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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Troisème et dernier tome pour Sarah Lark et sa saga néo zélandaise. Au fil des générations de femmes qui naissent les unes après les autres, on en arrive à Gloria, l'arrière petite fille de Gwineira, qui subit un destin un peu plus sombre que les autres héroïnes des tomes précédents.
Normal me direz vous car la période n'est autre que celle de la 1ère guerre mondiale, du coup, nous ne sommes pas en pleine période de tranquillité. Mais la qualité de l'écriture reste bien fidèle à ce qu'on attend de Sarah Lark et ce qu'elle nous a présenté avec le pays du nuage blanc et le chant des esprits.
Avec cette saga familiale au pays des moutons, la vie à la campagne, à la ville, aux 4 coins du monde nous accompagnera tout au long de notre roman et Gloria, loin d'être une victime de son destin, nous réservera de bons moments de plaisir à la lecture.
Bref, un vrai plaisir de lecture pour cette trilogie à recommander vivement...
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De mon côté, j'ai, de loin, préféré les deux premiers tomes .... Peut être un peu trop de longueurs, et, de répétitions ?
Dommage, dommage !!!!
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La vie de Gloria, fille de Kura, constitue une descente aux enfers dérangeante à lire. Alors que les tomes précédents offraient des espoirs et des moments de bonheur courts mais purs aux héroïnes, Gloria n'en bénéficie pas. Dans ce tome, elle est éloignée de la Nouvelle-Zélande pour aller vivre dans un pensionnat anglais et tente par tous les moyens de rentrer chez elle, à l'autre bout du globe. Aussi, tous les passages qui suivent les traces de Gloria éloignent le lecteur de la Nouvelle-Zélande qu'il a tant aimé dans les tomes précédents. Heureusement, Sarah Lark place aussi des scènes sur l'île colonisée.

Je pense qu'un troisième tome était quelque chose d'essentiel pour clore cette saga. Mais le destin triste et douloureux de Gloria nous laisse un goût amer : pourquoi les héroïnes devraient-elles être malheureuses ? Et surtout, pourquoi avoir fait traverser tant d'horreurs à Gloria ?

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Comme les 2 premiers , le 3e tome de cette saga se lit très facilement , et vite ( même avec 700 pages ) . Le style est toujours vif et enlevé ; les descriptions ne sont jamais pesantes et donnent toujours envie de découvrir ces paysages de Nouvelle-Zélande . Je mettrais quand même un bémol : j'ai eu du mal à croire que Gloria ( l'une des arrières-petites filles de Gwyn) , jeune fille timide , réservée et mal dans sa peau , tombe du jour au lendemain dans la prostitution ( l'abattage sordide) et vive de cela pendant des mois ! A cause de ce bémol , je dirais que ce tome est un peu moins bien que les 2 précédents mais pour qui a envie de passer un agréable moment , sans prise de tête , cette saga romanesque procure de délicieuses heures de lecture . Je lirai sans aucun doute les autres livres de Sarah Lark .
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Ce troisième volet de la série m' a un peu déçu , j'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire. J'étais contente pourtant de retrouver tous les protagonistes mais il manque un petit quelque chose.
petite déception .
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Il s'agit du troisième et dernier tome de la trilogie de Sarah Lark, entamée avec le pays du nuage blanc, et le chant des esprits.
On retrouve Gwyneyra en 1914, l'héroïne de cette saga se déroulant entre l'Angleterre et la Nouvelle-Zélande.
Gwyn a désormais 80 ans et mène toujours Kiward Station avec fermeté. Mais les événements vont s'enchainer : la guerre, le départ de Jack, son fils, et surtout celui de Gloria, son arrière-arrière-petite-fille, rappelée expressément en Angleterre par sa mère, Kira, la désormais célèbre cantatrice (dont l'histoire nous était racontée dans le tome 2)

L'écriture de l'auteure est toujours aussi puissante lorsqu'il s'agit d'évoquer les maoris, la Nouvelle-Zélande et tout ce que ce continent peut avoir de magique.
Les chapitres sur la guerre sont du coup un peu plus fades, mais heureusement pas trop nombreux.
Une belle fin de saga.
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C'est avec le cri de la terre que se conclut la trilogie du Nuage blanc. Après Gwyneira et Hélène, après Elaine et Kura, nous suivons la toute dernière génération de cette grande famille à travers les personnages de Gloria, Lilian et Jack.

Si les deux premiers tomes avaient des défauts évidents, ils sont encore plus marqués dans ce troisième opus. Un style toujours aussi horripilant en matière de répétition, des personnages secondaires toujours aussi négligés, et surtout un manque d'originalité encore plus flagrant.

