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Cossu Brice (Autre)Sentenac Alexis (Autre)
EAN : 9791034768899
72 pages
Dupuis (12/01/2024)
2.71/5   36 notes
Résumé :
Paris, 1889, alors que l'exposition universelle bat son plein, un mystérieux tueur en série sévit dans les hauteurs de la tour Eiffel, joyau de la capitale française. Le gouvernement tente d'étouffer l'affaire pour ne pas perturber les célébrations, nuire aux affaires en cours ou pire encore, fermer définitivement le monument qui ne fait déjà pas l'unanimité du gotha parisien.

La jeune inspectrice Éléonore Kowalski va devoir compter sur l'aide de Jule... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Grosse déception avec cette bande dessinée qui se veut moderne par son graphisme jeune, ses couleurs éclatantes, son univers décalé mais pas trop...
Difficile de dire ce qui cloche car en fait il est aussi difficile de dire ce qui va...
C'est simple, c'est simplement le foutoir à tous les étages de la tour Eiffel.
On y retrouve des victimes pendues... Rassurez-vous,, vous ne saurez pas comment elles sont arrivées là en échappant à la maréchaussée...
Des tunnels ? je sais que c'est à la mode mais là, franchement...
Les héros? Des postures de préadolescents au comportement digne des série pour boutonneux de cette tranche d'âge.
Le scénario? A un moment je me suis demandé s'il y en avait vraiment un ou si c'était de la bande dessinée d'improvisation...
A la fin, j'étais convaincu : on se fiche de nous, lecteurs de bande dessinée. Ah oui, Wahkan, c'est une secte amérindienne. Pour dire... Des Joviens, ça aurait été plus pardonnable. A éviter donc.
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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Wahkan.
Paris, 1889, alors que l'exposition universelle bat son plein, un mystérieux tueur en série sévit dans les hauteurs de la tour Eiffel, joyau de la capitale française.
Le gouvernement tente d'étouffer l'affaire pour ne pas perturber les célébrations, nuire aux affaires en cours ou pire encore, fermer définitivement le monument qui ne fait déjà pas l'unanimité du gotha parisien.
La jeune inspectrice Éléonore Kowalski va devoir compter sur l'aide de Jules Castignac, une nouvelle recrue fraîchement diplômée.
Plutôt que de suivre les recommandations de son irascible supérieur hiérarchique, Éléonore va suivre son instinct et embarquer son nouveau collègue dans une traque à mille à l'heure au coeur de la ville lumière.. sur les traces d'une créature divine baptisée Wahkan.
Wahkan est une bande dessinée d'aventures de style steampunk.
Nous sommes à Paris pendant l'exposition universelle. Tous les yeux sont braqués sur la capitale française et son intrigante Tour Eiffel.
Manque de peau, c'est ce moment là que des meurtres sont commis dans le monument.
J'ai apprécié qu'on se promène dans le Paris des années 1889, pendant l'exposition universelle.
Éléonore Kowalski est une jeune inspectrice de police, au look particulier. Elle se retrouve à faire équipe avec un nouveau, Jules Castignac, qui a lui aussi un style qui lui ai propre.
J'ai beaucoup aimé ce duo, les révélations qui arrivent au fur et à mesure.
Par contre, j'ai trouvé ça assez classique, sans grandes surprises niveau scénario ou en ce qui concerne la mystérieuse créature.
Il y a quand même des éléments qui ont, heureusement, réussis à me surprendre. Sans que ce soit fou fou non plus.
Cela fonctionne bien dans l'ensemble mais le scénario est très convenu, c'est un peu dommage.
Les illustrations et la colorisation sont très réussies.
Même si je ne suis pas certaine d'en garder un immense souvenir, Wahkan m'a plu dans l'ensemble.
Ma note : 3 étoiles.
