Sótt

SOTT est le troisième roman de la série "les enquêtes de Siglufjórdur". En toute honnêteté, c'est le premier livre de Ragnar Jonasson que je lis et le fait de commencer la série par ce tome n'a pas dérangé ma lecture.

Le village de Siglufjórdur situé en Islande est mis en quarantaine, une épidémie de fièvre hémorragique le menaçant.
L'inspecteur Ari Thór confiné dans ce village décide d'enquêter sur une mort suspecte de plus de 50 ans. L'élément déclencheur, une photo de famille !
En parallèle, une famille de ce village est surveillé par un individu suspect.

L'inspecteur, Ari Thór, héros du roman, manque à mon goût d'expressivité émotionnelle liée peut-être à la froideur du pays....
Deux histoires dans ce roman sans lien. Je cherche encore la valeur ajoutée de la deuxième histoire.
Un roman qui ne m'a pas refroidi mais qui ne m'a pas non plus emballé.

J'ai passé un bon moment de lecture en découvrant cet auteur islandais et en me plongeant dans les paysages glacés.

Plusieurs points de vues entremêlés nous plongent dans une affaire politique, dans la vie de couples d'un apparent innocent et d'une vieille affaire de suicide... ou de meurtre, qui refait surface alors que la petite ville de Siglufjördur est mise en quarantaine à cause d'un méchant virus. Et si (presque) tout était lié ?

J'ai aimé découvrir ces rebondissements et ces enquêtes d'apparence différentes, ainsi que le rôle de chacun.
Il m'a toutefois manqué un peu d'action et d'émotions pour m'attacher aux personnages et me plonger au coeur de ces trois affaires. le fait que le virus ne soit qu'un prétexte et que l'on puisse aisément s'en passer m'a également un peu déçue. Toutefois, cela reste un bon polar, parfait à lire au coin du feu.

Direction un petit village islandais pour découvrir le troisième tome de la série Les enquêtes de Siglufjördur écrit par Ragnar Jónasson et publié en 2018 aux éditions Points. Un nouveau huis clos glaçant au coeur du nord de l'Islande.

Le livre s'ouvre sur un jeune couple, Robert et Sunna. Lorsqu'en partant se coucher, un bruit de porte alerte Robert, la nuit devient vite angoissante. Il remarque que la porte de derrière est ouverte et que des traces de pas mouillées mènent droit vers la chambre à coucher. Débute alors un jeu de pistes et d'histoires qui s'entremêlent.

Deuxième roman de Ragnar Jónasson et je ne suis pas déçue, même si j'ai préféré Vik. J'ai eu un peu de mal à rentrer dans le livre tant les histoires et les personnages sont nombreux. Il m'a fallu une bonne dizaine de pages pour me familiariser avec l'histoire et pour commencer à imbriquer les pièces du puzzle. Pour ce roman, ce n'est pas une, mais plusieurs histoires que nous livre Ragnar Jónasson. Il y a l'épidémie, l'histoire De Robert et Sunna, Isrun, un cold case et la vie de Ari Thor.
Alors, même si ce n'est pas un coup de coeur, j'ai trouvé le roman très rapide à lire, la plume de l'auteur agréable et j'ai aimé le dépaysement total qu'il nous offre. Ce tome manque peut-être un peu de suspense, mais j'ai beaucoup apprécié l'affaire du cold case.

Comme j'avais commencé par Vik, j'étais contente de découvrir Ari Thor plus jeune, moins mature et plus fougueux. J'adore son personnage. J'aime comment l'auteur choisit de traiter son personnage avec ses failles et ses qualités.
Maternité, religion, paranormale, ces thèmes sont abordés avec beaucoup de cohérence et beaucoup de fluidité. Malgré le manque d'action, on ne s'ennuie pas une seconde et on se laisse porter par la plume de l'auteur. On arrive à se sentir complètement isolé grâce à une écriture fluide et réaliste. J'ai hâte de découvrir d'autres enquêtes et notamment la première pour comprendre l'origine de ce personnage principal si attachant.
Lien : https://juliegorsky.wordpres..

Publié en 2012 on retrouve avec ce roman l'ambiance confinée que nous avons connue ces dernières années, à cause d'un méchant virus venu, non pas de Chine ici, mais d'Afrique. Jonasson aurait-il des talents visionnaires ?

Et pourtant c'est quelques 50 ans plus tôt que nous emmène l'auteur islandais, pour enquêter sur un étrange suicide, celui d'une toute jeune maman qui vit retranchée dans une ferme au bord d'un fjord et au pied de montagnes menaçantes, avec sa soeur et leurs maris, seuls compagnons dans cet endroit retranchés des hommes.

Maternité, filiation, .. des thèmes qui traversent ce polar tout du long, puisqu'il y sera beaucoup question d'enfants : un bambin qu'on enlève, une femme enceinte battue à mort par méprise, un fils drogué qui mine la carrière politique du papa, … Il semble qu'Ari Torr soit travaillé par l'instinct de reproduction.

