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Club N°56 : BD non sélectionnée
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C'est le genre de BD vers lequel je vais tout de suite !!

Belle couverture, donne vraiment envie.

Sauf que là, je pense qu'il y a trop de mélange des genres (Polar, Steampunk, western, etc.).

Idem pour le dessin qui hésite entre franco-belge, manga et comics.

Je suis sûr que les auteurs vont se rattraper sur leur prochaine oeuvre car on sent le potentiel...

Aaricia
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J'ai assez peu aimé.

De l'humour, mais je n'ai accroché ni à l'histoire, ni au graphismes.

Laurent
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Grosse déception avec cette bande dessinée qui se veut moderne par son graphisme jeune, ses couleurs éclatantes, son univers décalé mais pas trop...
Difficile de dire ce qui cloche car en fait il est aussi difficile de dire ce qui va...
C'est simple, c'est simplement le foutoir à tous les étages de la tour Eiffel.
On y retrouve des victimes pendues... Rassurez-vous,, vous ne saurez pas comment elles sont arrivées là en échappant à la maréchaussée...
Des tunnels ? je sais que c'est à la mode mais là, franchement...
Les héros? Des postures de préadolescents au comportement digne des série pour boutonneux de cette tranche d'âge.
Le scénario? A un moment je me suis demandé s'il y en avait vraiment un ou si c'était de la bande dessinée d'improvisation...
A la fin, j'étais convaincu : on se fiche de nous, lecteurs de bande dessinée. Ah oui, Wahkan, c'est une secte amérindienne. Pour dire... Des Joviens, ça aurait été plus pardonnable. A éviter donc.
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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Wahkan.
Paris, 1889, alors que l'exposition universelle bat son plein, un mystérieux tueur en série sévit dans les hauteurs de la tour Eiffel, joyau de la capitale française.
Le gouvernement tente d'étouffer l'affaire pour ne pas perturber les célébrations, nuire aux affaires en cours ou pire encore, fermer définitivement le monument qui ne fait déjà pas l'unanimité du gotha parisien.
La jeune inspectrice Éléonore Kowalski va devoir compter sur l'aide de Jules Castignac, une nouvelle recrue fraîchement diplômée.
Plutôt que de suivre les recommandations de son irascible supérieur hiérarchique, Éléonore va suivre son instinct et embarquer son nouveau collègue dans une traque à mille à l'heure au coeur de la ville lumière.. sur les traces d'une créature divine baptisée Wahkan.
Wahkan est une bande dessinée d'aventures de style steampunk.
Nous sommes à Paris pendant l'exposition universelle. Tous les yeux sont braqués sur la capitale française et son intrigante Tour Eiffel.
Manque de peau, c'est ce moment là que des meurtres sont commis dans le monument.
J'ai apprécié qu'on se promène dans le Paris des années 1889, pendant l'exposition universelle.
Éléonore Kowalski est une jeune inspectrice de police, au look particulier. Elle se retrouve à faire équipe avec un nouveau, Jules Castignac, qui a lui aussi un style qui lui ai propre.
J'ai beaucoup aimé ce duo, les révélations qui arrivent au fur et à mesure.
Par contre, j'ai trouvé ça assez classique, sans grandes surprises niveau scénario ou en ce qui concerne la mystérieuse créature.
Il y a quand même des éléments qui ont, heureusement, réussis à me surprendre. Sans que ce soit fou fou non plus.
Cela fonctionne bien dans l'ensemble mais le scénario est très convenu, c'est un peu dommage.
Les illustrations et la colorisation sont très réussies.
Même si je ne suis pas certaine d'en garder un immense souvenir, Wahkan m'a plu dans l'ensemble.
Ma note : 3 étoiles.
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Que 72 pages lues avec difficulté ! le pitch est attirant tout comme l'ambiance steampunk qui s'y profile, les dessins de Paris sont jolis mais les dessins des personnages ne sont pas agréables !

Par moment j'ai eu l'impression d'être à notre époque alors que c'est de la fantasy steampunk qui vire au fantastique puis tout aussi rapidement je me suis retrouvée dans un manga avec tous les codes que j'ai pu identifier dans le genre !

Une déception à laquelle j'attribue malgré tout 2 étoiles pour le Paris de l'époque et le fonds de l'histoire que j'ai perdu de vue assez rapidement !

Dommage, la couverture est sympathique et m'a promis quelque chose que je n'ai pas retrouvé.

