Et voici le dernier tome sortie a ce jour en France des Dream Hunters et je suis contente de l'avoir lu car j'ai pris beaucoup de plaisir durant ma lecture, malgré beaucoup de bémol.
Ce tome contient tout ce que j'aime. Un homme maltraité, une femme au fort caractère, un amour impossible, une guerre sans merci et un Happy End comme on les aimes, mais mise a part ça l'histoire va beaucoup trop vite.
Au bout de quelques pages a peine, les "mon amour" et "mon chéri" sortent a toutes les sauces, rendant l'histoire légèrement Fiftytienne (oui, oui vous savez Fifty shades of Grey), des mots doux a chaque pages alors que nos deux tourtereaux ne se connaissent pas, chacun son truc mais ce n'est pas pour moi.
C'est le soucis de cette saga, a la fin on ne fini par voir que les défauts.... Dommage!
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Elle éclata de rire en voyant les sous-vêtements qu’il avait choisis. Des strings rouges ! Mais cela ne l’étonnait pas. Le gardien était un homme, après tout. Même s’il refusait de la toucher, il était le genre de type à être émoustillé par un string. D’ailleurs, les strings avaient-ils été inventés pour une autre raison ? Le créateur de ces choses minuscules devait être un descendant direct du Marquis de Sade. En porter un équivalait à avoir constamment et douloureusement les fesses coupées en deux.
Quant aux soutiens-gorge…
Ils étaient assortis aux strings, mais ne soutenaient rien. En revanche, ils allaient faire de ses seins des feux de signalisation, du genre « Arrêtez-vous, messieurs », seins qui ballotteraient comme de la gelée au moindre mouvement
Lentement, langoureusement, elle entreprit de l’embrasser. Sur les lèvres, d’abord. Puis ce fut le tour de son cou et de ses oreilles, dont elle lécha les lobes en émettant de petits halètements qui l’embrasèrent. Ses seins nus plaqués contre son torse glissaient au fur et à mesure qu’elle progressait, et il frissonna des pieds à la tête, subjugué.
Bon, d’accord, ce qu’elle faisait là était très agréable. Plus que cela, même. C’était extraordinairement bon. Chaque fois que Lydia aurait envie de l’attacher et de le torturer de cette façon, il serait le plus consentant et le plus docile des esclaves.
Lydia était déroutée. Elle n’avait aucun endroit où se réfugier. Il était hors de question qu’ils aillent chez elle, et Solin était porté disparu. Tout ce qu’elle avait au monde, c’étaient ces deux hommes à côté d’elle.
— Hé, ne faites pas cette tête, OK ? lui dit Maahes. Si vous commencez à pleurer, je vais pleurer aussi, et quand je pleure, j’ai vraiment l’air idiot. Il n’y a rien de pire qu’un grand type costaud qui chiale comme un bébé. Le genre de truc à me casser le coup avec toutes les nanas.
Chacun d’entre nous a sa propre représentation de l’enfer. Pour l’un, l’idée d’être piégé pour l’éternité dans un clip de Michael Bolton est le sommet de l’horreur. Pour un autre, c’est d’être bloqué dans un ascenseur avec quelqu’un qui beugle dans un téléphone portable et de ne pouvoir étrangler l’insupportable bavard.
Pour Lydia Tsakali, l’enfer, c’était les ténèbres qui la cernaient et dans lesquelles résonnaient les cris des damnés qu’on torturait.
Nous sommes toujours seuls. Nous pouvons être dans une pièce bondée de monde et néanmoins ressentir la morsure de la solitude. Personnellement, je la ressens encore plus profondément quand je me trouve avec des gens.
Vidéo de Sherrilyn Kenyon