Bon un peu déçue par cette troisième enquête. Peut-être à cause de l'atmosphère confinée qui m'est devenu insupportable ? Peut-être j'attendais un peu plus de questionnement métaphysique d'Ari Torr, lui l'ancien étudiant en théologie, dans ce moment crucial de la vie d'un homme ou d'une femme, quand il s'agit de décider de transmettre la vie.

Un peu déçue par ce tome des aventures de Ari Thor.

Je regrette que les résumés donnent une direction au roman que l'on retrouve au final très peu à la lecture.
Ici on nous parle d'une épidémie et de la mise en quarantaine de la ville... alors peut-être que l'actualité médicale des dernières années biaise mon jugement (le roman a été écrit avant l'épidémie de covid), mais je trouve qu'il y a bien peu de morts de cette soi-disant "épidémie", et bien que les gens soient plus ou moins calfeutrés chez eux, je n'ai pas ressenti de psychose particulière... à croire que ceux qui ont écrit le résumé n'ont pas lu le livre en entier...
Un raté pour moi du coup sur ce point, dont j'ai eu du mal à me défaire et qui a un peu gâché ma lecture...

À part ce gros point noir, ce roman de Ragnar Jonasson est comme tous les autres, facile à lire, très agréable, et j'ai toujours autant de plaisir à retrouver Ari Thor et à suivre ses enquêtes comme sa vie privée !

Je ressors de ma lecture vraiment pas emballée par ce roman.
J'étais vraiment attirée par l'idée de froid dans cette histoire, étant donné que ça se passe en Islande, mais rien du tout. J'étais encore plus attirée par l'idée de suivre des policiers pour résoudre des enquêtes dans une situation plus que délicate puisque qu'il était question de confinement de la ville à cause d'un virus, mais rien de tout ça non plus, à part quelques allusions à ce sujet. J'ai eu aussi beaucoup de mal à m'accrocher aux
personnages et c'est bien triste, parce que j'ai ressenti un grand manque au sujet des
personnages. Pour moi ils manquaient vraiment de profondeur…

Pour autant, on ne peut pas enlever au livre le fait qu'il soit vraiment bien écrit et abouti du côté des enquêtes.
Donc un flop pour moi malheureusement.

Un énième tome de la saga Ari Thór. Difficile de bien le situer car en français ils ne sont pas traduits dans l'ordre.

On va se retrouver, pour une partie, dans une ville mise en quarantaine où il ne se passera rien, et un état de fait qui n'apporte rien de spécifique au récit.
On a donc un flic coincé à ne rien faire d'autre que de ressortir un vieux dossier de suicide, et, dans la ville voisine une journaliste qui se lance dans une enquête sur un kidnapping.
Inversion des rôles un peu saugrenue, d'autant que ces deux affaires n'ont rien à voir entre elles et ne se recouperont jamais.

Encore une fois l'auteur se disperse dans les histoires et enquêtes, avec une flopée de personnages, pas forcément attachants, limite amorphes.

Quant à la phrase d'accroche sur la couverture je cherche encore ce qui pourrait hanter mes nuits.

J'ai lu celui-ci pour suivre le personnage de Ari Thór en espérant toujours le voir évoluer.

Une lecture en demi teinte donc. Les deux affaires sont originales et tiennent le suspense jusqu'au bout, mais les personnages ne sont pas à la hauteur.

un peu voir beaucoup déçue par ce tome où il ne se passe pas grand chose de passionnant sur fond de "cold case"

un étalage de Légo qui sont finir par s'imbriquer les uns aux autres

ce n'est pas le tome le plus abouti

Encore une enquête d"Ari Thòr : du froid, des gens personnage plutôt "taiseux", un petit monde presque en huis clos, et malgré tout un peu d'amour...
J'aime le style de cet auteur qui amorti le sordide des meurtres, sans pourtant perdre d'intensité ...
Peut-être pas mon préféré, mais je ne me suis pas ennuyée en le lisant.

Rof est le titre de la version originale, Sott est celui de la version "française". ? Ignorant le motif de cette particularité, consistant à ne pas donner de signification compréhensible au titre de tous les ouvrages de cette série, cette habitude finit par être agaçante.
Deux intrigues sont racontées dans ce roman: la principale, menée par l'inspecteur de police Ari Thor qui se plonge dans une affaire vieille de 50 ans et jamais véritablement élucidée: la mort d'une jeune femme dans une ferme isolée du nord de l'Islande; Avec un certain brio, Ragnar Jonasson brouille les pistes de l'intrigue, évoquant tour à tour l'hypothèse d'un suicide, d'un accident, d'un meurtre, pour mieux révéler les conclusions très inattendues de son enquête dans le dernier chapitre du livre.
La deuxième intrigue, contemporaine celle-là, menée par une journaliste de la télévision islandaise, n'a rien à voir avec la première, et on se demande ce qu'elle vient faire là !