La magie du rangement

Une fois refermé, je m'interroge sur l'utilité de publier ce livre.
Il est vrai que la méthode est radicale, on jette énormément avec elle, mais sans aucune référence à un quelconque recyclage.
Quelques conseils sur le rangement sont bienvenus, j'en ai même trouvé certains intéressants au point de les appliquer, mais ils pourraient tout à fait être résumés dans un court article. On a là beaucoup, beaucoup de répétitions, ce qui ne rend pas la lecture agréable.

Je reste un peu sur ma faim en refermant ce livre. Peut-être que mes attentes étaient trop élevées? Je m'attendais vraiment à des conseils *MAGIQUES* et j'avoue que je suis un peu déçue...

La 4e de couverture m'a refroidie dès le début: "Le livre qui changera votre vie de manière spectaculaire". Malheureusement, ce livre n'a pas changé ma vie…

J'ai eu l'impression que Marie Kondo s'adressait plutôt à ceux qui n'ont jamais fait de tri de leur vie dans leur maison. Etant maniaque (mais je me soigne),il y a peu de conseils que je n'appliquais pas déjà avant de lire ce bouquin.

Il y a quelques chapitres intéressants, notamment celui où elle parle de notre attachement à nos souvenirs, même si je n'adhère pas à cette vision de balancer presque tout notre passé à la poubelle (je ferai comment sans mes souvenirs si je suis atteinte d'Alzheimer un jour?).

Il y a des conseils à garder comme ranger verticalement, jeter tout ce qui ne nous met pas en joie, trier par catégories, mais je trouve que ce livre manque cruellement de plusieurs choses:

- des illustrations concernant les méthodes de pliage (moi la théorie, ça ne me parle pas)
- une check-list à photocopier pour se rappeler par quoi commencer
- un chapitre sur le nettoyage (c'est bien beau de ranger sans nettoyer!)
- des photos avant-après (oui, je veux des preuves)
- un chapitre sur le recyclage, les différentes oeuvres caritatives…

Finalement, je suis contente de ne pas l'avoir acheté et de l'avoir loué à la biblio!

Tout ça pour ça !
Ce genre de livre est très à la mode et Marie Kondo a su se faire un nom dans l'art de trier et ranger ses affaires. Je ne suis pas certaine que ce soit la source du bonheur comme elle le prétend mais quelques conseils pratiques ne font pas de mal. Pour autant, il y a beaucoup de choses qui m'ont énervée dans ce livre même si j'ai retenu quelques conseils.
En résumé, il faut ranger d'un seul coup, par catégorie et non par endroit, en commençant par jeter. Pour cela elle propose de prendre chaque objet dans sa main et de se demander : Est-ce que cet objet me met en joie? Il faut aussi préférer le rangement vertical à l'empilement.
Bref, pas grand-chose dans un livre de 250 pages.
Que l'endroit où l'on vit influe sur nous, je pense que tout le monde le sait. Mais s'il suffisait de ranger pour nous rendre heureux cela me semble assez exagéré. C'est ce que tente de nous expliquer Marie Kondo dans « La magie du rangement » qui aurait pu s'appeler La manie du rangement. Quand je pense qu'il y a un bandeau sur la couverture qui dit « la vie commence après avoir fait du tri » je trouve ce genre de recette très agaçante. Et puis ce slogan en quatrième de couverture « le livre phénomène qui changera votre vie de manière spectaculaire » est assez affligeant.
Marie Kondo parle de ses clients en permanence, ce qui montre l'objectif mercantile de ce genre de livre.

Marie Kondo est folle. Pas simplement japonaise comme s'amuseraient à dire certains, sa nationalité expliquant un mode de pensée exotique au notre, composé de shintoïsme animiste, d'une rigueur traditionnaliste et d'un extremisme dans une activité (le rangement) plus communément vu chez certains otakus s'adonnant au cosplay ou aux jeux vidéos (des activités hautement recommandables).

