L'immeuble de la rue Cavendish, tome 1 : Les manigances de Margaux

Ce livre est piteux, ennuyeux. Et j'ai eu du mal à le finir. C'est laborieux, répétitif, on ne s'attache pas du tout aux personnages. Au total, je me demande quel est l'interêt de passer du temps à lire ou à écrire un livre aussi creux qui enchaîne péniblement les banalités ? Bon si certains apprécient tant mieux pour eux, mais j'ai du mal à comprendre !

Dans ce roman, nous suivons Margot qui vient d'emménager dans un nouvel immeuble suite à une séparation et nous partons à la rencontre de tous ses habitants complètement hétéroclites : la concierge rigide, le voisin âge et complètement fou, la petite fille fouineuse et "attachiante", Victoire la musicienne, le couple du dessus qui n'inspire pas du tout confiance à Margaux etc ...
C'est une lecture agréable qui se lit très vite. On est complètement immergé dans la vie de l'immeuble. On a l'impression d'en faire partie.
Ce roman est une sorte de melting pot littéraire : on y trouve : une touche d'humour, de la romance, du suspense, du drame ...
Je trouve que l'on pourrait tout à fait créer une adaptation en série pour la télévision.
Je découvrirai avec plaisir la suite des aventures de cet immeuble.

Ce roman me faisait de l'oeil depuis longtemps, je l'ai souvent manipulé en librairie, admiré sa jolie couverture, parcouru le résumé, trouvé que l'autrice avait un joli prénom 😜
Début septembre, il était enfin mien!

En bonne parisienne d'adoption (depuis 20 ans déjà), je m'imagine parfaitement à quoi peut ressembler cet immeuble avec son ascenseur minuscule, sa gardienne, ses murs en papier où tu as l'impression de vivre avec tes voisins. Par contre je n'ai jamais eu la chance de connaître mes voisins, de pouvoir m'en faire des amis et de pouvoir compter sur eux comme Margaux peut le faire.

Je suis rentrée tout de suite dans l'histoire et j'ai adoré faire connaissance avec les résidents. Bizarrement même si Margaux est l'héroïne de ce premier tome, j'ai eu un peu de mal avec son personnage et notamment son comportement avec Mathieu, le beau voisin de l'immeuble d'en face. J'aurai aimé que Margaux fasse preuve de plus de maturité dans leur relation.
J'ai trouvé l'histoire autour d'Alphonse, vieux monsieur n'ayant plus toute sa tête, très touchante et j'aimerai en savoir plus sur Charlotte et sa petite famille. Ca tombe bien c'est de Charlotte dont il est question dans le tome 2! 😊

Je ne peux que vous conseiller de pousser la porte de l'immeuble de la rue Cavendish, vous passerez un agréable moment auprès de ses résidents.

Si vous souhaitez une saga entre cosy mystery et feel good c'est celle-ci qu'il vous faut ! 📖

💬 Margaux emménage dans un nouvel appartement prêté par son oncle, rue Cavendish. Elle sort d'une rupture dont elle a du mal à se remettre. Ses voisins vont mettre un peu de piment dans sa vie mais jusqu'à quel point ? Entre manigances , suspens et enquête, laissez vous portez par la plume fluide de Caroline Kant.
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Ce livre est une sorte de Desperate Housewives, mais localisé dans un immeuble.
On suit gaiement les péripéties et les aléas de la vie en communauté dans un immeuble dont les parois laissent entendre bien plus que le nécessaire...
Margaux, qui vient d'y emménager, se rend compte qu'elle n'a pas seulement adopté un nouveau logement, elle a aussi adopté tous ses habitants ! Ce qui va s'avérer compliqué pour la jeune-femme qui possède un tempérament difficile. Très impatiente et manquant cruellement d'empathie, elle ira même jusqu'à vouloir gilfler une petite fille selon elle trop enquiquineuse, et penser que le mari qui semble battre sa femme fait du coup bien trop de bruit.

J'ai trouvé le pari très risqué de miser sur une protagoniste aussi agaçante et superficielle. Heureusement que la vie grouille dans le reste de l'immeuble, qui va apporter lumière, humour et tendresse dans cette principale intrigue des plus pesantes avec le soupçon de violences conjugales.

