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3,47

sur 286 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
On est pas loin de Very bad trip, avec cette folle aventure d'un loser alcoolique qui perd toute trace de son épouse trois jours après son mariage.

Leur lune de miel, écourtée par le départ de la jeune épouse , avait pourtant été organisée de main de maître par le narrateur. Un camping en bord de mer, un bar, et une dune. Pas banal ce qui s'y passe sur la dune : un touriste allemand abandonné par son épouse tourne en rond depuis des jours sous le regard de ses deux enfants, que la barrière de la langue a empêché de se présenter : ils ont ainsi été affublés des prénoms de Requin et Marteau!

L'incongruité de la situation attire les curieux, puis la presse et la télévision, et le petit camping vient le lieu de villégiature incontournable de la région, obligeant notre tourtereau abandonné d'endosser la casquette de gérant des lieux, le patron noyant lui aussi le départ de sa femme dans la bière.

L'histoire s'enrichit de page en page de situations cocasses et improbables mais assez drôles. le style est fleuri est sans complexe donnant beaucoup de rythme et de tonus à l'ensemble

Honnêtement, on ne rit pas aux éclats mais on sourit , et c'est déjà une bonne chose en ces temps obscurs, et on salue l'imagination débordante de l'auteur.
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Du décousu main, ça détricote !

Emma et moi - loser anonyme- just married et déjà en route pour un voyage de noce à Sandpiper, cote ouest du pacifique, c'est pas magnifique ? Ok, je vous l'accorde le bungalow réservé est peu un spartiate et le village de vacances inanimé en octobre. Mais bon faut pas faire le difficile. Nous voilà donc installés sous une nuit étoilée au bar discothèque La Baleine devant deux cheesburgers bien arrosés en compagnie de foudres de comptoirs. Emma s'éclipse en douce. Moi comme d'hab' je papote des plombes en me rafraîchissant la glotte. Retour au petit matin en titubant comme un goujat au nid d'amour. Stupéfaction, la douce Emma s'est fait la belle sans son alliance..

Sans piper mot, rien ne va plus !
Moi qui ne tient plus en place et qui titube sans Emma,
le bar la Baleine qui est en train de couler avec son équipage,
un teuton délaissé par sa moitié qui se prend pour un Derviche tourneur,
JFK le pelican qui se fait tourner en bourrique par deux bambins,
et des hippies crados qui s'éclatent pour pas un rond...

Avec "En moins bien", Le Guicher impose son style déjanté et son l'univers frappadingue. Un roman paf comme une tequila, arrosé de tirades, de monologues et de métaphores mousseuses et savoureuses qui fusent à tire larigot. Un bémol pour l'histoire qui s'enlise un peu et sans Emma s'essouffle et se répète. Je conçois que les verres toujours pleins malgré quelques passages à vide peuvent en soûler plus d'un. Mais quand Le Guicher s'essaye à suivre les pas d'un Bukowski- sa descente- ou d'un John Fante- sa répartie- et que ça marche au détour d'une saillie verbale, alors on s'en jette encore quelques uns jusqu'au finish.

Idem les personnages sont bien largués :
Un héros à coté de la plaque en chute libre et ivre épaulé par un richard de pote pas mieux. Pas loin d'eux, un pélican gnangnan, des hippies sales comme des cochons, un sosie d'Indiana Jones plus très frais, des mioches marteaux, un accro du cinoche d'avant garde, de vieux Kurosawa very pressing, et une chevrolet Impala, la même que dans Las Vegas Parano...La classe.

"En moins bien", un premier roman un peu foutraque et foisonnant qui a le mérite de découvrir un écrivain qui tient la route...en titubant.
Place aux suivants d'Arnaud Le Guilcher...

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" - Tu crois qu'il y a une vie après la mort, toi ?
- Je suis pas tellement persuadé qu'il y en ait une avant… "
Ben ce type, Arnaud le Guilcher, je trouve que c'est un poète de la vie. Avec ses phrases à deux balles, qui parfois rappelle certains auteurs américains qu'il doit bien aimer (moi aussi du reste), il m'émeut un max. Ce roman est plus touchant que drôle au regard de Pile entre deux, mais sous ses airs de "je vous raconte du vent" ben j'vous dis le meilleur : l'amour, l'amitié, la mort. Un tryptique qui vous flingue le moral ou vous redonne l'envie d'y croire, pour encore un petit trajet dans la bagnole du rêve américain.
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C'était son premier et ce n'est pas le meilleur. Mais que m'importe ! Moi, avec le Guilcher, je suis toujours bien. Il m'apporte ce dont j'ai tant besoin en ce moment : du sourire, un brin de folie, de la tendresse et de l'évasion.

