Sim survivor

What ???

Je suis désolé, mais cette critique sera avec spoiler, donc en bref, je dirais, des idées farfelues, incohérentes, des persos pas assez travaillés et un monde un brin trop SF pour sembler cohérent. Dommage, car y avait du bon, notamment les vampires... Mais ce n'est pas suffisant. Car en terminant ce livre, j'ai juste eu l'impression de lire un remake de Hunger Game un peu foireux...

Commençons par le pire : la fin ouverte ! J'aurais préféré un autre tome, quitte à le lire en diagonale, plutôt que ça !
On parle des parents de Sandro ? Non ça se passe de commentaire.
On parle de la romance ? Non parce qu'elle n'a pas sa place dans le récit et qu'on l'y fait rentrer de force.
Pourquoi Sandro ? Il n'y avait pas de gamin des deux premiers cercles un peu plus sympas, entraîné et moins minable ? Et son addiction ? elle disparaît vite non ?
Ambra ? Mais elle est à la ramasse où c'est juste moi ? Et en début de roman, elle parle de contacter la rébellion avant de mourir, elle compte faire comment au juste ?
L'expérience traumatique de Sandro ? Non mais franchement, j'aurais préféré apprendre que c'était un gamin des rues adoptés, tout plutôt que ce pseudo tire larme ridicule.
Ha oui et on en parle de ce pétage de câble du IA, qui est ridicule ? déclencher la guerre ? mais c'est une pu... de IA, elle est connecté à internet, elle analyse des infos, les traduits, établis des probabilités et en déduit des scénarios, alors comment à t-elle pu passer à côté du fait que déclencher la guerre réduirais l'audimat ?
Le pire, c'est qu'il y a du bon, Alyssa, c'est brillant, ce retournement de situation.
L'idée de créer des alliances avec les Jinns, c'est génial, surtout lorsque l'auteur les humanise et les mets en lumière.
La quête de Sandro pour devenir meilleur est même une excellente idée.


Belles lectures à tous.

Surfant sur la vague de la dystopie, très à la mode ces dernières années, Sim Survivor a pour cadre un jeu de télé-réalité qui s avère être bien plus pervers que ce que l'on pourrait penser.
L'idée de départ sentait un peu le déjà-vu mais on se rend compte que le livre est tout de même bien différent des Hunger Games, Divergent et tutti quanti.
Malheureusement la mayonnaise a du mal à prendre. L'auteur multiplie les références mythologiques qui ne semblent pas toujours opportunes (oh un vampire, oh un minotaure, oh une fée ... ) et en cherchant l originalité il perd un peu de vue la direction de son roman.
Pour moi il en résulte un ensemble brouillon avec un héros très antipathique. Certains moments restent sympathiques mais on espère que l'histoire a touché là sa conclusion et ne donnera pas de suites.

Merci à Babelio et aux éditions Scrineo pour m'avoir fait découvrir Sim survivor grâce à Masse critique.

On voit rapidement que c'est une livre jeunesse. Un bon je pense. En tout cas on ne s'ennuie pas, il y a de l'action, ça se lit très vite. Je pense que l'auteur a du s'éclater à inventer cet univers et à réunir tous ces mythes et créatures qu'il utilise. Un futur tout à fait plausible, avec beaucoup de misères mais aussi avec une technologie qui n'est qu'émergente pour l'instant, comme l'imprimante 3D et l'utilisation massive des cellules souches.
Ca c'était le côté positif. Mais malheureusement pour moi il y a plus de négatif. Vraiment trop jeunesse. On sent les efforts pour donner un peu de profondeur aux personnages mais ils en ressortent cucu gnangnan, des répliques et des pensées qui m'ont fait lever les yeux au ciel en soupirant. Trop cliché, trop bisounours, trop attendu. Je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, ne serait-ce qu'un seul. Pour autant, ils n'en sont pas agaçants. L'histoire d'amour allait vraiment trop dans la facilité, manquant cruellement de profondeur.
Il en est un peu pareil pour l'action. Attendu, facile. L'histoire qui pourrait être très fournie, complexe, reste superficielle. Il est vrai que c'est très ressemblant à Hunger Game, un jeu de survie pouvant entrainer une révolution. C'est la fin qui me semble étrange. Pour moi c'est un one-shot et pourtant l'idée des rebelles et de la destitution des cercles dont il est question tout au long ne trouve aucune réponse à la fin. Nous laissant sans réponse. On a vraiment l'impression qu'il y aura un second tome. Ce qui enlève encore de la profondeur du récit.

Une lecture sympathique mais un peu décevante, à laquelle je n'ai pas accroché plus que ça mais qui ravira certainement les adeptes des lectures jeunesses.

Malheureusement c'est une déception pour moi !

L'idée du bouquin en lui-même me plaisait beaucoup, un jeu de télé-réalité à la sauce Hunger Games, avec des épreuves plus dangereuses les unes que les autres et surtout bien plus mortelles qu'il n'y paraît... c'était alléchant !
Malgré ce résumé qui me donnait vraiment très envie, dès les premiers chapitres j'ai senti que ça ne le faisait pas vraiment.

Je n'ai pas adhéré au style de l'auteur. Tout était trop précipité ! L'univers aurait pu être dingue, ça a un vrai potentiel mais pour moi ce n'est pas assez abouti. On exploite pas assez ces mondes virtuels, où les épreuves se déroulent. C'est trop vite bâclé et pas assez approfondi. J'étais vraiment perdue au début. Tout est mit en place trop rapidement, on nous balance dès le chapitre 2 toutes les infos sur la rébellion, sur les dessous du jeu, sur les personnages et en gros débrouille toi avec ça haha. J'ai vraiment eu du mal avec ça.

J'ai aussi eu des difficultés avec les personnages et particulièrement avec Sandro. J'ai pas accroché à son caractère, ni à ses réactions par moments. Je trouve que c'était parfois peu crédible.

Je ressors, à mon grand regret, très déçue de ce bouquin car il me faisait très envie. C'est typiquement le genre d'histoire que j'aurais pu vraiment kiffer mais ça ne l'a pas fait avec certains éléments et pour le coup je n'ai pas réussi à passer au-dessus. Ce n'était pas fait pour moi, à tenter s'il vous intrigue, vous aurez peut-être, à l'inverse, un joli coup de coeur !

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