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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce livre m'embarrasse pour tout dire . Comme beaucoup j'ai idolâtré A Rimbaud à mon adolescence , le poète , le beau jeune homme ; j'ai pleuré avec le dormeur du val . Il n'a pas écrit très longtemps ,dommage . Puis j'ai connu un autre pan de sa vie , moins glorieux , le trafic d''armes entre autres .Avec ce livre , on fait connaissance de la famille , de la fratrie et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il n'en sort pas grandi ..Famille bancale ; on comprend qu'il ait voulu la quitter , son frère en a payé les pots cassés . Je ne veux pas mélanger l'oeuvre et l'homme et lui garde mon admiration pour son talent d'écriture mais il me reste un arrière goût d'antipathie
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J'ai dévoré ce livre dont le sujet est de reconstituer un portrait du frère d'Arthur Rimbaud, figure délaissée des biographes et écartée de la légende rimbaldienne. L'auteur alterne chapitres de fiction avec Frédéric (le frère) comme personnage principal et chapitres retraçant son enquête pour faire ce livre. le ton de l'auteur est sympathique et il retranscrit bien les événements: les archives et l'aide de la fiction dressent un portrait très crédible de la famille Rimbaud. Et... C'est une famille horrible !! La lecture est très prenante mais il faut avouer que c'est un peu deprimant, la mère et la soeur Rimbaud sont odieuses, et Arthur ne parait pas être un chic type non plus ! Seul ce Frédéric, écarté par ceux-ci de la famille semble humain. Néanmoins, il ne faut pas s'attendre à découvrir un "secret" tel que l'annonce le bandeau du livre, sur ce frère oublié. L'auteur parvient à dresser un portrait de cet homme mais il reste peu d'informations sur lui, c'était plutôt un homme simple. Ceci dit, là où la légende renait c'est dans la fin tragique et similaire qui touche les deux frères comme une malédiction, fait imaginé par l'auteur? Mais je n'en dit pas plus.
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De David le Bailly, j'avais beaucoup aimé La captive de Mitterrand, l'histoire d'Anne Pingeot et du président français. L'autre Rimbaud m'a, lui, complètement emballée.

🌻Comment une famille de riches propriétaires terriens peut-elle effacer un des siens, parce qu'à ses yeux il est un raté? Comment une mère, celle d'Arthur et de Frédéric peut-elle à ce point haïr le second qu'elle fera tout pour lui nuire, sa vie durant? C'est ce que raconte L'autre Rimbaud qui se consacre au frère du grand poète.

🌻Alerté par l'absence totale de Frédéric dans l'histoire littéraire, David le Bailly a mené l'enquête sur ce frère dépossédé de tout. Avec une plume alerte et vive, il raconte les secrets rances des familles, s'attarde sur la vie d'Arthur en Afrique, sur la supercherie littéraire commise par Isabelle, la soeur, et son mari, souhaitant donner d'Arthur l'image d'un saint, demeuré catholique jusqu'à sa mort. Et sur la terrible disparition de Frédéric. C'est passionnant, d'un bout à l'autre et très vivant.

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Il s'agit ici d'un livre vers lequel il était évident que j'allais me diriger. Déjà le titre m'interpellait car je me demandais qui pouvait être cet autre Rimbaud je me doutais qu'il s'agirait de quelqu'un de la famille et cela aiguisait d'autant plus ma curiosité : y-avait-il eu un autre "génie" dans la famille, un peu à la manière des Claudel, Camille et Paul? et puis cette couverture, cette silhouette auprès du poète... déjà j'étais charmée.
Cet autre Rimbaud donc, c'est Frédéric, le grand frère d'Arthur, il n'est pas un autre "génie", il est plutôt considéré comme "l'idiot" de la famille, il est celui qu'on effacera des biographies et même des photos, celui dont on a honte.
David le Bailly redonne ici existence à cet oublié.
Le livre alterne entre son histoire et l'enquête menée par l'auteur pour récupérer des informations.
Pour être honnête la vie même de Frédéric n'est pas passionnante, ce qui est en revanche très intéressant ce sont les rouages de cette famille capable d'encenser un enfant et d'en piétiner un autre, c'est cette capacité à faire disparaître ce qui pourrait entacher la réputation du célèbre poète, même s'il s'agit d'un membre de la famille... Frédéric n'était peut-être pas parfait mais Arthur non plus, loin de là!
C'est donc une lecture assez intéressante, de celles qui s'attachent à montrer l'envers d'un décor bien travaillé.

