Alors que la Charte de la langue française, devant le désastre linguistique provoqué par l’intégration de 95 % des immigrants dans les écoles anglaises à Montréal au début des années soixante-dix, a mis fin au « libre choix » de la langue d’enseignement aux niveaux primaire et secondaire en 1977, le Québec n’ose pas aller plus loin et étendre, malgré la situation maintenant catastrophique du français à Montréal, les clauses scolaires de la loi 101 au niv... >Voir plus