#Wahkan #NetGalleyFrance
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Paris accueille l'Exposition universelle de 1899. La France espère que l'événement l'aidera à renouer des relations apaisées avec ses voisins et le reste du monde : tout doit donc se dérouler sans accroc. de fait, les meurtres successifs commis dans la tour Eiffel, construction nouvelle et fortement décriée, entachent grandement l'image du pays. « Quelle idée de construire une tour en ferraille au centre de notre belle capitale ! […] C'est la malédiction de la grande dame de Paris : » (p. 11) L'inspectrice Éléonore Kowalski est dépêchée sur l'affaire : la jeune femme veut prouver sa valeur et monter en grade en résolvant le mystère. Elle n'a donc pas le temps de s'encombrer avec Jules Castignac, nouvelle recrue du commissariat.
Aie aie aie… Je ne vais pas dire du bien de cette bande dessinée… Impossible de passer sur le sexisme omniprésent : paternalisme, hypersexualisation de certains personnages féminins, misogynie banalisée, c'est un bingo ! Plus généralement, l'humour est lourd et les dialogues sont clichés. L'oeuvre n'arrive pas à choisir son genre entre burlesque, tragique, aventure et suspense. le mélange a du bon quand il est maîtrisé et qu'il sert le propos : ici, c'est une cacophonie ! Selon les vignettes, Éléonore est une détective badass, une midinette rougissante devant de mâles pectoraux tatoués, une femme très sûre de sa sexualité, une hystérique très peu professionnelle, etc. de mon point de vue de lectrice, il très difficile de comprendre la caractérisation de cette protagoniste, mais surtout de développer de l'empathie et de l'intérêt pour celle-ci.
L'esthétique steampunk, si chère à mon coeur, est un prétexte creux. L'intrigue pourrait très bien se dérouler dans le Paris historique de 1899, car rien de ce qui fonde le steampunk n'est utile à l'histoire. Mon intérêt s'est vaguement rallumé quand des légendes amérindiennes ont fait leur apparition, mais là encore, n'importe quelle mythologie aurait fait l'affaire pour justifier les motifs du tueur. Et surtout, ce dernier aurait très bien pu agir ailleurs qu'à Paris : là, c'est l'Exposition universelle qui est le théâtre d'action, mais New York, Londres ou Vienne auraient tout autant convenu. Mais surtout, j'en ai ras les couettes des intrigues à base d'Élu, de prophétie et de destin… C'est du matériau littéraire intéressant, mais terriblement dévoyé dans des histoires faciles, pour ne pas dire paresseuses. Bref, lecture totalement ratée pour moi !
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En 1889, alors que l'exposition universelle bas son plein à Paris, une série de meurtres se déroule sur la Tour Eiffel. Éléonore Kowalski mène l'enquête pour débusquer le coupable quand on lui attribue un nouvel équipier, Jules Castignac.
J'avoue que sur un album de moins de 80 pages, je me suis demandé comment une intrigue pouvait se développer sans trop laisser de détails de côté. le pari est ici réussi. On rentre directement dans le vif du sujet, on enchaine les retournements de situations, on avance tambour battant dans un Paris steampunk des plus réjouissant et on ne s'embarrasse pas de sous-intrigues inutiles.
Côté personnages, si l'on ne connait pas le passé d'Éléonore et qu'on doit se contenter de ses aspirations de flic et de ses difficultés à s'imposer en tant que femmes, on s'attache facilement à ses pas pour la suivre dans son enquête. Castignac joue le trublion venant perturber la jeune femme, tant dans son enquête que dans sa vie. Les personnages secondaires sont bien plus insignifiants et se contente d'apparaitre quand on a besoin d'eux pour faire avancer l'intrigue.
Sans les avoir adorés, j'ai apprécié les dessins, dont le trait, anguleux, mais clair et plein de détails, fait parfaitement le job.
Une BD steampunk qui mêle enquête et ésotérisme vraiment plaisante à lire.
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Cette BD est une vrai déception ! Pourtant elle partait super bien !

Nous sommes à Paris, lors de l'exposition universelle. Mais ce n'est pas le Paris que nous connaissons, c'est un Paris steampunk. Un meurtrier sévit dans les parages de la Tour Eiffel et une jeune femme appartenant à la police est chargée d'enquêter sur cette affaire, avec l'aide du nouveau stagiaire.

Cette histoire démarrait vraiment très bien. J'aimais beaucoup le côté steampunk de l'histoire. Nous avions aussi un personnage féminin assez atypique dans ce genre d'univers. Une jeune femme indépendante, forte, qui exerce un métier par facile et dans lequel les femmes sont rares (de ce que j'ai pu comprendre de l'univers). Il y a cette histoire de meurtrier en série. Non vraiment, ça partait bien.