Il ne m'en reste plus qu'un à lire (le second)... C'est passé trop vite, comme tous les bons moments.
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A bord d'une Chevrolet Impala 1971 d'un rouge mécanique, je décapote, une vieille cassette des Stones, Let It Bleed, dans les haut-parleurs crachotant. Les cheveux au vent, du moins ce qu'il m'en reste, je file au Sud, Sandpiper Bay, Floride. J'aurais voulu emmener Emma aux Seychelles, pour une nuit de noce d'anthologie à baiser et boire du rhum avec Emma. Finalement, en tant qu'employé moyen dans un pressing moyen tenu par les Kurosawa, je me retrouve dans ce bungalow bon marché, il n'y a pas de pingouins mais un pélican qui se prénomme JFK. Dès fois, on a envie de lui mettre une balle, à cet avatar à plumes de Club Med. C'est la réflexion que je me fais lorsque le soleil se couche et que je bois ma quatrième bière, sous le regard tristement bleu de la lune.

Les histoires d'amour finissent... en général... La mienne n'a pas survécu au lendemain de mon mariage. Emma partie, envolée, le pélican à mes pieds. Moi, je suis resté à errer dans le sable comme ce Teuton qui tourne en rond depuis des heures, des jours, des mois, sa femme est partie aussi. La lagune de Floride semble avoir ce pouvoir magnétique sur les couples - ou les suicidés. Fraiches Lagunitas me voilà. Je prends une bière dans la glacière, note que ça rime lors j'en prends une seconde, bière dans la glacière, bienvenue dans ma galère. le soleil se couche à nouveau, la lune garde sa lueur bleutée pour d'autres cieux que le mien, alors je me prends une nouvelle bière.

Vue de l'extérieur, je me demande ce que les gens viennent foutre à Sandpiper, regarder le soleil au sommet de la dune, ce Teuton qui tourne comme un 33 tours de Neu!, ces hippies nus et chevelus qui font l'amour, les seins nus et la chatte poilue. L'histoire dans l'histoire, c'est comme la bière dans le whisky. C'est écrit, et j'ai pas mieux à te proposer. Dans le genre, alcool à gogo. L'amitié autour d'un verre de bière. Peut-être même de deux, c'est comme ça qu'elle se soude l'amitié, pas besoin de parasol dans le verre à cocktail, ici on boit sec et d'un trait, le regard perdu, l'âme dans la vague. le silence n'effraie pas, l'absence s'oublie au regard des verres oubliés sur le comptoir, mais la lucidité réapparait, comme le spleen d'une vie, lorsque le soleil se découvre à nouveau - alors j'écris des billets, des lettres, des poèmes, des réclamations aux impôts, sans me prendre pour un vain écrivain, le vin à portée de main.

Cependant, dans cette tristesse bleue, je ris et je m'éclate, l'esprit malsain, la pensée divine à ses seins. Elle est là, en moi, EMMA, comme un prénom en a. Peu importe, si elle ne me prend pas au sérieux, j'ai mon âme pour moi, j'ai son âme en moi. Elle reste là, dans mon Impala, et je lui parle des fois. Elle ne me répond pas et je finis ma nuit avec ce verre vide, comme ma vie, comme un air des Stones sans Charlie Watts, Love in Vain a cette amertume finale que la vie est ce qu'elle est, mais en moins bien.
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En moins bien, oui mais par rapport à quoi ?
Par rapport à Ric Rac, Pile entre deux, Capitaine frites ou du tout au tout.
A part un don pour un ton d'écriture déjantée qui me fait voyager comme j'aime, le Guilcher doit avoir un don de voyance. Il l'avait senti que son premier bouquin serait top mais moins que les suivants. C'est une sorte de maison témoin où tous les meubles sont bien en place mais dont les murs sont encore trop vierges de vécu. On finit par tourner un peu en rond si je peux dire puisqu'en fait c'est un peu le thème du bouquin.