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Qui ne connait pas Arthur Rimbaud ou l'un de ses poèmes ? On connait également sa vie d'excès, ses amours tumultueux. Mais pour ma part, je n'avais pas eu la curiosité de fouiller sa vie, sa jeunesse, sa famille. David le Bailly, l'a fait pour moi, pour nous. Il nous raconte avec beaucoup de pudeur et d'admiration l'enfance d'Arthur Rimbaud mais également celle de Frédéric. le grand frère, celui qui disparait, car trop proche du père ou sans ambition, sans le côté fantasque du petit frère qui prend tout l'espace.

"Chez les frères Rimbaud, ce qui me surprenait, c'était le contraste entre leur proximité durant l'enfance et leur indifférence à l'âge adulte. (…) Et pourtant cette histoire , il y eut bel et bien un bon fils, sanctifié par sa famille (Arthur), et un mauvais fils, sacrifié, puis dépossédé (Frédéric). Arthur n'a pas tué Frédéric. Mais son désintérêt, son mépris, ont contribué à son bannissement."

Nous connaissons parfaitement la photo de gauche où l'on voit Arthur en tenue de communiant. Seul, le regard franc, Arthur à 11 ans. Ce que l'on découvre bien plus tard, c'est la photo originelle. Celle de droite ! Celle où l'on voit Frédéric au regard doux. Celle que la famille a modifiée afin d'effacer un enfant, un fils, un frère. Pourquoi ?

Pour sa famille, pour les anciens du collège, Frédéric avait déchu.

"Conduire une calèche ? Charger des bagages dans un hôtel? Un travail de domestique!

Conducteur d'omnibus à la gare d'Attigny, c'était un beau titre pourtant. de ceux qui vous posent un homme. Qui vous distingue. Il n'y en avait qu'un, et c'était lui, Frédéric Rimbaud"

L'auteur choisit de nous offrir ses heures de recherches sous la forme d'un magnifique roman. Quoi de mieux afin de redonner toute l'ampleur , les joies et les souffrances de ce frère isolé de tous. Ce frère qui n'avait aucune chance face à un jeune homme talentueux et exubérant qu'était Arthur. Et malgré tout le tumulte qu'il causera à sa famille, celui-ci aura tous les égards. Alors que Frédéric, homme effacé, homme simple et honnête ne brillera jamais aux yeux des siens. Face à sa marâtre de mère, sa soeur élevée dans la haine de celui-ci et d'un frère qui aime être le centre de tout, Frédéric choisira l'exil affectif.

Un très beau roman afin de découvrir l'envers du décor de la famille Rimbaud.
Lien : https://lesciblesdunelectric..
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J'ai toujours aimé cette idée de parler de “l'autre”, celui qui vit dans l'ombre du “un” qui brille aux yeux du monde. L'auteur ici tente de décrire ce qu'a été la vie du frère oublié d'Arthur Rimbaud, Frédéric. Plutôt qu'oublié, on pourrait dire trahi, banni, renié. Par sa mère, par sa soeur mais également par ce frère à la vie romantique, adulé par des générations.

Alors, oui, l'auteur prend indéniablement le parti de ce frère inconnu. Fort de ses recherches sur la famille Rimbaud, il recrée son histoire, de manière romanesque, en donnant la part belle à Frédéric et en écornant au passage l'image d'Arthur.

Le Frédéric qui nous est raconté ici souffrira toute sa vie d'avoir perdu ce frère avec lequel il était si complice, voire inséparable, lorsqu'il était enfant et qu'il sent s'éloigner, changer; ce qui creuse en lui le sentiment irréversible d'une immense perte. Frédéric refuse de transiger face à la légende familiale, refuse de mentir, refuse de tirer des bénéfices de la gloire de son frère, quitte à tout perdre. Il regarde, désabusé, les femmes de sa famille se transformer en mantes religieuses, arranger la réalité, négocier, sauver les apparences, pour, peut-être, se faire éclabousser de quelques gouttelettes de l'aura d'Arthur Rimbaud, alors même qu'elles n'en ont pas lu une ligne.

Elle me laisse un goût amer, l'histoire de Frédéric Rimbaud. L'auteur le perçoit comme un “juste”, mais malmené, incompris, déshonoré et qui ne parviendra pas au bout de sa quête, qui ne parviendra pas à se faire aimer des siens, qui ne parviendra pas non plus à se construire un foyer chaleureux et rassurant.

