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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
tome 2 des aventures de Léandre Laforgue au début de la seconde République Je regrette de l écrire mais c est toujours le même schéma description de repas , 1 conquête féminine une famille proche : grand père père grand oncle , ami cuisinier tous ouvert d esprit et de coeur Vilaine , méchante épouse de l oncle . Amitié avec un policier du même acabit tyrannisé par un chef plein de qualités débile, jaloux bête méchant , lâche etc ,etc punit à la fin .Bien fait pour le vilain na ! Un coupable très transparent même moi au tiers j avais compris et je ne suis pas vif , et puis cela se traîne en détails et digressions inutiles on essaye de ranimer l action à l agonie dans le dernier chapitre , mais bof.De plus il faut bien reconnaître que le style est simple voire simplet Je ne sais si je vais tenter le suivant de la série , peut-être si M. Larue veut bien se forcer et modifier son éternel scénario
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J'avais passé un agréable moment avec la première enquête de Léandre Lafforgue . Dans ce deuxième tome , le Goupil est confronté à un assassin qui décapite ses victimes n'ayant , semble-t-il , rien en commun ... jusqu'à ce que Léandre
approfondisse ses recherches !
Qui est derrière ces assassinats ?
Ambiance vengeance , secte et occultisme .... plus d'une fois ,
le Goupil frôlera la mort !
Roman agréable à lire mais cette fois , j'ai trouvé pas mal de longueurs : longues conversations , descriptions détaillées et digressions n'ajoutant rien à l'intrigue alourdissent un peu le récit et ralentissent le rythme .
Je lirai certainement le troisième opus des enquêtes du Goupil .
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Au Bal des Muscadins a été publié par les éditions De Borée en 2017. C'est le second volet consacré aux enquêtes de Léandre Lafforgue. le style est fluide, plaisant, soigné au point d'être parfois un peu précieux: "Pendant ce temps, sans songer le moins du monde au fait qu'elle déblatérait des propos sans intérêt, Hermance laissait libre cours à la cataracte de son aigreur. Léandre, lui aussi, tâchait de supporter l'inanité du monologue, mais sa patience arrivait à ses limites et il se dit que cela faisait quelque temps qu'il n'avait pas remis l'acariâtre gueuse à sa place..." (Page 250). La progression du récit est assez lente, les scènes étant émaillées de nombreux détails.
Humour: Certaines situations cocasses apportent au roman une touche de légèreté bien agréable; par exemple, quand Issy-Volny, inspecteur de police principal très imbu de lui-même et de ses fonctions prend le procureur pour un vulgaire voleur! L'interrogatoire du cousin de Louis-Philippe par le même inspecteur rappelle les dialogues des vaudevilles.

Février 1849. le Tout-Paris de la Seconde République se presse place Vendôme afin de participer à un événement exceptionnel: le Bal des Muscadins, prestigieuse soirée costumée à la mode des Incroyables et des Merveilleuses de 1795 organisée par Jacques Lazare, riche collectionneur et bibliophile. Goupil, responsable de la sécurité, y accompagne son maître, le prince-président Bonaparte.
Alors que la fête bat son plein, le prince de Senlis provoque un scandale en souffletant l'organisateur. C'est alors que l'on découvre que le mannequin censé figurer Louis XVI est en réalité un vrai cadavre, qui plus est décapité de frais. Bonaparte investit Lafforgue du statut d'enquêteur officiel afin d'assister la police dans son enquête. A qui appartient le corps? Où se trouve la tête? Et pourquoi une telle mascarade?
Une patrouille de police découvre un corps de cire affublé d'une vraie tête, dans la tour Saint-Jacques, dernier vestige de l'église de la Boucherie, détruite pendant la Révolution. Que signifient les lettres ZBD tracées sur le front de la victime? Ont-elles été tracées post-mortem? Et que penser de la disparition d'un ouvrage supposé de la main de Robespierre, intitulé Discours sur l'idéal et le Culte de l'Etre Suprême, que Jacques Lazare conservait dans un tiroir secret de la table de travail de sa bibliothèque. Qui savait l'y trouver? Et qui se serait introduit chez lui?
Les cadavres décapités et les têtes commencent à fleurir aux quatre coins de Paris. S'agit-il du même assassin agissant selon un mobile identique? Léandre Lafforgue, allias le Goupil, se retrouve mêlé à une affaire complexe, prenant ses racines dans les événements survenus à l'époque de la Révolution. Une intrigue intéressante bien que le déroulement du récit, suivant nombre de méandres et de détours, ne soit pas linéaire, et que parfois ces digressions se révèlent ennuyeuses.