Le paratonnerre à emmerdements de service part en voyage de noces à Sandpiper, un camping des Flots Bleus de l'amer hic. Déjà, y a eu noces alors que même le mec sentait l'erreur de casting le concernant. Résultat, dès le premier soir, à force de passer d'une rousse à une brune avant de se finir avec une blonde, bah l'Emma, elle met leur relation en bière et se casse.
Sandpiper, bienvenu au club des largués parce que le patron du camping est dans le même cas ainsi qu'un touriste Allemand qui depuis le départ de sa femme fait des allers retours sur la plage (24h/24 7 jours/7, un truc à te rejouer à pouf pouf ça sera moi qui creusera une tranchée, sous les yeux ahuris de ses deux nains. Tout part en couilles dans ce camping et notre héros va tout prendre en main (je parle de la situation, what else ?) avec l'aide de ses potes venus à la rescousse et redresser la barre d'un bateau voué au naufrage. D'un pélican abruti à la star du BFM local en passant par des hippies suicidaires ou nudistes ou les deux en même temps, on trouve les cars de cons venus voir l'Allemand faire ses allers retours sur la plage en beuglant « Friiiiiiida », on finit par se retrouver à poil chez ses vieux patrons blanchisseurs Chinois pour se faire masser par la mamie. le voyage est bien barré comme il faut avec cet arrière gout d'Audiard peut être un peu moins prononcé que dans d'autres titres.
Si vous n'avez jamais tâté du le Guilcher alors commencez dans l'ordre, ce « En moins bien » n'en sera que meilleur.
Si vous aimiez l'humour des Nuls ou des Robins des Bois par exemple, les dialogues d'Audiard statufiés par des Blier, Ventura ou Blanche, alors même en moins bien c'est du tout bon.
« Pas mieux », c'est mon prochain, je suis prévenu.
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Un livre qui aurait dû me faire rire.
Du moins c'est ce que j'espérai.
Tout a bien commencé pourtant ; je me suis laissé happer par l'univers de l'auteur.
C'est vrai que son humour est déroutant mais jusqu'au milieu du livre j'ai trouvé cela plutôt amusant.
Un loser qui part en voyage de noce avec sa femme Emma qui le quitte au bout d'à peine 10 pages.
Pourquoi pas !
Un allemand qui tourne en rond depuis des semaines jour et nuit parce que sa femme l'a quitté.
Pourquoi pas !
C'est une belle métaphore de l'absurdité des peines de coeurs qui fait faire à l'être humain n'importe quoi.

Le malaise s'est installé pour moi lorsque l'auteur à commencer a décrire des adolescents qui se suicident en masse près de la mer. Je n'ai pas supporté cette vision désenchantée de la société.
Qui m'a été presque insupportable.

Le seul rempart pour faire face a ces suicides pour le personnage principal est de se « bourrer la gueule « avec ses potes.
Pourquoi pas !
Une bonne dose d'autodestruction c'est un choix comme un autre.
Je continue à le lire ses frasques avec les gros joints qui lui permettent de se maintenir en vie.
La romantisme mièvre et lubrique du personnage est exclusivement dédié a fantasmer Emma .
Il préfère rêver plutôt que de tenter de la trouver et la reconquérir.
Un fatalisme apathique qui m'a exaspéré.
Sa devise « je suis malheureux et je ne fais rien pour changer la situation »
Une vision pessimiste de la vie qui me dérange et pourtant je continue ma lecture en espérant que le personnage est un sursaut de vie qui va le faire basculer dans une vision plus positive de la vie.

Souffrir à ce point pour un amour qu'il n'a pas vécu mais qu'il a juste intégré dans son imaginaire foisonnant : une absurdité pour moi.
Cette femme qui le fais souffrir n'a aucune réalité, c'est une » réalité rêvée « cette Emma (un oxymore !)
Je suis effarée par ce personnage qui se détruit dans une quête sans intérêt.
Un univers sans joie au désenchantement contagieux !

J'ai donc calé à la page 220.
Avant de refermer le livre j'ai quand même lu la dernière page 281 juste pour vérifier si cet univers déprimant se prolonge jusqu'à la fin ou pas !
Et là ; bonne surprise c'est vivant (c'est le cas de le dire) et ça se termine presque comme un conte de fée (ce qui est en complète opposition avec tout ce qui précède).
J'avoue que j'ai triché en abandonnant 51 pages de ce livre lâchement en pleine conscience et sans aucun remord.
Pourquoi pas après tout !
C'est mon livre et j'ai le droit d'en faire ce que je veux avec tout le respect que je dois à l'auteur de ce livre qui m'a quand même impressionné avec certain de ces très beaux passages qui sont des vrai petits bijoux d'humour décalé!
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Derrière le livre il est écrit " Si Ionesco et Desproges avaient un fils ensemble, il s'appellerait Antoine le Guilcher ".
Faut reconnaître, c'est ce qui m'a donné envie de le lire, même si je n'y croyais pas une seconde et que cela me semblait bien présomptueux...
Et pourtant, rien n'est plus vrai ! le cynisme et l'humour de Desproges, une manière de mettre le doigt sur les travers de l'humanité en multipliant les situations burlesques et incongrus, comme Ionesco savait si bien le faire. Oui c'est bien vrai, tous les ingrédients sont réunis.
C'est déjà pas mal, me direz-vous ? Et pourtant ce n'est pas tout. En plus de tout ça, Arnaud le Guilcher impose son propre style, en ponctuant sa prose de passage poétique et touchant, qui nous font ressentir la grande sensibilité de sa plume. C'est bien simple, on peut passer du rire au larme sur la même page.
Croyez-moi, les tribulations hors du commun de ce loser magnifique, valent le détour. On suit les aventures de ce héros des temps modernes, toujours imbibé et à qui rien ne réussi, avec délectation.
Planté par sa femme, le lendemain de leur mariage avant même la fin de leur nuit de noce dans un centre de vacances ( aux pieds d'une dune qui chante, dont la mascotte est un pélican du nom de JFK ), il va se retrouver, totalement par hasard, à devoir diriger ce club où tout part en vrille, personnel et touristes confondus.
Le point de départ de cette folle histoire : un allemand quitté par sa femme qui s'est mis en tête de tourner en rond sur la plage, vingt quatre heures sur vingt quatre, et de ne rien faire d'autre en attendant son retour.
Voilà, le ton est donné, faites en ce que vous voulez. Moi, je cours chez le libraire acheter la suite : " Pas Mieux".
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"Arnaud Le Guilcher" par ci, "Arnaud Le Guilcher" par là...
A force d'en entendre parler (en bien !) partout autour de moi, il fallait bien que j'y passe à mon tour. Ben voilà c'est enfin chose faite, me voilà dépucelé et ravi !

