Marie-Hélène Lafon dessine dans ce roman une vie d'un seul tenant, compacte, ramassée, et qui donne au récit une grande densité, à l'image du personnage de
Joseph. On pense à
Giono, à Steinbeck. L'écriture de la romancière est comme le monde qu'elle décrit, sans fioritures, empreinte de noblesse et de dignité, irriguée par la puissance de la terre.
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