Des fleurs pour Zoë

la seule à ne pas trouvé que c'est un chef d'oeuvre ;
un peu ennuyeux et manque quelque chose ....

Depuis que sa femme l'a plaqué, Richard ne se sent plus dans son élément à New-York.
A bientôt 60 ans, il décide de se trouver une petite maison de retraite dans l'île de Key-West pour passer sereinement ses vieux jours.
Sur le chemin, il fait la connaissance de John-John, un délirant cubain qui lui présente sa jeune nièce Zoë, une beauté au caractère fantasque et bien trempé.
Un ouragan ayant détruit la maison de retraite, Richard part sur les routes avec Zoë : direction le Canada....
Un voyage qui n'est pas de tout repos tant la libido de Zoë est grande !..

Que de fraîcheur, de spontanéité, de drôlerie et de vitalité dans ce 1er roman écrit par une toute jeune écrivaine d'à peine 22 printemps !
150 pages d'une verve drolatique et bon-enfant qui ne sont pas sans rappeler l'humour épicé du génial Philip Roth, dont l'auteure est d'ailleurs une grande admiratrice et dont elle rend un hommage appuyé dans ce road-movie américain à la jovialité débordante même dans les scènes les plus nostalgiques.
Ce couple d'amants pourtant si dissemblables nous rend tout simplement joyeux !
Un pur moment de bonne humeur.

J'ai adoré cette histoire, vivante, remuante, avec des personnages opposés, de la gravité dans les sentiments, de l'humour dans les dialogues. Trés bien les noms donnés aux animaux. Des sentiments entre un senior et une jeune femme bien décrits Lecture aisée, plaisante et une fin heureuse. Beaucoup de talent.

Quel dommage, ce livre tenait, à mon avis, ses promesses : une bonne histoire, une écriture sympathique et décalée mais je suis restée sur ma fin.

Lien : http://www.amazon.fr/Des-fle..

premier roman très prometteur

"J'avais été heureux dans notre promesse d'amour éternel."

Récit d'un mauvais (?) trip (au propre et au figuré) entre un "vieillard" déprimé et une "jeunette" sans amarres, entre drogue et alcool.

Assez décevant (j'en attendais plus après avoir lu la quatrième de couverture et les autres critiques).

La forme n'est pas désagréable toutefois : langue simple, parfois proche de la poésie, associations de mots savoureuses. L'influence de Nothomb est perceptible.

"Je sens mon angoisse disparaître comme une âme se libère d'un corps - peut-être le bonheur finit-il par arriver un jour."

Richard, brillant homme d'affaire américain, décide contre toute attente de prendre sa retraite. Sa femme l'a quitté après 30 ans de vie commune et son travail ne lui procure plus de plaisir. C'est ainsi que lui vient l'idée de passer une annonce pour trouver quelqu'un prêt à le suivre sur la route du Canada. C'est par le biais de cette annonce qu'il va faire la connaissance de John-John et par là même de la nièce de celui-ci : la sublime Zoë.

Malgré tout ce qui les oppose : l'âge, la condition sociale… Richard s'éprend de la jeune femme et lui demande de le suivre en direction du Canada. Ils partent alors pour un road-movie.



On retrouve du Philip Roth et du Paul Auster dans ce roman et pas uniquement parce qu'une partie de l'action se déroule à New-York. Pour un premier roman, il est magistralement écrit et très bien mené. J'attends maintenant avec impatience les prochains.

Mon avis :
Acheté un peu par hasard, et parce que ma voisine l'avait "adoré à La Grande Librairie", j'ai décidé de tenter ma chance.
Un premier roman réussit, je ne me suis pas ennuyée une minute à la lecture de ce premier roman prometteur.
Un personnage principal, Richard, très attachant car complètement déboussolé et qui tente de faire le point sur sa vie, de chercher un peu de logique dans tout ce qui lui arrive.
Zoé, au contraire, jeune femme bien dans son époque et qui fait les choses parce que cela lui chante. Sans oublier son amour des animaux qui lui vaudra quelques soucis.
Un road-movie comme il ne peut en exister qu'aux Etats-Unis.

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pfff, quelle déception ! Une écriture agréable, certes, mais des personnages qui m'ont laissée indifférente, un « étalage » de culture littéraire assez agaçant, une intrigue peu intéressante …… et une « prédilection » pour le mot « quéquette » !!!