On ne m'avait pas menti : l'humour débridé, la cocasserie des situations toutes plus invraisemblables les unes que les autres, la légèreté du ton en total contraste avec la noirceur des thématiques abordées (fiasco amoureux, abandon et solitude, suicide...), le détonnant mélange de drames et d'extravagances, la plume à la fois fringante et sensible qu'on m'avait promis, tout y est !

L'histoire en deux mots : celle d'un loser intégral (franco américain sympa mais immature), d'une déroute pleine et entière, d'une histoire d'amour qui capote dans les grandes largeurs.
Voyez plutôt. Notre "héros" épouse la sublime Emma en page 12, les tourtereaux convolent en justes noces en page 15, et la sublime Emma prend la poudre d'escampette en page 18. Coeur brisé, univers qui implose, black-out général. Notre pauvre narrateur n'aura bien sûr pas assez des 250 pages restantes pour encaisser le choc.

Qu'est-ce qui a pu pousser Emma à fuir ainsi ? Serait-ce parce que son jeune épou n'a pas trouvé de meilleure destination pour ce voyage de noces que Sandpiper, un village de vacances un peu moisi, hors-saison, n'offrant aux rares visiteurs qu'une douzaine de bungalows fatigués et des distractions tout à fait quelconques ?
A moins que ce ne soit parce que ce même jeune épou s'est rué dès les premiers instants sur le bar du camping, pour s'humecter le gosier plus que de raison en compagnie d'autres clampins dans son genre ?

Toujours est-il la belle disparait, et c'est là le point de départ d'une histoire complètement foutraque, à base de derviche tourneur allemand, de pélican maboul, de dunes mouvantes, d'orages dévastateurs et autres délires en cascade.
On pourrait croire que Le Guilcher s'est contenté d'envoyer valser le premier domino pour ensuite observer, l'oeil goguenard, la réaction en chaîne cataclysmique qu'il a provoquée.
Rien ne tient vraiment la route, c'est plein d'imperfections mais et c'est justement ça qui est chouette, fascinant comme un château de cartes branlant. L'équilibre est précaire, ça pétille, ça tangue dangereusement entre le franchement rigolo et le vraiment déprimant (toujours mâtiné heureusement de second, voire de troisième degré !).

Au milieu de ce joyeux bordel, de très jolis passages sur la douleur du manque, sur l'absence ou sur l'amitié, éclairés de métaphores souvent improbables mais ô combien efficaces.

J'ai cru comprendre que ce premier roman n'était que le galop d'essai d'un écrivain pétri de talent : je ne demande qu'à confirmer au plus vite cette théorie !
Affaire à suivre.
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Après avoir refermé ce livre, je reste partagée...Peur être en attendais je plus de légèreté?
Les dialogues, l'humour, le "déjanté" des situations et l'enchainement des catastrophes font passer un bon moment.
Mais, dans le récit, transpercent trop les regrets d'un amour perdu, un "spleen profond, et "l'obligation" de vivre sans.
Une série de gâchis amoureux et des conséquences "définitives" qui s'en suivent...Comme si après avoir "raté" et perdu" l'amour", tous les autres à venir "forcément" seront " en moins bien"....
Le dénouement, se distille rapidement, lors du récit des cauchemars que fait le héros, seul lui, ne voit rien venir.
On reste dans l'incompréhension du héros, ou de l'auteur, sur les raisons qui font qu'un jour l'autre vous quitte, même s'il vous aime....Dans ses souvenirs il n'y a que l'éblouissement d'un amour partagé....L'horizon de morosité à venir, pour finir
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