Non. Marie Kondo est folle. Une folie qui lui a permis de vendre plusieurs millions d'exemplaires de cet ouvrage, d'en écrire un autre qui va probablement suivre le même chemin, et de fonder une société très florissante d'aide au rangement au Japon.

N'empêche : elle est folle. Ou terriblement bête. Sa méthode de rangement est tout à fait censée : ne garder que les objets qui vous apportent de la joie, malgré la formulation "new age", est très raisonnable. Un intérieur qui ne comporte que des choses qui vous feront plaisir à leur simple vue, devrait faciliter votre vie et réduire votre stress, en effet.
Rassembler tous les objets d'une même catégorie (tous les vêtements, par exemple), en un seul immense tas à trier en une fois sur le principe "m'apporte-t-il de la joie ?" fonctionne, à n'en pas douter. Ranger ces mêmes objets d'une même catégorie à un endroit unique, organisé avec soin et simplicité, vous facilitera la vie dans l'usage et le rangement de ces objets, facilitant un environnement clair sur le mode "chaque chose à sa place, et vas-y tout de suite, ce sera ça de fait".

La méthode et ses conséquences sont efficaces à n'en pas douter, il faut juste s'y atteler une bonne fois, sur un temps assez court comme elle le recommande. Et par conséquence, oui, j'imagine qu'un rangement radical comme elle le propose peut entraîner des changements d'importance chez ses clients - ou les lecteurs de son livre, changement allant de la réduction de stress à un nouveau plan de carrière en passant par la perte de poids.

Alors pourquoi dis-je qu'elle est folle (ou bête) ? Parce qu'elle confond cause et moyen. Toute la méthode KonMari (ne garder que les objets qui procurent de la joie, jeter tout le reste - parfois jusqu'à 200 sacs poubelles de 50 l, le tout sur un temps très court - une à deux journées), se fonde sur une succession de chocs psychologiques. Pourquoi pas ? C'est l'essence du zen de reconnaître qu'il y a un temps pour chaque chose, que chacun a besoin de peu et qu'une sélection rigoureuse permet d'aller à l'essentiel - Okakura Kazuko l'écrit parfaitement dans son classique, "Le livre du thé". Effectuer cette sélection dans un intérieur moderne, à l'ère de la consommation galopante, implique de se séparer de beaucoup de choses inutiles. le faire sur un temps très court génère logiquement beaucoup de stress - et pourquoi pas du bon stress. Réorganiser le soir même ou le lendemain l'intérieur pour qu'il héberge cette sélection provoque tout aussi sûrement un dépaysement important. Puisque les gens qui se sont livrés à cet exercice sont volontaires, la satisfaction s'exprime instantanément. Ce doit être formidablement gratifiant mais épuisant, comme après avoir couru un marathon au milieu d'un champ de mines émotionnelles (Kondo parle elle-même de la honte qu'elle a ressentie quand elle a jeté certaines acquisitions qui ne lui procuraient plus de joie, par exemple).
Bref, toute cette "magie" dont l'auteur nous parle a des raisons tout à fait explicables et rationnelles (épuisement physique et moral suite à l'exercice tout aussi physique et psychologique de sélection, euphorie de la réussite et de la découverte du tas à jeter et du "nouvel" intérieur). Pourquoi ne pas les invoquer ? Pourquoi rester dans un gloubiboulga basé sur "l'élimination des toxines accumulées durant des années", sur "la brise légère" qui parcourt désormais la maison, sur "l'énergie des objets jetés qui reviendra sous la forme d'un autre objet précieux, d'une relation heureuse, ou d'un événement agréable" ? (Ces notions entre guillemets ne sont pas des citations exactes, mais sont abordées dans le livre avec beaucoup d'insistance et à de nombreuses reprises.)