Le personnage le plus abouti et le plus attachant est celui de Lou, une espiègle et intelligente petite fille, curieuse de tout, qui provoque des situations plus comiques et attendrissantes les unes que les autres.

Plusieurs petites histoires disséminées dans la grande, traitant de thèmes très divergents, qui permettent aux pages de défiler, d'autant plus que l'écriture est très simple et donc très facile à lire. le livre semble destiné à un public girly, mais c'est dommage. Sous un angle différent et en ayant accentué l'humour et les situations cocasses, il aurait pu s'adresser à tous et sembler moins étiqueté "livre pour jeunes-femmes". Cela reste néanmoins un livre léger, divertissant à souhait !

Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Les Escales et Net Galley de m'avoir permis de lire ce livre.

« Les Manigances de Margaux » se déroule à Paris, dans le XIXe arrondissement et plus particulièrement dans un immeuble situé rue Cavendish. Margaux, fraîchement séparée de « l'amour de sa vie » (qui a l'air d'un bel idiot), se retrouve dans un appartement prêté par son oncle, Aurélien dont il est propriétaire.

Tout aurait pu s'arrêter là et le roman aurait pu ne jamais exister mais on se rend très vite compte que la vie dans cet immeuble ne s'arrête jamais. Dès son arrivée, Margaux est accueillie par la gardienne, « Madame Nathalie » faussement accueillante et bizarre au point de me faire me poser quelques questions.

Heureusement, elle ne tarde pas à faire la connaissance de Victoire, musicienne lumineuse qui va lui dresser le portrait de tous les habitants de leur immeuble.

Puis, au fil des jours, Margaux se rend compte que certaines personnes dans son immeubles adoptent un comportement étrange et elle décide de mener l'enquête, accompagnée de sa voisine de 8 ans et du vieux voisin du 2e !

J'ai été particulièrement happée par l'histoire (j'ai terminé le livre en moins de 3h) mais aussi par le style de Caroline Kant : c'est simple, c'est le quotidien et ça fait du bien. On fait défiler les pages et on apprécie lire les jours qui passent dans cet immeuble parisien.

J'ai aimé le caractère de Margaux que l'on découvre au fil des pages : sa légère jalousie vis-à-vis de sa sublime voisine, son besoin limite maladif et obsessionnel de prendre soin des autres que ce soit dans sa vie pro ou perso mais aussi cette façon d'être toujours présente pour son entourage quitte à s'oublier elle-même dans l'histoire.

Certains éléments n'ont pas été assez appuyés ou mis en avant, notamment sur l'intrigue principale, j'espérais avoir plus de réponses à mes questions (en aurais-je davantage dans les autres tomes ?).

Mais pour un premier roman, tous les éléments sont réunis pour nous faire passer un bon moment. Je lirai les prochains tomes avec grand plaisir !

J'ai tenté ce livre qui m'a rappelé l'émission Nos chers voisins. En effet c'est le même style, et au bout de 60 pages environ j'ai compris qu'il ne s'agit pas de mon style de lecture
Une lecture bien trop plate sans réel intérêt
Le manque d'engouement de ce livre est logique

Lorsque j'ai vu ce roman chez mon libraire, la 4ème de couverture m'a bien plu. Je me suis dit que ce serait un livre frais, un petit feel-good qui fait du bien.
Et je ne me suis absolument pas trompée.

On se retrouve dans un immeuble parisien du 19ème arrondissement près des Buttes Chaumont. Et comment dire, dans cet immeuble, tout se sait, tout s'entend et il est donc difficile d'avoir des secrets et de mener sa vie tranquillement dans son coin.

Dans ce premier tome, on rencontre Margaux. Après sa rupture amoureuse, elle emménage seule au 4ème et elle va vite s'apercevoir qu'elle ne va pas vivre longtemps seule car finalement ces voisins vont vite devenir très présents dans sa vie. Ensuite, ses voisins du dessus font de drôle de bruits et elle va vite se retrouver à enquêter sur eux. Ça en devient même une obsession au point de mettre complètement sa vie de côté.

