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sur 323 notes
Si le deuxième volet de cette trilogie pouvait à la limite encore se lire indépendamment du premier, celui-ci s'avère être l'aboutissement des deux précédents. Etant donné qu'on y traque le tueur en série qui avait frappé lors du cliff-hanger du tome précédent (« Au royaume des cris »), tout en suivant en parallèle le procès de l'assassin du premier volet (« La part du démon »), il est donc finalement vivement conseillé de lire les différents tomes dans l'ordre afin de profiter pleinement de cette conclusion parfaitement maîtrisée, tout en évitant de spoiler les deux récits précédents.

« La mort dans l'âme » invite donc à traquer Urizen, ce terrible tueur en série qui sévit depuis près de 30 ans en région parisienne et qui était sorti de l'ombre après dix ans d'inactivité lors du dénouement du tome précédent. Ce maniaque qui arrache les paupières de ses victimes, tout en collectionnant leurs tétons, fait une nouvelle victime en début de récit, invitant les enquêteurs à suivre de nouvelles pistes…toujours aussi minces.

« La mort dans l'âme » permet donc de retrouver les trois personnages principaux auxquels on s'est inévitablement attaché au fil des tomes : le lieutenant Esperanza Doloria, le capitaine Manuel de Almeida, ainsi que son frère, le célèbre journaliste Cristian de Almeida. Des protagonistes qui se font à nouveau malmener par un auteur qui, malgré le rythme soutenu de l'intrigue, continue de développer leur psychologie en levant progressivement le voile sur certains événements de leurs passés. Outre les séances chez le psy d'Esperanza, le lecteur en apprendra ici beaucoup plus sur le passé des frères Almeida.

Le premier volet était déjà de bonne augure, le second s'avérait tout bonnement excellent et celui-ci est un véritable coup de coeur !

Le prochain roman de Matthieu Lecerf, récemment récompensé du « Prix Découverte » Iris Noir 2023, terminera donc inévitablement dans ma PÀL !

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La plume de Matthieu Lecerf est acérée, addictive a souhait. le roman se lit vite et bien.

Le scénario se tient dans son ensemble.
J'ai quand même a regretter que parfois l'auteur prend des raccourcis un peu abruptes, comme si il en avait assez de cette partie et donc on fait au plus vite pour passer a autre chose. Et c'est bien dommage.

Les personnages sont travaillés, sympathiques et terriblement torturés.. Après on le sait pertinemment au vu des deux tomes précédents.
J'ai été bluffée par la découverte du tueur.

Un auteur que j'aime beaucoup, malgré ces quelques défauts. J'ai lu les 3 romans de Matthieu Lecerf et j'avoue que j'y ai a chaque fois pris beaucoup de plaisir.
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« La mort dans l'âme » clôt en beauté la trilogie du démon de Mathieu Lecerf, initiée par « La part du démon » et suivie par « Au royaume des cris ». S'il est bien une série dont je vous conseille vivement de lire les différents tomes dans l'ordre, c'est bien celle-ci.

On y retrouve les personnages principaux des deux premiers livres, à savoir le capitaine Manuel de Almeida, son frère journaliste Cristian ainsi que la policière Esperanza qui vont tout tenter afin de mettre fin aux agissements du terrible tueur en série, Urizen qui sévit depuis près de 30 ans.

J'ai trouvé que c'était le tome le plus « personnel » des trois, car l'accent est mis avant tout sur l'histoire personnelle des protagonistes et le lecteur y découvrira plusieurs révélations à leur sujet.

Le rythme est toujours aussi soutenu dans l'intrigue. Véritable page-turner, le lecteur est vite embrigadé dans le récit et ne peut s'empêcher de poursuivre sa lecture pour connaître le sort réservé aux personnages et l'aboutissement ultime de la trilogie. Quant au final, je vous invite à bien vous accrocher car il se clôt en apothéose, prend aux tripes et ne vous laissera certainement pas indifférent.

Mais quelle tristesse de me dire que je ne retrouverai plus les personnages de cette trilogie. Car finalement, je m'y étais fortement attachée à ceux-ci, leurs failles les rendant encore plus humains et prenants.

Maintenant, à vite le prochain livre de Mathieu Lecerf, l'une des plus impressionnantes plumes de la littérature noire francophone. N'oubliez surtout pas ce nom!
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Tous les tueurs en série qui se respectent gardent précieusement des trophées de leurs différentes victimes afin de se souvenir de leurs actes.
On se souvient de Dexter et de sa collection de lamelles de sang.
On se rappellera dans un futur proche d'Antyryia le sectionneur d'orteils.
Ce sont deux petits joueurs comparé à Ted Bundy qui à décapité quatorze de ses victimes afin de pouvoir jouer à la tête à coiffer, brossant leurs cheveux et les maquillant comme un grand enfant un peu pervers.
"Offrez à votre enfant la Barbie Mattel a relooker. Avec cette tête à coiffer livrée avec une vingtaine d'accessoires, elle pourra jouer aux coiffeuses en herbe en laissant libre cours à son imagination."
Et puis bien sûr, il y a Urizen, un passionné de paupières et de tétons. Il est évoqué pour la première fois dans le roman Au royaume des cris, second tome de la trilogie des démons de Mathieu Lecerf.
Urizen, dieu déchu devenu démon dans l'oeuvre de l'artiste et poète britannique William Blake.
"Urizen s'était manifesté pour la première fois presque trente ans auparavant, au coeur de l'été 1991."
Une dizaine de victimes à son actif tuées en région parisienne, dont les bouts de seins sont cousus comme autant de douces médailles sur un oreiller. Et voilà qu'après dix ans d'inactivité, il est de retour avec un second meurtre consécutif : Celui de Cécilia Lévy, mannequin de son vivant, beaucoup moins jolie dans la mort.
"Anéantir quelque chose de beau."
"Son esprit est tellement détraqué que vous ne pouvez pas le comprendre, et c'est peut-être mieux ainsi."

