Nevernight, tome 2 : Les grands jeux

La mort est la seule promesse que nous tenons tous.

Mais on ne peut pas gagner si on ne joue pas.

certaines réponses s’apprennent. Mais les plus importantes se méritent.

Le problème, quand on est bibliothécaire, c’est qu’il y a des leçons qu’on ne peut pas apprendre dans les livres. Et le problème, quand on est un assassin, c’est qu’il y a des mystères qu’on ne peut pas résoudre d’un simple coup de poignard.

Les cieux ne nous accordent qu’une seule vie, mais grâce aux livres nous en vivons un millier.

Le loup n’éprouvait aucune pitié pour l’agneau. La tempête ne suppliait pas les noyés de la pardonner.

Les gens craignaient ce qu'ils ne comprenaient pas, et détestaient ce qu'ils craignaient.

La mort est la seule promesse que nous tenons tous. Cette existence que nous vivons... il y a de la place pour l'amour, Mia. Mais un amour pareil aux feuilles d'automne. Beau un tour. Un feu de joie le lendemain - jusqu'à ce qu'il ne reste plus que des cendres.

Peu importait à quel point la vie s'assombrissait, il suffisait, pour chasser la douleur, d'ouvrir un bon bouquin.

Les cieux ne nous accordent qu’une seule vie, mais grâce aux livres nous en vivons des milliers.