Marie Kondo s'adresse à un public japonais et donc sensible à ces notions de cycle, inscrites dans la spiritualité japonaise, encore très présente dans la société nippone. Pour des occidentaux, a fortiori des gens rationnels ou agnostiques (voire, les deux), c'est une douleur à lire. Je passe sur les considérations sexistes (où une femme ne saurait porter de pyjama autre qu'une jolie nuisette pour dormir, au risque de fusionner avec son jogging - et c'est la moins alarmante), ou racistes (les généralisations sur le ressenti de tout un peuple sur tel ou tel comportement).

La Méthode KonMari est sans doute efficace, mais son livre nécessite d'appliquer ses principes durant sa lecture-même : faites beaucoup de tri, et jetez sans remords. Une sorte d'inception du tri, comme l'a très justement dit une amie.

Sur ce, je vais relire les Choses, de Perec.

La magie ou la manie du rangement? le culte du rangement poussé à l'obsession. J'étais curieuse de découvrir ce livre au succès quasi planétaire, 2.5 millions d'exemplaires vendus! Cette femme, nouveau gourou du rangement, après avoir changé le destin de nombreux japonais par sa vision novatrice en matière de rangement, occupe désormais la tête d'affiche d'une émission sur netflix « L'art du rangement » diffusée depuis janvier 2019 où elle explique à des américains comment mettre de l'ordre dans leur maison et de la joie dans leur vie.

Nous sommes à une ère où beaucoup rêvent de minimalisme, de légèreté, de feng shui, de simplicité et de décroissance. Marie Kondo a su prendre le train en marche et cela correspond à ses valeurs profondes. Elle aime le rangement depuis son plus jeune âge. Elle lisait déjà avec avidité les magazines de décoration et donc de meubles de rangement à l'âge de 5 ans et s'entraîne depuis cet âge.

Elle nous explique son parcours, ses tâtonnements puis nous donne le mode d'emploi. Comment procéder et par où commencer pour que le désordre ne revienne pas. Comment trier et jeter? Il faut ressentir les objets, les toucher et voir s'ils nous apportent du bonheur, du plaisir. Je n'adhère pas à 100% à tout son blabla.

D'accord avec le fait de se libérer de tout ce que nous accumulons. Il faut se détacher des biens matériels, apprendre à se libérer de ce qui nous entrave. Mais jeter des biens consommables non périssables car selon elle, on en a trop… Non, pour moi, c'est du gaspillage. Elle parle souvent de jeter mais rarement, même jamais, de donner aux associations et encore moins aux proches car elle dit qu'on leur remet alors notre trop plein et qu'ils vont accumuler à cause de nous des choses dont ils n'ont pas besoin (pas faux parfois mais pas toujours…J'ai une amie qui porte toujours 10 ans après des habits que je lui ai donné!) sauf s'ils sont en demande de cet objet.

Le fait de jeter, de trier par catégorie, de ne garder que l'essentiel ou ce qui nous rend heureux (« Est-ce qu'il me met en joie? » la phrase de M. Kondo qui revient souvent), je suis « pour » sur le principe mais on a parfois besoin de ce qui ne nous met pas en joie… Comme des habits pour bricoler, des tenues de sport (désolée, moi, quand je les touche, elles ne me donnent pas spécialement de bonheur mais je les utilise chaque semaine…J'ai une étagère pleine car je fais 4 activités sportives par semaine minimum et elles servent!), des objets utiles pour le quotidien… Ou paradoxalement, quand elle parle de trier les photos (garder celles qui créent une émotion..) et les livres… , on peut en avoir davantage selon les personnes. j'ai pour ma part arrêté d'acheter tous les livres que j'ai lu. Depuis janvier 2019, j'en serai déjà à 44 sinon..on est en mars. Mais ceux que j'ai, j'ai du mal à m'en séparer. Je les prête volontiers. J'en donne parfois mais j'en ai beaucoup, plusieurs étagères. Je vais essayer sa méthode mais je doute de me séparer de nombreux livres. J'aime voir les livres que j'ai lu et aimé, cela me fait revivre les sentiments liés à ses livres.. Et pour les photos, je ne me vois pas en jeter… En effacer, c'est plus simple mais pas évident non plus..

