Jean-Louis siffla à deux reprises et leva son poing ganté au-dessus de sa tête. Le faucon étendit ses ailes, hésita une seconde puis se laissa tomber dans le vide et, d'un seul vol rectiligne, vint se poser sur le gant. Ce fut pour Jean-Louis une de ces joies que l'on n'oublie jamais. L'oiseau était si beau, ainsi planté tout droit sur son poing ! Il se sentit rempli de fierté par l'amitié du rapace.
Guy de Larigaudie raconte son voyage.