Et alors ? Être avec quelqu’un signifie forcément pour toi renoncer à toutes les autres personnes ? C’est quoi le couple, une prison ? Une forteresse ? On y entre, et c’est fini, on jette la clé ?
– Je suis content, mon fils. Ta mère aussi serait contente. Elle était fière de toi, elle disait que Cathy pouvait compter sur toi, que tu n’étais pas comme tous ces types qui mentent à leurs femmes et qui les trompent. Avec toi, au moins, Cathy dort tranquille. C’est bien, mon fils. Continue comme ça.
J’ai préféré ne rien répondre. Là où elle était, ma mère me voyait, c’était sûr. Et il avait fallu qu’elle meure pour découvrir le vrai visage de son fils. Un menteur, un traître.
L'histoire démarre bien, le type est viril, il a un appartement sympa, il vit avec une bombe, mais, à la fin, son appartement est un taudis, sa bombe lui a explosé au visage et il traîne dans les hammams homos. Finalement, ce n'est pas plus mal que mes parents soient morts tous les deux cette année, parce que ce n'était sûrement pas pour finir comme ça que le rabbin m'avait circoncis quand j'étais gamin.
Parfois, on croit qu'on n'aime pas ce qu'on n'a même pas encore goûté.
Un homme qui boit est moins apte à gérer ses émotions sexuelles. Il est souvent sujet à des pannes d'érection, ou à une sexualité rapide et insatisfaisante, surtout pour sa partenaire.
- Ben... Vous êtes monogame ou polygame ?
- Heu... Ni monogame ni polygame, je suis... sur toutes les gammes !
Et là, ça a été l'effondrement psychologique sur le mode :"Il y en a marre, déjà que j'ai bossé toute la journée, si je ne peux même pas compter sur du film alimentaire, il y en a marre"
Un livre facile à lire, pour passer un bon moment mais l'histoire n'est pas spectaculaire. On ressent beaucoup d'antipathie pour le personnage principal et je trouve ce livre truffé de stéréotypes sur les hommes. Un titre accrocheur pour une histoire quelque peu entraînante mais banale.
Le ciel était à peine plus noir que mes pensées, ce qui faisait de moi le type le plus climato-compatible à des kilomètres à la ronde.
Aujourd’hui, je me sens bien. Je suis enfin moi-même, je n’ai plus besoin de me cacher et de mentir. J’assume enfin ce que je suis. Ma vie d’avant est définitivement rangée dans les cartons et je suis aussi aligné que les buses de mon imprimante. Mesdames, messieurs, vous avez devant vous un homme, un vrai. Un homme libéré, en paix avec sa féminité. D’ailleurs, avec Cathy, on a décidé d’appliquer dans notre couple la devise républicaine : Liberté, Égalité, Fraternité !