Et puis, très rapidement, c'est devenu du grand n'importe quoi. Les personnages sont devenus de vraies caricatures. L'enquête se poursuivait mais tout était tiré par les cheveux. Les enquêteurs parvenaient à des déductions sans qu'on comprenne comment. Les indices tombaient comme des cheveux sur la soupe. Tout allait très vite, et on n'avait aucune explication. J'espérais que tout s'éclairerait à la fin, mais non absolument pas. On nous a rajouté une histoire de société secrète amérindienne. Mais on n'a vraiment eu aucune explication. Ou alors, vraiment, je ne les ai pas comprises.

Niveau dessins, ça remonte un peu le niveau. J'aime bien le style. Ce que j'aime dans le steampunk, c'est aussi cette grand liberté au niveau des décors, des costumes, de la technologie. Visuellement, c'est assez chouette. Mais ça n'a pas suffi à me faire apprécier cette BD.

Non, vraiment, je suis très déçue !
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Alors. Difficile de faire cette critique car malheureusement, je n'ai pas trouvé beaucoup de positif dans cette BD.

Si : la maquette de la couverture est jolie et bien finie en termes d'effets.

Voilà.
En revanche, le reste ne fonctionne pas pour moi.
Déjà, je sais qu'il s'agit d'un récit steampunk ou du moins fantastique, la version de Paris en 1889 est donc un peu différente de celle qui a vraiment existé. Toutefois, je n'ai pas du tout cru aux deux personnages principaux, ni dans leurs looks (elle passe encore, lui j'ai rien compris. Coupe mi-manga mi-dreadlocks ?) ni dans leurs identités (je ne spoilerai rien). Et puis l'ambiance globale, le langage utilisé, les énormes armes à feu... Tout fait moderne et ne colle pas avec l'habillage souhaité.

J'ai trouvé que tout était déjà vu, cliché et surtout, déjà fait en bien mieux. Ça se veut moderne et punchy mais pour moi, ça tombait à côté. Les interactions entre les personnages sont convenues, clichées comme je l'ai dit juste avant, l'intrigue n'arrive jamais réellement à décoller et la fin...
Certes, ils ont réussi à me surprendre avec la fin, qui est résolue comme une lettre à la poste. Pim pam poum, emballé c'est pesé et hop ! *FIN*

C'est dommage parce qu'on sent que cette BD aurait pu avoir du potentiel, et on a presque l'impression qu'il y a eu des coupes dans la narration (peut-être était-elle prévue en plusieurs tomes à la base ?), ce qui expliquerait cette résolution capillotractée et expédiée.

C'est ma première lecture "ratée" de 2024. On passe à autre chose !
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Paris 1889. Un tueur en série rôde sur la Tour Eiffel alors que l'Exposition universelle se prépare. L'Inspectrice Eléonore Kowalski est sur le coup et se voit affublée d'une jeune recrue, Jules Castignac. La traque peut commencer.

Le scénariste Maxe L'Hermenier place une intrigue polar dans un Paris rétro futuriste. On est bien en 1889 mais avec une dimension SF distillée plutôt habilement. le récit est agréable à lire et offre une aventure complète divertissante.

Brice Cossu et Alexis Sentenac (dessinateurs notamment sur l'album Goldorak) croquent parfaitement le Paris Steampunk y plaçant pas mal de trouvailles astucieuses. Je dois avouer ne pas être trop fan des visages hyper expressifs qui rappellent les mangas et japanimes de mon enfance mais j'imagine que ça passera très bien auprès du jeune public.

Ce récit complet offre un polar rétro futuriste, frais et amusant. Une lecture sans prétention qui en appelle peut-être d'autres tant cet univers paraît déclinable sur des aventures supplémentaires.
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Trois étoiles pour le dessin et le travail mais pour le reste....
Le steampunk est porteur et un genre que j aime beaucoup. Mais encore faut il que l histoire soit bien menée. Et là je ne trouve pas que ce soit le cas.
Ça ressemble à un album d introduction, mais comme il ne semble pas y avoir de suite c est un peu loupé.
Enfin. le dessin est agréable, les couleurs très bien choisie et l environnement très bien rendu dans l esprit steampunk.
Mais c est tout. Désolé.

Après ceci reste mon avis et je vous laisse vous faire le votre et le partager.
Bonne lecture à tous.
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