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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pierre, journaliste trentenaire, reçoit des lettres de son grand-père, décédé depuis quelques mois. Par-delà la mort ce dernier lui donne des conseils sur la façon de conduire sa vie.Troublé par ces agissements étranges de la part de son aïeul, il pense donc être victime d'une mauvaise blague et mène une enquête.
Le thème du roman est relativement original même si d'autres avant l'ont exploité : créer une agence qui se chargera, après votre mort, de garder le contact avec ceux que vous aimez.
Agréable à lire et d'une écriture claire, c'est un roman qui traite surtout des relations grand-père / petit fils comme celui de Frederique Deghelt « la grand-mère de Jade » bien qu'en comparaison il paraisse plus froid.
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Une libraire pour se diversifier crée le "Conservatoire des Volontés", elle se lie par ubn contrat avec des défunts pour palier aux difficultés de communication avec leur proche dû à la timidité, à la discrétion, à la pudeur….Ils laissent des lettres pour révéler ce qu'ils n'ont pas su dire de leur vivant.
Un peu court et pas assez étoffé malgrè une once de poèsie japonaise dommage l'auteur avait un bon sujet
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Pierre reçoit une lettre de l'homme qui l'a élevé, son grand-père, décédé il y a plusieurs mois...

Ah ! Mince ! Ce petit livre à la couverture rêveuse aurait pu être un ouvrage précieux auquel on repense encore dans quelques années. le sujet est vaste, les déclinaisons possibles sont nombreuses, aucune limite ne s'imposait à l'imagination de l'auteur.

Que pourrait écrire un homme à la fin de sa longue vie à son petit fils ? Quels seraient les mots, les conseils, s'ils existent, les expériences qu'il souhaiterait faire partager et quelles en seraient les répercussions pour l'homme vivant en devenir ?

Rien que l'idée et j'en ai les frissons. J'aurais dû en rester là au lieu d'avoir l'impression de lire un exercice de style imposé. L'écriture, trop ampoulée à mon goût, ne permet pas l'émotion. Comme un chanteur qui souhaite prouver qu'il a de la voix en exagérant son timbre, j'ai ressenti tout au long de ma lecture un besoin de faire ses preuves, de démontrer la richesse de son vocabulaire en usant de mots d'académiciens. Personnellement, je donnerais toujours ma préférence à une histoire racontée avec ses tripes, même si elle est maladroite, plutôt qu'au roman froid très bien écrit.

Si les mots, comme le dit joliment l'auteur, « servent parfois à se taire », ils peuvent aussi être utilisés pour se cacher et se distancer. Un rendez-vous manqué, un avis subjectif, peut-être la prochaine fois ?
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
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Sur la 4ème de couverture ce petit roman publié chez Buchet-Chastel avait de quoi séduire. Un jeune homme reçoit une lettre de son grand-père alors même que celui-ci est mort depuis quelques mois... intrigué, le jeune homme va donc mener une enquête afin de démêler ce mystère....

Le problème n'est donc pas l'histoire mais bien le style. Il est toujours difficile pour moi d'expliquer pourquoi un style me dérange, difficile d'analyser pourquoi telle phrase ne me convient pas... mais essayons.

Voici donc un petit passage tiré de la toute première page.

Les yeux à peine ouverts j'ai pensé à mon grand-père. Cela fait plusieurs mois qu'il est décédé. Je songe souvent à lui, mais jamais de manière aussi soudaine.

Alors, tentons de comprendre l'origine de ma gêne. Dans un premier temps, ces phrases courtes me perturbent. La première aurait, me semble-t-il besoin d'une virgule après "ouverts", histoire de créer un rythme. Dans la seconde phrase le terme "décédé" et le "cela" me stoppent à nouveau. Quelle froideur ! je ne peux ressentir qu'un vent froid, un manque d'émotion qui me dérange. Ce terme "décédé", cette euphémisme de préfecture me semble déplacé dans ce contexte. La troisième phrase me pose moins de problème quoique la simplicité du début de la phrase me fait penser aux rédactions de notre enfance... voilà en fait d'où vient le problème... j'ai l'impression de lire une rédaction... Il me manque des développements, des précisions sur les sentiments... et ces manques renforcent cette impression de froideur créée par les phrases.

J'ai conscience que cette analyse n'est que purement subjective, et certaines d'entre vous ne se trouverons pas gênés, mais ma lecture a souvent été freinée par ces phrases impersonnelles, ces changements subis de situation, ces ruptures de rythme...

Je suis donc restée très en retrait, ne parvenant pas à trouver ma place, ne ressentant rien.
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Un livre qui n'a pas su trouver le chemin de mon coeur...
http://www.armande22.com/article-une-lettre-qui-ne-m-est-pas-parvenue-44971884.html
Lien : http://armande22.over-blog.com
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