et des chocolats... Les histoires d'amour, ça n'est pas mon truc. J'ai des goûts très particuliers. Vous devriez m'éviter. Il y a pourtant quelque chose en vous qui m'attire irrésistiblement. Mais je crois que vous l'aviez déjà deviné.
- Alors ne résistez pas, souffle-t-elle.
Quoi ?
- Vous ne savez pas ce que vous dites.
- Expliquez-moi.
Elle me fixe, bouche bée, et je me retiens de lever à nouveau les yeux au ciel. Ouais, Ouais, bébé, c'est ma gueule, mais la beauté, c'est superficiel. J'ai envie de faire disparaitre ce regard admiratif de ces grands yeux bleus.
Enfin lu depuis le temps qu’on me l’a prêté 🤭 J’avais des doutes mais finalement c était bien, intéressant de lire ses réactions à lui, on a des explications à son comportement et surtout ses questionnements adoucissent l’image qu’on a de lui
— Je t’en prie, Ana, laisse-moi te faire l’amour.
— Oui, répond-elle.
Mon corps s’embrase comme un feu d’artifice. Contrôle-toi, Grey. Nous n’avons signé aucun accord, nous n’avons établi aucune limite, elle ne s’est pas livrée à mon bon plaisir – et pourtant, je suis excité. Je bande. C’est une sensation inconnue mais enivrante que d’éprouver du désir pour cette femme. J’ai l’impression d’être au sommet d’un grand huit.
Le sexe-vanille ?
Tu es sûr que tu y arriveras ?
- Mia, chérie, tu parles français, dis-je dans la même langue. Nous parlons anglais ici. Enfin, à l'exception d'Elliot bien sûr, lui parle l’imbécile couramment.
- Allez, mademoiselle Steele, vous avez une grosse journée demain. Plus tôt vous serez couchée, plus tôt vous serez baisée, et plus tôt vous pourrez dormir.
- Monsieur Grey, vous êtes un romantique.
- Mademaoiselle Steele, vous êtes une insolente. Je vais devoir vous mater. Allez.
Il n'y a plus rien en moi sinon un vide béant.
Pas de seconde chance. Jamais