Si le pays du nuage blanc et le chant des esprits partageaient des intrigues similaires, le cri de la terre, quoique plus sombre, répète à l'identique le schéma de ses prédécesseurs. Deux héroïnes sont mises en scène, et sur les deux, l'une va s'en sortir relativement bien tout du long (Gwyneira/Kura/Lilian), tandis que l'autre affrontera malheur et douleur avant de connaître une fin plus heureuse (Hélène/Elaine/Gloria).

Jusqu'à présent, la densité de l'oeuvre et ses nombreux personnages ne posaient pas de gros problèmes, mais cette fois, tout est plus brouillon. La chronologie est confuse, avec des allers et retours en arrière, et il n'est parfois pas aisé de se repérer dans le temps.

Même l'espace diffère beaucoup. L'histoire, jusqu'ici centrée en Nouvelle-Zélande, s'éparpille aux quatre coins du monde. Si cela permet de mettre en avant une sombre réalité historique (la Première Guerre Mondiale, et plus précisément Gallipoli), le lecteur habitué aux vastes pâturages des Canterbury Plains se sent dépaysé.

Quant aux personnages, ils souffrent toujours d'un manque de profondeur qui fait que l'on peine à s'attacher à eux. Charlotte, par exemple, m'a donné l'impression de n'être là que pour occuper l'intrigue de Jack jusqu'au retour de Gloria, même si ce sentiment a dû être quelque peu renforcer par la quatrième de couverture qui laissait présager une histoire entre ces deux personnages.

En parlant de cette jeune héroïne, d'ailleurs, ses choix ne semblent pas toujours très cohérents. Elle déteste la vie que ses parents lui imposent depuis qu'elle a quitté Kiward Station, mais pour y échapper, elle n'hésite pas à faire le choix de la prostitution, même si c'est d'abord avec un soupçon de naïveté. Ce qui m'a le plus déroutée, c'est que malgré la richesse de sa famille, elle n'a pas, à un seul moment, évoqué la possibilité de leur voler de l'argent ou n'importe quoi d'autre pour négocier une traversée.

Enfin, l'histoire entre Lilian et Ben est mièvre à souhait, digne d'un roman à l'eau de rose. Il n'y avait d'ailleurs aucun suspens de ce côté-là, puisque Sarah Lark a pour fâcheuse habitude de réunir ses personnages par miracle. Jusque-là, ils se retrouvaient par le plus grand des hasards à l'autre bout du pays, mais cette fois, c'est à l'autre bout du globe que réapparaît le soupirant de Lilian, rencontré en Angleterre.

C'est sans regret que s'achève cette trilogie du Nuage Blanc, car si les deux premiers tomes, sans être exempts de défauts, étaient plutôt agréables dans leur ensemble, la trame de celui-ci est attendue, dépourvue d'originalité, avec de plus grosses facilités scénaristiques que les précédents. Il était plus que temps que tout cela se termine !
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Une grande aventure qui nous emmène sur plusieurs continents en compagnie de Gloria, Jack, Lilian et beaucoup d'autres personnages, une belle saga qui dépayse et nous accroche.
Nous suivons plus particulièrement Gloria, jeune fille amoureuse des chevaux qui est envoyée dans un pensionnat en Angleterre. Ces parents, peu présents, ont décidé que la jeune fille y aurait une meilleure éducation qu'en Nouvelle Zélande. Seule consolation, elle part avec Lilian dont elle très proche.
Nous sommes à la veille de la seconde guerre mondiale, le voyage pour atteindre l'Angleterre est déjà une aventure.
Mais nous n'en sommes qu'au début … de leurs aventures !
Des histoires qui se croisent avec pour décor différents continents, l'Europe et l'Australie notamment, et finalement peu de moments en Nouvelle Zélande.
Ce n'est surtout pas mièvre, je dirai même plutôt réaliste, Gloria n'a pas une vie facile : sa liberté, elle va la payer chère. Nous la suivons dans ses aventures où elle doit survivre dans des conditions très difficiles.
La première guerre mondiale, avec la bataille des Dardanelles, est très présente : les jeunes hommes, dont nos héros, vont aussi vivre des heures sombres.
En résumé : des heures de lecture intéressantes et passionnantes.
Une saga qui rappelle les grands romans de Tamara Mc Kinley que je vous recommande aussi comme « l'île aux mille couleurs« .

Lien : http://www.despagesetdesiles..
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