Tenus à l'écart par des décennies de silence complice, protégés par les colossales richesses d'origine douteuse qui dorment toujours dans leurs coffres, des banquiers suisses se croyaient à l'abri.
Mais la vérité a fini par filtrer : les mandarins financiers de Zurich, de Bâle et de Berne ne se sont pas contentés de s'approprier les biens des déportés : ils furent les banquiers secrets d'Hitler.
Les banques helvétiques acceptè...
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