La méthode KonMari est originale. Elle conseille de plier en hauteur (vidéos à voir sur youtube) pour voir tous ses vêtements. Elle conseille des rangements plus efficaces (longs puis courts, moins de cintres, même catégorie,etc..) mais dit aussi de vider son sac à main tous les soirs… J'enlève déjà ce qui est lourd mais de là à tout vider… Enfin, chacun peut prendre ce qui lui parait intéressant.

En résumé, un livre qui peut aider à motiver une personne qui veux déjà se mettre à faire du tri chez elle mais un récapitulatif sous forme de tableau aurait été le bienvenue. Car on lit puis on oublie le détail. C'est vraiment très précis dans l'ordre et dans les catégories(p82 pour l'ordre des habits et accessoires) et apparemment c'est important de bien respecter la marche à suivre. Un moins selon moi. Après, l'esprit des objets, leur parler, c'est un peu excessif selon moi mais je suis d'accord avec le fait d'en prendre soin, ils nous le rendent forcément (je garde très longtemps mes affaires et généralement en très bon état). L'anecdote du téléphone portable auquel elle a envoyé un SMS pour le remercier m'a fait sourire. Marie Kondo est une personne à part, une fée du rangement?

A vous de juger!
Lien : https://blogapostrophe.wordp..

Il peut être une entrée en matière intéressante pour celles et ceux ne connaissant pas d'autres méthodes de désencombrement, mais l'enthousiasme global reste à nuancer car désencombrer n'est pas que jeter notamment. Ayant un parcours asse avancé en matière de minimalisme et en zéro déchets, je ne suis pas convaincue.

Maniaque du rangement, cet ouvrage à succès me tendait les bras. La lecture des premiers chapitres a plutôt été laborieuse : beaucoup de verbiage, de répétitions, de redites, de délayage. J'ai poursuivi, curieuse de savoir où Marie Kondo voulait en venir. En résumé, pour vous épargner une lecture laborieuse, voici son principe fondamental pour se séparer d'objets, de vêtements, de livres, etc... :
"Est-ce que cet objet
- vous met en joie ?
- vous rend heureux ?
- vous donne du bonheur ?"
Si la réponse est NON, alors jetez. Voilà, c'est simple.

Je n'ai pas été spécialement transcendé par ce livre. Tout d'abord, j'ai trouvé qu'il y avait énormément de passages inutiles : la première partie sert uniquement à nous dire à quel point la "méthode KonMari" va changer notre vie - on dirait les pages internet qui nous affirment qu'on va devenir millionnaires/mince/jeune pendant des lignes et des lignes, avant de nous demander notre numéro de carte bancaire. A quoi servent les phrases du genre "Vous êtes surement en train de douter mais je vous l'assure, ma méthode va changer votre vie !", puisque si on a ce livre entre nos mains, c'est a priori parce qu'on est convaincue, ou au pire vaguement sympathisant ?!
De la même façon, l'auteure nous répète tout au long du livre qu'elle lisait des magazines de déco dès son plus jeune âge et qu'elle rangeait partout où elle pouvait. Bon bah peut-être qu'elle aurait dû suivre sa propre méthode et ranger son livre : les infos qui disent la même chose auraient dû être toutes ensembles.
Je suppose qu'il s'agit de remplissage (ce qui est ironique pour quelqu'un qui prône le minimalisme), puisque lorsqu'on arrive enfin à l'aspect pratique de cette méthode, c'est particulièrement court car très simple. Finalement la méthode se résume en quelques phrases.
Est-ce que je suis convaincue par cette méthode ? Dans l'idée oui car ça me semble logique : "une place pour chaque chose", jusque là ça commence bien. Mais je n'ai pas foncièrement l'impression d'avoir appris grand chose. Son approche est beaucoup trop drastique pour moi, et parfois quelques schémas (ou même des photos avant/après, pourquoi pas) auraient été bienvenus, notamment pour la méthode de pliage que je n'ai absolument pas compris. J'espérais un livre aussi pratico-pratique que "Zéro déchet", mais ce n'est pas ça du tout.
Bref, si ça me donne envie d'épurer encore plus mon intérieur, ce n'est pas avec ses conseils. J'ai du mal à comprendre pourquoi tant de gens sont enthousiasmé par ce livre, mais peut-être que je suis déjà une assez grande trieuse et que pour moi, ça ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes...

