Tout est sous contrôle

Je vais l'avouer de suite, je n'aime pas la série docteur House car Hugh Laurie m'énerve et je suis plutôt hermétique à son humour.... Bon eh bien ça c'est dit! Passons au livre que je souhaitais lire pour me réconcilier avec l'auteur en me disant que je pourrais peut-être l'apprécier davantage en tant qu'écrivain! Et bien c'est complétement raté. J'ai retrouvé des les premières pages cet humour bien particulier....
Malgré ça j'ai voulu persister mais rien n'y a fait. Les personnages m'ont paru antipathiques, le scénario complétement exagéré et tiré par les cheveux et surtout mal construit et "fouilli".
Bref une grosse déception.

L'agent secret farfelu Thomas Lang est forcé de participer à l'attentat monté par un marchand d'arme véreux pour lui permettre d'étaler la qualité de sa camelote.

La seule utilité de ce merveilleux scénario est de pouvoir le gaver d'un humour anglais lourd et bavard.

Roman bien écrit, dont la logique s'emboite au fil de la lecture, avec une fin à la hauteur. le style paraît cependant parfois un peu confus : la faute au traducteur ou bien au découpage du récit trop abrupt ?

Tout est sous contrôle ?! Euh, permettez moi d'en douter... voici une histoire sans queue ni tête, qui part dans tous les sens, et que je serais bien incapable de résumer. Ajouter à cela un ton ironique à l'excès, donc assez vite agaçant. J'ai persévéré néanmoins dans ma lecture... mais que ce fut laborieux !

Hugh Laurie est apparemment un bon acteur (je n'ai jamais regardé Dr House, en toute honnêteté). Acteur, c'est suffisant, qu'il se contente de jouer des rôles, inutile de tenter d'ajouter des cordes à son arc...

Une histoire complètement déjantée écrite par l'interprète de Docteur House.
Un livre très décevant car l'histoire part dans tous les sens et on en vient même à se demander où l'auteur veut en venir!
J'ai eu du mal à arriver au bout, mais j'ai quand insisté car je me demandais quel serait le dénouement.

Quand la série Dr House passait à la télévision, je ne loupais aucun épisode, j'adorais le personnage Grégory House qui faisait à mes yeux tout le charme de cette série, donc naturellement quand le livre Tout est sous contrôle est sorti, je me suis précipité dans une librairie pour l'acheter, et pourtant je ne l'ai lu que maintenant soit plusieurs années après. Et bien quelle déception, je me suis bien ennuyée pendant cette lecture, malgré une écriture assez fluide, je me suis perdue dans cette histoire, je n'ai pas vraiment bien saisi le rôle des personnages, ni le réel but de ce récit. Je l'ai difficilement terminé, la fin ne m'intéressait pas du tout, je voulais surtout pouvoir passer à autre chose. L'auteur a cherché à mettre une touche d'humour toutes les 5 lignes, ce qui a alourdi encore un peu plus ce livre, le personnage principal, en plus d'utiliser plusieurs identités, n'a pas pu s'empêcher de donner des surnoms à toutes les personnages qu'il croisait, ce qui a renforcé certaines de mes incompréhensions et certaines scènes dues au plus grand des hasards n'a fait que rendre encore plus incrédible ce livre, bref vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout aimé ce livre et je ne vous le recommande absolument pas.

Les livres que j'ai abandonné se comptent sur les doigts des mains. Largement. Mais là... impossible de faire autrement.

Le style est lourd, très lourd. Parce que "Trop de cynisme, tue le cynisme". Et pourtant, j'adore les piques d'habitudes, les touches d'humour noir. Surtout que les anglais sont souvent très bons à cela. Mais là, non. Vraiment. J'ai quelques fois souri mais avec 6 ou 7 remarques cinglantes par page, ça ne fait plus aucun effet à la longue, ce n'est plus drôle du tout !

Et puis, du coup, cela nuit très, très fortement au message. Je m'y perdais complètement. Rédhibitoire : il m'arrivait de reprendre ma lecture le soir (après avoir lu le matin), et j'étais perdue ! Mauvais signe non ?

Enfin, il y a trop de personnages, et surtout, aucun n'est attachant.

Alors, quand on en est là au bout de 90 pages sur plus de 400, je pense qu'il valait mieux que je passe mon chemin. Désolée... (et pourtant j'aimais tellement Gregory House - enfin au début... autre débat...)

Hugh Laurie est un grand acteur, et Dr House certainement ma série préférée. Voilà tout ce que je peux dire pour essayer de dire un peu de bien pour ce livre ... Histoire plutôt sans queue ni tête, humour (britannique sans doute?) que je ne comprends pas, en fait ce livre n'était pas fait pour moi.

Déception. C'est le premier mot qui me vient à l'esprit lorsque je termine cette lecture. J'ai voulu arrêter ce livre avant la fin, quelque chose qui ne m'arrive pas souvent. Mais comme je veux toujours finir un livre, j'ai continué, même si ça n'a pas toujours été évident étant donné que je n'accrochais pas et ne comprenais pas toute l'histoire.

Certains passages m'ont quand même amusée : lorsque Thomas, Sarah et le père de celle-ci sont dans le restaurant, lorsque Thomas et l'équipe de Francisco sont en mission dans la montagne...
Thomas, le personnage principal, très cynique, m'a assez bien plu également, mais pas tout le temps. le problème avec ce cynisme, c'est qu'il y en avait trop. A petite dose, d'accord, mais là je trouve que c'était exagéré.

J'ai demandé à l'amie qui m'avait recommandé ce livre ce qu'elle avait apprécié : elle m'a répondu, entre autres choses, que c'était l'histoire très particulière. C'était donc peut-être trop particulier pour moi !

Hugh Laurie lui-même a renoncé à faire une suite. Belle lucidité. Parce que disons-le simplement, c'est un ratage. Rien ne fonctionne, rien ne prend d'ampleur, rien n'a de force, et en plus je n'ai rien compris. Perdu presque d'entrée de jeu par une complexité dans la narration inutile, et qui fait m'a compliqué le fait d'éprouver quoi que ce soit pour aucun des personnages. Dommage pour un polar, qui se nourrit souvent et qui nourrit des personnages forts...
La traduction n'aide sûrement pas non plus. Quelle misère... L'humour british doit probablement mieux fonctionner en langue originale.
Ces pages sont à mille miles en qualité(s) d'un épisode du dr House.