David le Bailly avait besoin d'écrire ce livre qui présente des échos avec sa propre histoire, tel qu'il le dit lui même. Avais-je besoin de le lire ? Je crois, oui, car j'aime les histoires qui sonnent juste, même si elles sont tristement justes...
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Passionnant récit fictionnel et aussi très richement documenté consacré à Frédéric Rimbaud, le frère de l'autre. Où l'on découvre comment la mère Vitalie et la soeur Isabelle ont construit le mythe Arthur tout en ostracisant le frère, vu comme la honte de la famille (devenu coche, alors qu'issu d'une famille bourgeoise). Un portrait de groupe franchement nauséeux, et un attachement tout particulier pour ce Frédéric, touchant et humain au milieu de tant de cynisme et de méchanceté.
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Rimbaud (Arthur) élève surdoué, avide de gloire littéraire a été un individu détestable. Pour moi, le bateau Ivre est un des poèmes les plus surestimés de la littérature française et cette image détestable de " poète maudit"a persuadé des générations d'ados qu'un vrai poète devait obligatoirement être en marge de la Société et se livrer "au dérèglement de tous les sens".Je reproduis ma critique du "Bateau ivre"écrite en 2021:

Quelques mots sur ce poème, certainement le plus surestimé de la littérature française. Charles Cros, esprit scientifique, a fait au bel Arturo ce reproche: « Turo, je vais m'amuser à analyser logiquement le début de ton poème; c'est un jeu qu'on ne devrait, paraît-il, jamais pratiquer sur un texte poétique qui se situe, par essence, nous dit-on, en dehors du champ de la logique. Il me plaît, à moi, de tout observer par le petit bout de la lorgnette. Cette marque d'irrespect fait du bien : on a tellement porté au pinacle certaines oeuvres, qu'aucun étudiant n'ose émettre la moindre critique sur tel ou tel poème, surtout s'il a remarqué que son prof l'admire.
Tu nous dis, dans la première strophe que ton bateau descend un fleuve impassible. J'en conclus que le courant est très faible, presque imperceptible. Tu en donnes plus loin la preuve: des haleurs doivent tirer le navire pour qu'il se déplace, dans le sens du courant.
Ces haleurs sont trucidés par de méchants Indiens ( d'une force herculéenne puisque des flèches décochées avec un arc artisanal, réussissent à transpercer ces malheureux et à les clouer sur des poteaux.)
Que va faire le bateau privé de ses haleurs, sans l'aide d'un courant suffisant?
Il s'échouera lamentablement sur la rive! »
Toi-même, cher Cros, tu as rapporté la devinette que Rimbaud posait à ses amis au cours des réunions du club zutique:
« A quelle vitesse file mon rafiot, dans sa descente vers l'Océan? Si vous entendez mes jeux de mots cachés, vous avez la réponse. »
?????
Eh bien, cent à l'heure, oui sans: S-A-N-S; haleurs: H-A-L-E-U-R-S, puisqu 'ils ont tous subi le martyre de St Sébastien.
Quel gamin, cet Arthur!
Je pourrais ajouter que dans les 24 strophes suivantes , l'enfant terrible a ressorti ses pots de peinture (ceux qu'on voit sur une caricature des « Voyelles ») pour enjoliver ses images, et qu' il ne se prive pas de barbouiller, le poète:
eau verte; vin bleu; azurs verts; flottaison blême; bleuités; figements violets; nuit verte; éveil jaune et bleu; arcs-en-ciel tendus; glauques troupeaux; soleils d'argent; flots nacreux; cieux de braises; golfes bruns; flots bleus; poissons d'or; ventouses jaunes; yeux blonds; brumes violettes; ciel rougeoyant; morves d'azur; hippocampes noirs; cieux ultramarins; immobilités bleues; flache noire . Ouf !
Ce fameux manifeste aurait pu se résumer en une phrase: « Poète, libère-toi de toute contrainte ». Il ouvre la voie à cette poésie qui s'est coupée du public et reste confinée, aujourd'hui, dans de petites revues, reflets de petites chapelles.
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L'autre, c'est Frédéric, le frère aîné. L'autre, c'est celui qui a été évincé de la photo si célèbre d'Arthur Rimbaud. Celui que sa famille considère comme un raté, comme un caillou dans une chaussure, un grain de riz coincé entre les dents… Frédéric, c'est celui qui ternit l'image lisse et parfaite de la famille Rimbaud. Enfin, l'image que la mère et la fille veulent donner.

Pourtant, Frédéric, c'est le seul des enfants de la veuve Rimbaud qui osera défier « la mère ». Il lui fait face, lui tient tête, encore et encore. Pour seule réponse, il se verra banni de la famille, purement et simplement.

