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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Après avoir beaucoup aimé le tome 1 de la saga Il était une fois, j'étais impatiente de découvrir ce second tome, d'autant que les critiques sont encore meilleures. Je dois avoir des goûts littéraires très différents car pour ma part j'ai trouvais ce tome très mauvais !

On est bien loin du célèbre conte La belle et la bête et ici les personnages sont absolument détestables. Linnet est agaçante et sans aucune personnalité quand a Piers, pour reprendre le terme d'une critique que j'ai pu lire sur le net, il est une pale copie de Dr House. Les personnages secondaires sont sans intérêt.

L'intrigue quand a elle est cousue de fil blanc. Bref passez vite votre chemin, quand a moi, j'espère que les tomes suivants seront bien meilleurs.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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J'avais lu, il y a quelque temps, le tome un de la série et je n'avais pas du tout accroché.

Fidèle à mon habitude de laisser une deuxième chance aux séries et surtout parce que je suis toujours curieuse de lire une réécriture de conte, j'ai récidivé avec ce tome qui est le deuxième de la série.

En fait, je ne peux pas vraiment dire que c'était bien mais cela m'a moins déplu que le premier; j'ai même trouvé certaines des interactions entre Linnet et Piers plutôt drôles.
Peut-être est-ce mieux passé car il n'y a aucune référence historique et donc même si ce cadre imaginaire ressemble fortement au cadre dit "régence" des romances historiques, le fait qu'il n'y ait pas de références temporelles explique mon indulgence face aux entorses aux contraintes sociales du temps (l'âge tardif de l'héroïne pour un début dans le monde, ses moeurs pour le moins libérées, par exemple).

Evidemment, il y a néanmoins quelques moments de "suspension of disbelief" (suspension consentie de l'incrédulité , en français) mais bon, c'est un conte de fées.
Du conte originel pourtant, il ne reste pas grand-chose, hormis la grande beauté de la Belle.
Plus de grande soeur jalouse, de père qui enfreint une règle et promet sa fille en échange, de manoir merveilleux et surtout plus de Bête.
L'auteure fait passer la pilule en faisant du héros un boiteux soi-disant impuissant mais évidemment il est beau ou du moins grand, musclé, viril...
On est dans un roman d'amour, que diantre! Il s'agit de faire rêver et non de faire réaliste.
Dommage, j'aurai préféré qu'il ait quelques cicatrices, un handicap vraiment perturbant pour que le coeur même du conte (l'amour de Belle malgré les apparences monstrueuses) soit respecté.
Le surnom de Bête dans le roman est justifié par le mauvais caractère de Piers. Soit dit en passant, on n'en voit pas vraiment de manifestation dans le récit.

Dernier point : selon la quatrième de couverture, l'auteure est professeur d'université, spécialiste de Shakespeare.
Malheureusement, je ne suis probablement pas assez spécialiste pour avoir détecté une quelconque influence de ce fait dans le roman. Il y a bien quelques références aux contes de fées mais à Shakespeare...
De plus, la traduction a dû bien gommer des choses (on va dire ça...).

Au final, un roman d'amour de grande consommation, lisse et se servant une fois encore du prétexte de s'appuyer sur un conte.
J'ai regretté que les contes de fées se finissent bien car j'aurai bien imaginé Linnet rendant son dernier soupir dans son poulailler, histoire de donner un cachet tragique bienvenu à une histoire trop convenue.
Décidément avec ce genre de série, je perds mon âme romantique.

En tout cas, cela m'a donné l'envie d'en lire un troisième pour voir si mon opinion va encore aller en s'améliorant. Je tente probablement le diable!
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Tout merveilleux laissé de côté, Eloisa James réécrit "La Belle et la Bête" à la sauce romance historique. le récit devient alors quelque peu trivial. La romance domine là où l'aspect historique se résume à un contexte reculé. Clairement amatrice de "Dr House", elle emprunte ce médecin caractériel et insupportable mais très compétent pour en faire sa "bête". Face à lui, une "Belle" qui ne s'en laisse pas compter et dotée d'un répondant qui vise l'humour à la hauteur de sa beauté, si on veut... Au-delà de ces détails, l'histoire est racontée en quatrième de couverture et le dénouement, évidemment attendu. Plutôt déçu que le merveilleux soit abandonné, la romance se laisse lire mais ne dénote pas tant que ça d'autres récits du genre.
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Intriguée par cette collection « Il était une fois » directement inspirée des contes de fées, j'ai décidé d'attaquer de façon peu conventionnelle par le deuxième tome étant celui ce « La Belle et la bête ». Il faut dire que j'achète rarement un livre sans en lire les commentaires laissés par les lecteurs, et le premier tome qui s'inspirait de « Cendrillon » n'avait pas eu beaucoup de succès, contrairement au deuxième opus. Je me suis donc lancée dans cette adaptation du célèbre conte de Madame de Villeneuve en espérant y retrouver la magie que j'avais tant aimé dans ce dernier.

Encore une fois, et ce malgré la plus grande des précautions, je suis tombée dans un récit un peu trop romantique, pour ne pas dire à l'eau de rose, à mon gout. Je serais tentée de dire que cette collection tient plus du Harlequin que de la romance, mais je me base surtout sur des hypothèses, n'ayant jamais lu un seul Harlequin. du coup, depuis quelques temps je me pose la question suivante : à partir de quand la romance tombe dans le Harlequin ?

Heureusement, l'écriture fluide fait qu'on ne passe pas des jours à lire ce livre, bien au contraire. On découvre ainsi les aventures de Lynett, une jeune fille belle à se damner, et de Piers, un docteur boiteux et acariâtre. Oui oui, la ressemblance avec un personnage de série télé (pour ne pas citer Dr House) ne vous aura pas échappé. Donc, lorsqu'une femme sublime au caractère bien trempé rencontre un homme dur à la langue acérée, ça donne le résultat peu original de : coup de foudre à retardement basé sur une relation amour/haine.

En conclusion, des personnages pas très originaux, une histoire qui n'a rien de nouveau et qui est surtout loin d'égaler celle de Madame de Villeneuve, voire de Cocteau ou de Disney. Ça aura au moins le mérite de vous faire passer le temps un dimanche pluvieux, un peu comme le téléfilm de l'après midi.
Lien : https://justlilite.wordpress..
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