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Paris accueille l'Exposition universelle de 1899. La France espère que l'événement l'aidera à renouer des relations apaisées avec ses voisins et le reste du monde : tout doit donc se dérouler sans accroc. de fait, les meurtres successifs commis dans la tour Eiffel, construction nouvelle et fortement décriée, entachent grandement l'image du pays. « Quelle idée de construire une tour en ferraille au centre de notre belle capitale ! […] C'est la malédiction de la grande dame de Paris : » (p. 11) L'inspectrice Éléonore Kowalski est dépêchée sur l'affaire : la jeune femme veut prouver sa valeur et monter en grade en résolvant le mystère. Elle n'a donc pas le temps de s'encombrer avec Jules Castignac, nouvelle recrue du commissariat.
Aie aie aie… Je ne vais pas dire du bien de cette bande dessinée… Impossible de passer sur le sexisme omniprésent : paternalisme, hypersexualisation de certains personnages féminins, misogynie banalisée, c'est un bingo ! Plus généralement, l'humour est lourd et les dialogues sont clichés. L'oeuvre n'arrive pas à choisir son genre entre burlesque, tragique, aventure et suspense. le mélange a du bon quand il est maîtrisé et qu'il sert le propos : ici, c'est une cacophonie ! Selon les vignettes, Éléonore est une détective badass, une midinette rougissante devant de mâles pectoraux tatoués, une femme très sûre de sa sexualité, une hystérique très peu professionnelle, etc. de mon point de vue de lectrice, il très difficile de comprendre la caractérisation de cette protagoniste, mais surtout de développer de l'empathie et de l'intérêt pour celle-ci.
L'esthétique steampunk, si chère à mon coeur, est un prétexte creux. L'intrigue pourrait très bien se dérouler dans le Paris historique de 1899, car rien de ce qui fonde le steampunk n'est utile à l'histoire. Mon intérêt s'est vaguement rallumé quand des légendes amérindiennes ont fait leur apparition, mais là encore, n'importe quelle mythologie aurait fait l'affaire pour justifier les motifs du tueur. Et surtout, ce dernier aurait très bien pu agir ailleurs qu'à Paris : là, c'est l'Exposition universelle qui est le théâtre d'action, mais New York, Londres ou Vienne auraient tout autant convenu. Mais surtout, j'en ai ras les couettes des intrigues à base d'Élu, de prophétie et de destin… C'est du matériau littéraire intéressant, mais terriblement dévoyé dans des histoires faciles, pour ne pas dire paresseuses. Bref, lecture totalement ratée pour moi !
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En 1889, alors que l'exposition universelle bas son plein à Paris, une série de meurtres se déroule sur la Tour Eiffel. Éléonore Kowalski mène l'enquête pour débusquer le coupable quand on lui attribue un nouvel équipier, Jules Castignac.
J'avoue que sur un album de moins de 80 pages, je me suis demandé comment une intrigue pouvait se développer sans trop laisser de détails de côté. le pari est ici réussi. On rentre directement dans le vif du sujet, on enchaine les retournements de situations, on avance tambour battant dans un Paris steampunk des plus réjouissant et on ne s'embarrasse pas de sous-intrigues inutiles.
Côté personnages, si l'on ne connait pas le passé d'Éléonore et qu'on doit se contenter de ses aspirations de flic et de ses difficultés à s'imposer en tant que femmes, on s'attache facilement à ses pas pour la suivre dans son enquête. Castignac joue le trublion venant perturber la jeune femme, tant dans son enquête que dans sa vie. Les personnages secondaires sont bien plus insignifiants et se contente d'apparaitre quand on a besoin d'eux pour faire avancer l'intrigue.
Sans les avoir adorés, j'ai apprécié les dessins, dont le trait, anguleux, mais clair et plein de détails, fait parfaitement le job.
Une BD steampunk qui mêle enquête et ésotérisme vraiment plaisante à lire.
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Cette BD est une vrai déception ! Pourtant elle partait super bien !

Nous sommes à Paris, lors de l'exposition universelle. Mais ce n'est pas le Paris que nous connaissons, c'est un Paris steampunk. Un meurtrier sévit dans les parages de la Tour Eiffel et une jeune femme appartenant à la police est chargée d'enquêter sur cette affaire, avec l'aide du nouveau stagiaire.

