"En juin 1943, une prostituée obèse de Bilbao donne vie à un garçon qu'elle confie aux jésuites. Un peu plus tard, en Galice, une femme accouche d'une fille et la laisse aux soeurs d'un couvent"
Ah , la belle promesse que voilà ! Avec un tel départ dans la vie des aïeux de l'autrice, le livre ne peut qu'être surprenant.
Oui, c'est vrai qu'à ce niveau de l'arbre généalogique de
Maria Larrea il y a de quoi dire et partager .
Après, sur les générations suivantes, et sur l'origine de l'autrice, j'ai moins accroché : j'ai trouvé que le style se détériorait et qu'on se détachait de cette histoire autobiographique. J'ai lu la fin rapidement et je vais vite oublier cette lecture.