On dit de Frédéric que c'est un raté. Mais moi, je pense qu'il faut avoir les épaules sacrément solides pour ne pas rompre face à tout ce qu'il a enduré. Je l'ai trouvé intensément humain et incroyablement beau. L'autre Rimbaud, c'est l'histoire d'un homme qui a été brimé et malmené toute sa vie. Aussi bien physiquement que psychiquement. C'est un homme brisé et un homme oublié. Alors que les descendants de Frédéric connaissent tous Arthur, aucun d'entre eux ne semble connaître Frédéric. À l'image de ce portrait tronqué d'Arthur Rimbaud, Frédéric a été effacé des mémoires de ses descendants et relégué au rang d'invisible, dans celles des spécialistes de Rimbaud.

Heureusement, donc, que David le Bailly nous en parle, de ce frère oublié. Alors, oui, évidemment, il s'agit d'une biographie romancée. Cependant, l'honnêteté de l'auteur, quant aux difficultés rencontrées et aux hypothèses qu'il a pu en déduire, ne fait que renforcer, à mon sens, l'intérêt de ce récit. Et puisque j'ai un petit côté « balance les ragots », je me suis délectée (non sans honte) des effroyables manigances de la veuve Rimbaud et de sa fille, Isabelle.

Pour finir, et pour revenir à l'autre Rimbaud (eh, eh !), j'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur la vie et l'enfance de ce talentueux Arthur, si cher à mon coeur.

Bref, j'ai beaucoup aimé cette lecture.
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" le bon Rimbaud et le mauvais Rimbaud."

La photo de couverture de ce roman est une célèbre photo d'Arthur Rimbaud, celle de sa première communion, son frère aîné pose à côté de lui. Nous sommes en 1866 dans leurs Ardennes natales, Arthur avait onze ans, Frédéric douze. Cette photo publiée en 1922 lors de la parution des oeuvres complètes du poète a été retouchée, effaçant Frédéric. Pourquoi éliminer ainsi ce frère ? En quoi était-il gênant ?
Ce roman nous retrace le destin de Frédéric, aîné de la fratrie, élevé par leur mère ainsi que son frère et ses deux soeurs après que leur père officier ait quitté le foyer après la naissance de sa dernière fille. Frédéric et Arthur ont été très unis dans leur enfance, partageant la même chambre, ils ont fait front face à une mère au caractère tyrannique puis se sont éloignés pour finir par se brouiller "le mensonge est le ciment de la famille". Pour s'être opposé à sa mère, la propriétaire la plus riche de la commune, Frédéric va devenir conducteur d'omnibus, donc domestique, à l'Hôtel de la Gare. Pour sa mère c'est un moins-que-rien-, un déclassé qui a commis la faute impardonnable de passer du monde des "maîtres" à celui des "serviteurs". Frédéric, considéré comme un idiot, un raté, un bon à rien, méprisé par sa mère et sa soeur Isabelle, sera dénigré, déchu, considéré comme traître, renié par sa famille, renié, dépossédé puis effacé par sa famille. Il sera dépossédé des droits sur l'oeuvre de son frère.

" Dans cette histoire, il y eut bel et bien un bon fils, sanctifié par sa famille (Arthur) et un mauvais fils, sacrifié puis dépossédé (Frédéric). Arthur n'a pas tué Frédéric. Mais son désintérêt, son mépris, ont contribué à son bannissement."

David le Bailly retrace ici le destin de Frédéric Rimbaud, le frère d'Arthur, "l'autre Rimbaud" rejeté par sa famille, absent des biographies consacrées à son frère. Frédéric a payé cher d'avoir voulu se libérer de l'emprise de sa mère, d'avoir su dire "non" à sa mère Vitalie Rimbaud, une femme d'une extrême sévérité, autoritaire et abusive qui a élevé ses enfants dans la discipline sans aucune tendresse, une maîtresse femme monstrueuse décrite par Arthur comme "aussi inflexible que soixante-treize administrations à casquette de plomb". Il brosse également le portrait peu glorieux d'un Arthur devenu un négociant cynique qui use de sa position de fils préféré et qui se range sous la loi maternelle sans à aucun moment tenter de faire entendre raison à sa mère pour défendre son frère. Il dépeint également une soeur qui a oeuvré avec son mari pour effacer Frédéric de l'histoire familiale. L'auteur décrit une vie de village où chacun épie et jalouse l'autre, une famille où amasser une fortune est le comble de la réussite.
Dans certains chapitres en italique l'auteur raconte son enquête, ses rencontres avec les descendants de Frédéric, l'écho que cette histoire trouve dans sa vie personnelle, son goût pour le destin des êtres considérés par tous comme ratés. C'est un roman très documenté enrichi de documents extraits de la correspondance de la famille Rimbaud. En consacrant ce livre à Frédéric Rimbaud, entre enquête et roman, David le Bailly redonne vie à un homme simple pour qui j'ai éprouvé beaucoup d'empathie.
Lien : https://leslivresdejoelle.bl..
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