L'écriture de ce roman était très fluide. Les chapitres sont courts et s'enchaînent à une vitesse incroyable. Bizarrement on a envie d'en savoir un peu plus sur toutes ses personnes habitant dans cet immeuble. On s'attache très vite aux personnages : La gardienne infecte avec son petit chien féroce, la petite famille très débordée où leur fille ainée d'à peine 10 ans passe son temps à espionner ses voisins, le vieux fou qui se balade en pleine nuit dans les couloirs, la jolie musicienne et le couple de gays tellement sympa et aidant !
Lorsque l'on arrive à la fin du roman, on n'a pas envie de les quitter. L'auteure les décrit tellement bien que l'on a l'impression que ce sont nos propres voisins.
L'histoire est vraiment rythmée, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Et l'auteure aborde tout de même des sujets pouvant nous concerner tels que les violences conjugales, l'homosexualité, la maladie mentale mais aussi la solidarité et la bienveillance.

Le seul petit bémol que je noterai c'est la finalité de l'enquête de Margaux sur ses voisins du 5ème que j'ai trouvé un peu bâclée. Je m'attendais à un peu plus de détails.

Maintenant, j'ai hâte de découvrir le tome 2 où on va découvrir la maman de la petite fille espionnant ses voisins. Une petite famille tout ce qu'il y a de plus ordinaire mais peut-être pas tant que ça.
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Dans ce roman, nous suivons le personnage de Margaux qui vient tout juste de s'installer dans l'immeuble de son oncle, rue Cavendish. Pour Margaux, c'est un nouveau départ. Seulement, en s'installant ici, elle ne savait pas qu'elle vivrait autant de tribulations. Sa vie prend un tout autre tournant à partir du moment où le couple du dessus s'engueule et qu'elle rencontre le beau gosse de l'immeuble d'en face par le plus grand des hasards à la piscine.

Pourtant, Margaux est loin de s'imaginer tout ce qui l'attend en emménageant dans cet immeuble. Ses voisins sont tous loufoques et atypiques. Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Mais finalement ce qui capte le plus l'attention de Margaux c'est avant tout le couple du dessus. Margaux est persuadée qu'il se passe quelque chose de pas net chez eux.
Elle en fait une obsession. Son obsession. Au point qu'elle voit sa vie dégringoler. Et s'aventure dans une enquête périlleuse. Car enquêter sur ses voisins lui cause beaucoup plus d'ennuis que prévu…

Elle pensait bien faire mais tout cela se retourne contre elle.

« Les manigances de Margaux » est le premier tome d'une saga de six tomes nous présentant à tour de rôle un des habitants de l'immeuble à travers l'exploration de chronique aux thématiques sociétales et sociales. C'est un bon roman qui se lit d'une traite. Une fois pris dedans, on ne peut plus le lâcher. Nous sommes comme Margaux face à ce couple : convaincus que le mari n'est pas aussi innocent que ça. Et, jusqu'au bout nous nous poserons la question : est-ce que Margaux a raison de s'inquiéter ou s'invente-t-elle toute une histoire autour de ses voisins ?

Habiter dans cet immeuble semble être le comble de bien des histoires puisqu'en réalité l'autrice s'inspire de son vécu rue Cavendish pour narrer l'histoire de Margaux et de ses autres habitants.

Affaire à suivre car le deuxième tome « Charlotte se cherche » sort également le 7 avril.

J'ai passé un bon moment avec ce roman : j'ai souri, frémi avec Margaux parfois et j'ai adhéré pleinement à l'histoire.
J'ai aimé me retrouver dans ce dix-neuvième arrondissement de Paris, avenue Secrétan, Quai de la Loire et aux Buttes Chaumont, j'ai ressenti l'ambiance de ce quartier que j'ai fréquenté il y a quelques années.
L'écriture de Caroline est très cinématographique, les personnages vrais et attachants. Pas de caricature ici, plutôt un grand vent d'humanité qui nous réconcilie avec notre prochain.
J'aimerai habiter dans un immeuble comme Margaux, un endroit où l'entraide règne malgré les quelques contraintes comme la concierge omniprésente.
Ce livre est le premier tome des aventures de « L'immeuble de la rue Cavendish », six tomes sont prévus avec chacun ayant pour protagoniste un habitant de l'immeuble.
À dévorer sans modération.
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