Une amie m'avait parlé de ce livre et la manière avec laquelle Marie Kondo a su faire le vide dans sa vie et celui de ses clients. Quand je l'ai vu par hasard au rayon livres de mon supermarché, je l'ai pris. Je "découvre" donc "le minimalisme" : un art de vivre à la mode en ce moment.

Professionnellement je connais un peu les méthodes du Lean (aussi connu sous Kaizen), dont le 5S fait partie.

La méthode que propose Marie Kondo fait pour moi tout simplement partie de la méthode 5S. En japonais cette démarche consiste de 5 mots commençant avec un S (source Wikipédia) :
Seiri (整理, ranger) : supprimer l'inutile ;
Seiton (整頓, ordre) : situer les choses ;
Seiso (清掃, nettoyage) : (faire) scintiller ;
Seiketsu (清潔, propre) : standardiser les règles ;
Shitsuke (躾, éducation) : suivre et progresser.

Cette démarche est parfois traduite en français par le mot ORDRE qui signifie :
Ordonner ;
Ranger ;
Dépoussiérer, Découvrir des anomalies ;
Rendre évident ;
Être rigoureux

A part la façon à plier ses vêtements pour optimaliser l'espace, je n'ai rien appris de nouveau. Contrairement à ce qu'elle écrit sur le rangement des papiers au Japon, en France on ne peut pas jeter ses bulletins de salaire...

Je trouve la manière avec laquelle Marie Kondo elle parle de ses clients infantilisante et répétitive. Je trouve ridicule de remercier mes chaussures, mon sac et mes vêtements pour ce qu'ils ont fait pour moi dans la journée.

Voilà un livre qui fait un buz commercial et qui en vaut pas la peine. Consultez plutôt sur internet, vous y trouverez les mêmes informations gracieusement.

J'attendais beaucoup de ce livre, si chaudement recommandé...une belle déception.

J'avoue l'avoir lu en diagonale une fois la moitié du livre atteint tellement je me suis sentie extérieure à son concept.

J'ai rien appris mais j'ai bien ri par contre !

Je crois que l'auteur à de sérieux TOC et un ÉNORME besoin de jeter, à la limite de l'obsession...

Et puis elle parle à sa maison et ses chaussures, si si c'est elle qui le dit ! Alors pourquoi pas hein, mais ça me laisse perplexe quand même :D

" Voici le rituel que je suis chaque jour lorsque je rentre du travail. Je commence par ouvrir la porte, puis j'annonce à ma maison: "Je suis rentrée !"
En prenant la paire de chaussures que je portais la veille et qui est restée dans l'entrée je dis: "Merci beaucoup pour ce que vous avez fait" et je les range dans le placard à chaussures"

Pour elle les vêtements vivent et ont besoin de se reposer (à partir de là elle m'avait déjà perdue )

Un autre extrait "amusant": " Pour trier mes papiers mon principe de base est de les jeter tous"

Côté bouquins c'est aussi radical: elle décide (et recommande) que pour ses meilleurs livres il faut arracher les pages contenant les meilleurs passages pour les glisser ensuite dans un dossier. Ouch !
Et comme elle se rend compte que même comme ça la pochette reste superflue...inutile de la garder !

Moi elle me fait presque peur cette dame.

J'ai aussi eu mal tout du long à l'idée de voir ce qu'elle jette sans jamais se dire que ça pourrait en aider d'autres...Jeter des papiers oui, mais par exemple jeter des vêtements en état de servir c'est le genre de trucs qui me hérisse le poil.

Pour conclure: c'est pas prêt d'être bien rangé chez moi ^^