Darynda Jones. Charley Davidson. Tome 8. Milady. 379 p. 3,5 étoiles
Le tome 7 se terminant sur des faits plus dramatiques, dans une bouffée de colère divine, j'ai directement pris le 8 en main pour vivre la suite des aventures de Charley, Reyes, Cookie,…
Le début est un peu lourd, l'auteure reprenant de manière indigeste la présentation de chaque personnage depuis le tome 1. Pourquoi ne pas avoir créé un glossaire des personnages en début de tome ? Et nous éviter une lecture pénible…
Lourd aussi le mariage de Cookie qui baigne dans le bonheur. Bon Darynda nous a habitué à mieux que cela.
Incohérences :
P 94. Pourquoi Charley ne demande-t-elle pas à Alaniz de faire quelques pas avec elle vers le couvent pour se mettre en sécurité. Ce n'est pas comme si elle n'avait pas acquis de nouvelles priorités primordiales, essentielles, de rester en bonne santé…
P 106 : idem
P 121 : l'auteure parle d'une enquête sur laquelle Cookie et doivent travailler mais elle ne précise que p. 123 l'affaire dont il s'agit (elles en ont toujours plusieurs sur le feu)…une affaire dont on parle p…40 ! le temps de l'oublier.
P 137 : de quoi s'agit-il ? Ce n'est pas précisé…donc l'élan de lecture est interrompu…on repasse au tome 7.
J'en ai encore autant sous le coude mais j'arrête là. S'ajoute encore quelques erreurs de traduction.
Juste une chose trop marrante du point de vue incohérence. Reyes et Charley fnt l'amour sur un couvercle au-dessus d'un puits extérieur et on s'étonnera qu'ils tombent dedans… 😊
Par contre ce tom est absolu indispensable pour en savoir plus sur l'origine de Charley et Reyes. Des rebondissements aussi. Bref, à acheter car le retour au bercail du tome 10 (après l' histoire surréaliste du tome 9 à New York) est incontournable. Il y a quand même beaucoup de bonnes trouvailles dans ce récit.
Cela reste encore bien mais trop d'incohérences qui mises bouts à bout ralentissent la lecture et nous coupe un peu du plaisir-souvenir des tomes plus anciens. Patience et prenons notre plaisir où il se trouve dans le récit (l'humour, l'histoire, globalement).