Cela dit, "que savons-nous d'une autre vie?", se demandait Euripide. Je serais tenté de répondre que là-dessus, nous n'avons que l'embarras du choix. En aura-t-on imaginé au cours des siècles, des lendemains du jour fatal!
Il faudrait entasser des pages par milliers pour rapporter ce qui s'est raconté partout et toujours sur ce dont nul n'a jamais su.
Croire ? Il est relativement facile de réciter un credo, une profession de foi, bref, de dire ce que l'on croit. Il l'est déjà moins de dire pourquoi, et moins encore de dire comment. Il faudrait se regarder croire, car ce serait cet instant-là qui livrerait la clé de tout.