Dans Au Bal des Muscadins, la vie privée de Léandre Lafforgue, contrairement au premier tome L'oeil du Goupil , est ici à peine esquissée. En effet, le récit est presque entièrement dévolu à l'enquête et aux évènements y afférant. Evolution tout à fait logique: maintenant que nous sommes familiarisés avec son environnement familial et personnel, que nous sommes devenus pour ainsi intimes, il n'est pas inintéressant de découvrir Léandre dans son contexte professionnel. 
Le bémol: les digressions un peu trop longues, auxquelles j'ai fait allusion un peu plus haut, nuisent à la fluidité du récit. On a parfois l'impression que l'auteur fait du "remplissage", ce qui est bien dommage car le roman possède suffisamment de qualités intrinsèques pour avoir recours à ce procédé.
Le +: la collaboration forcée entre Goupil et l'inspecteur Issy-Volny donne lieu à des scènes comiques tout à fait délicieuses.
Roman érudit, très bien documenté en ce qui concerne la bibliophilie, la littérature et la culture de l'époque, ainsi que les nombreuses allusions à la période révolutionnaire, Au Bal des Muscadins propose un habile mélange de fiction et de réalité en intégrant dans l'histoire des événements  qui se sont réellement passés (le procès des assassins du Grand Salon), ainsi que des échos historiques, comme l'épidémie de choléra qui durera de mars à septembre 1849 et fera environ 20 000 morts, soit 2% de la population. Passionnante immersion dans les méandres d'une époque charnière de notre histoire.
Lien : https://legereimaginarepereg..
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Pourquoi ce livre ?
Quand le service presse des Éditions de Borée nous a proposé ce livre, j'ai saisi la balle au bond. En effet, même si je n'avais pas lu le premier opus de la série, j'étais curieuse de connaître un nouvel auteur de romans historiques.


De quoi parle-t-il ?
Jacques Lazare, un bibliophile averti, organise, dans la tradition familiale, un bal costumé, en présence du prince-Président Bonaparte. Mais tout ne se passe pas comme prévu : une pièce de théâtre jouée pour l'occasion se transforme en scène de crime sanglant. Léandre Lafforgue, présent pour assurer la sécurité du Président, est chargé de résoudre cette affaire.


Que penser de l'histoire et des personnages ?
Ma première réaction en lisant ce livre a été de trouver des similitudes entre le Goupil et mon enquêteur préféré, Nicolas le Floch : ce sont tous deux des provinciaux qui sont montés à Paris pour faire carrière et qui deviennent des "enquêteurs aux affaires extraordinaires". Par ailleurs, les deux héros ont le même genre d'amis. L'auteur en vient même à faire un clin d'oeil sur l'oeuvre de Parot en faisant apparaître un capitaine Lefloch (en un seul mot) et le bourreau Sanson (ami de toujours de Nicolas).

Je vous avouerai que j'ai été un peu indignée, de prime abord, de cette ressemblance mais, heureusement, la comparaison s'est arrêtée là : l'époque, la relation qu'a la société avec la royauté, le langage, tout diffère. Malheureusement, le fait que je n'ai pas lu le premier tome et les heures supplémentaires exigées par mon travail ne m'ont pas permis d'apprécier à sa juste valeur ce personnage et je le regrette.

Concernant l'histoire, il semblerait que Sylvain Larue surfe sur l'engouement qu'a apporté Dan Brown concernant l'ésotérisme. Ce thème est mis en exergue par la théâtralisation du roman : chaque évènement survenant est l'occasion d'une représentation, d'une mise en scène qui peu à peu, mises bout à bout, mènent au dévoilement des coulisses et, par conséquent, à la désillusion du mystère évoqué. Si on ajoute à cela la violence des faits et l'amour des protagonistes pour les livres, tous ces ingrédients m'ont rappelé le film le Nom de la Rose, que j'ai adoré.

En conclusion
Un livre que je recommande même si je suis passée à côté.
Lien : http://www.la-recreation-lit..
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