Cette histoire démarrait vraiment très bien. J'aimais beaucoup le côté steampunk de l'histoire. Nous avions aussi un personnage féminin assez atypique dans ce genre d'univers. Une jeune femme indépendante, forte, qui exerce un métier par facile et dans lequel les femmes sont rares (de ce que j'ai pu comprendre de l'univers). Il y a cette histoire de meurtrier en série. Non vraiment, ça partait bien.

Et puis, très rapidement, c'est devenu du grand n'importe quoi. Les personnages sont devenus de vraies caricatures. L'enquête se poursuivait mais tout était tiré par les cheveux. Les enquêteurs parvenaient à des déductions sans qu'on comprenne comment. Les indices tombaient comme des cheveux sur la soupe. Tout allait très vite, et on n'avait aucune explication. J'espérais que tout s'éclairerait à la fin, mais non absolument pas. On nous a rajouté une histoire de société secrète amérindienne. Mais on n'a vraiment eu aucune explication. Ou alors, vraiment, je ne les ai pas comprises.

Niveau dessins, ça remonte un peu le niveau. J'aime bien le style. Ce que j'aime dans le steampunk, c'est aussi cette grand liberté au niveau des décors, des costumes, de la technologie. Visuellement, c'est assez chouette. Mais ça n'a pas suffi à me faire apprécier cette BD.

Non, vraiment, je suis très déçue !
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critiques presse (4)
LesAmisdelaBD
11 mars 2024
Wahkan est une sorte d’OVNI dans la galaxie Dupuis, avec un nom énigmatique et une couverture qui ne l’est pas moins. Cette aventure menée tambour battant par un trio d’auteurs confirmés, Brice Cossu, Alexis Sentenac et Maxe L’hermenier, nous embarque dans un Paris du XIXe siècle habité par une foule de personnages plutôt anticonformistes.
Lire la critique sur le site : LesAmisdelaBD
Auracan
31 janvier 2024
Maxe L’Hermenier scénarise une véritable course contre la montre car le temps compte si l’on ne veut pas que les journalistes s’emparent du sujet. Mais au-delà de l’enquête rondement menée, l’intérêt du récit réside également dans les rapports, souvent houleux, entre l’inspectrice et le jeune arrivant ainsi qu’avec la hiérarchie policière. On remarquera des dialogues plutôt enlevés ajoutés à un bon découpage, donnant ainsi un rythme des plus dynamiques au récit.
Lire la critique sur le site : Auracan
LigneClaire
31 janvier 2024
A découvrir absolument sur un dessin qui parfois touche au manga. Ésotérisme aussi, religion, Wahkan ratisse large mais avec logique. Un premier tome qui se lit seul et se projette sûrement vers d’autres destins éloignés.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BDGest
31 janvier 2024
Maxe L’Hermenier signe un récit singulier. Visiblement inspiré par la tradition du feuilleton, il additionne les rebondissements improbables… et parfois déjà vus (par exemple les jumeaux identiques). Au canevas policier s’ajoutent la lutte des femmes, la mystique amérindienne, une société secrète et, vers la fin, des éléments de science-fiction.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Hum !

C'est pas parce qu'un animal a des plumes aux fesses qu'il s'agit forcement d'un oiseau...
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« Quelle idée de construire une tour en ferraille au centre de notre belle capitale ! […] C’est la malédiction de la grande dame de Paris : » (p. 11)
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Oh, oui ! J'en ai de la chance ! Un fils à papa qui s'évanouira à la première scène de crime... Il n'y a pas à dire, je suis gâtée !
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En parlant de fantôme... vous êtes tout blanc Castignac. Que se passe-t-il ?
Vous n'avez pas l'habitude de la conduite parisienne ?
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Bon sang ! Il faut arrêter de fouiner sans véritable preuve !!! Beaumont est un honnête notable qui n’a rien à voir avec ces meurtres...
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