White Trash ne m'a pas emballé.
Arrêté en cours (page 230 quand même sur 370, j'attendais un affrontement...), j'ai trouvé le récit hypnotique.
Usage très important de périodes pour la basse classe, les pauvres blancs incultes ( =
white trash), présentant une pensée déstructurée en gros. Récit carré et aéré pour le mieux nanti. L'idée, la technique est très bien. Mais c'est trop lourd pour moi. Pour le reste, le pointage des paradoxes et des clichés qui transpirent des personnages est criant de vérité.
Jet de poudre aux yeux pour moi.
J'ai vraiment trouvé que la conceptualisation des thèmes (en plus de l'encensement d'une réputation d'un très bon auteur et d'un objet livre magnifique) primait sur l'histoire...