Le chant de Dolorès

P547
Mais j'ai immédiatement reconnu leur chant. Je n'ai même pas été surprise. Je les ai suivies toute ma vie.
Des baleines, j'ai dit.

p233
Je venais de trouver le pied de menthe...

p231
Tous les hommes sont des porcs, j'ai dit.
Ses mains se sont arrêtées de masser.
Non pas tous, pas Larry.
J'ai repensé à leurs ébats de la veille au soir.

p230
Je crois que je vais faire un shampooing à la menthe...
Elle a fait bouillir de l'eau, et puis elle a jeté une à une les branches de menthe.
La cuisine s'est remplie de vapeur odorante.Avec l'économe de grand-mère elle a coupé des morceaux de savon qu'elle a jeté dans la mixture. (Dans les Appalaches chez une vieille dame qui m'hébergeait).
(...)Des cheveux comme les tiens, magnifiques.

P129
J'avais senti quelque chose quand il s'était mis à califourchon sur moi pour me chatouiller.
Son genou ou son coude, ou je ne sais quoi.

J'écris : L'amour c'est comme l'air qu'on respire, on l'inspire et on le recrache.

Ça n'est pas beau de faire des promesses quand on sait qu'on ne pourra pas les tenir, Dante. Amour, honneur, loyauté. Ah !

J'ai commencé à pleurer: chaque fois, c'était la même chose, tous les gens bien me fuyaient - un beau jour ils m'abandonnaient. Je ne voulais pas mourir. Mais je ne voulais pas vivre non plus.

J'avais commencé à pleurer : chaque fois, c'était la même chose, tous les gens bien me fuyaient - un beau jour ils m'abandonnaient. Je ne voulais pas mourir. Mais je ne voulais pas vivre non plus.

J'aie eu envie de lui rappeler qu'elle m'avait aimée dans mes lettres - qu'elle m'avait volontiers confié ses secrets les plus intimes. C'est ma graisse qui nous séparait.