C'est un livre qu'il m'est difficile de noter et de critiquer car le hasard a fait que je l'ai lu juste après la trilogie de
Frédéric Bleumalt, Les garçons dérangés. Oeuvre dont Gabriel Kevlac s'est largement (trop) inspiré, reprenant notamment cette étonnante narration autour de la couleur bleue. Même le style me paraît calqué sur celui de Bleumalt.
J'ai vraiment été dérangée par les réminiscences de ma précédente lecture sur celle-ci. C'est donc un livre que je range pour le relire plus tard, car l'histoire est belle, l'écriture élégante et la thématique du polyamour abordée avec douceur et bienveillance.