Ça fait longtemps que les thrillers policiers ont un peu perdu de leur intérêt à mes yeux, en particulier lorsqu'il est question d'une traque de psychopathe complètement taré. C'est le cas ici, et il n'est en outre quasiment pas question d'étudier ses failles psychologiques. Sa mère abusait de lui, ce qui a probablement généré un léger court-circuit. Voir quelques extraits de ses 350 carnets répartis en milliers de feuilles manuscrites laisse à penser qu'il a effectivement un léger grain, mais Mathieu Lecerf de creuse pas ce côté essentiel dans un roman comme le tueur intime de Claire Favan.
Et pourtant, La mort dans l'âme était un régal.
Je pourrais critiquer les rebondissements totalement improbables qui ne sont là que pour mieux ferrer le lecteur ou donner des explications tirées par les cheveux. Je pourrais dire qu'il y avait peu de chances pour que Koh Lanta soit en cours de diffusion en octobre 2019 alors que l'édition "La guerre des chefs" aux îles Fidji avait commencé le 15 mars 2019. Mais je l'ai lu quasiment d'une traite avec un plaisir que je ne vais pas chercher à dissimuler, et même mettre en avant.

Surtout ne commencez pas par celui-là.
Respectez bien l'ordre de cette trilogie autour de nos deux enquêteurs : Esperanza Dolores et Manny de Almeida, et du journaliste Cristian de Almeida. Ainsi que tous les personnages qui vont graviter autour d'eux tout au long de ces mille pages, comme le hacker Gérald, le commandant Giesbert, le légiste Boissard ou encore la journaliste Camille Devese. Si chaque roman a son intrigue et ses sous-intrigues propres, ils s'enchaînent de façon réfléchie, et pour s'attacher aux personnages il est à mon avis indispensable de les connaître dès le début et non de prendre leur vie en cours de route. Il existe un fil conducteur primordial, qui donne d'ailleurs son titre au premier roman : La part du démon.
"Mais ils étaient tous habités par le pire des démons."
Une image pour dévoiler la face obscure, la tristesse, les blessures, le besoin de cruauté ou de vengeance qui anime chaque protagoniste, qu'il soit tueur ou flic.
Et puis en commençant par le second ( le moins bon à mon avis ) ou pire, La mort dans l'âme, vous vous priveriez de tout le suspense présent dans les premiers tomes en connaissant par avance une partie des trames et le nom des grands vilains.
Dans le dernier il est par exemple question du procès du principal assassin de la part du démon.
Et de toute façon, si vous n'appréciez pas le premier, vous ne serez pas conquis non plus par les suivants.
Pour ma part j'ai été sensible dès le début aux personnages comme au rythme hors normes imposé par l'auteur qui, vraiment, a su redonner un souffle à un genre qui n'en n'avait plus beaucoup selon moi.

Pour toutes ces raisons, afin d'éviter que les futurs lecteurs de Mathieu Lecerf ne veuillent à leur tour devenir des tueurs en série et me mettre en numéro 1 sur leur tableau de chasse en m'écartelant et en découpant qui plus est une partie ou une autre d'une anatomie à laquelle je tiens malgré tout, je ne peux quasiment pas en dire plus sur ce roman sous peine de trop en dire sur les précédents.
Je peux quand même vous dire que vous en saurez davantage sur le personnage de Cristian et sur ses blessures intimes, ainsi que sur la famille de Almeida dans son ensemble, puisque vous ferez connaissance de Sebastião, le père de Manny et Cris atteint d'un début d'Alzheimer.
Tel Franck Thilliez avec Sharko, Hennebelle ou Bellanger, Mathieu Lecerf n'hésitera à nouveau pas à infliger les pires atrocités à ces personnages qu'il avait pourtant déjà préalablement beaucoup malmenés.
Vous retrouverez également une vieille connaissance de "Au royaume des cris" que vous aviez peut-être oubliée ...

Alors oui, on peut toujours émettre de petites réserves sur cette tendance à l'exagération, sur l'intérêt hautement philosophique d'une telle oeuvre au-delà de cette part de ténèbres qui nous est commune.
Personnellement je préfère largement m'attarder sur mon envie frénétique de tourner les pages de ce très bon thriller policier qui vient conclure dignement cette trilogie du lauréat du prix Nouvelles Voix du polar 2022, qui n'a pas usurpé son titre !

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Bonjour Booksta,
Aujourd'hui je vous propose le nouveau livre de Mathieu Lecerf : « La mort dans l'âme ». J'ai adoré ce thriller captivant, troisième opus de la Trilogie du Démon (“La part du démon” et “Au royaume des cris”) qu'il faut suivre dans l'ordre. L'auteur nous entraîne dans une enquête complexe avec Paris comme toile de fond. Nous voilà mêlés à la poursuite d'un redoutable et monstrueux serial killer. J'ai retrouvé avec plaisir les trois personnages principaux, hauts en couleurs, attachants, aux blessures profondes. le lecteur pourra ressentir leurs émotions, souffrances et douleurs. L'intrigue est habilement construite, très rythmée, parfaitement maîtrisée, très émouvante. Rebondissements, angoisse, suspense sont au rendez-vous et ne laissent aucun répit jusqu'au final explosif. Je reste toujours séduite par la plume envoûtante de l'auteur. Cette trilogie s'achève brillamment sur un coup de coeur !
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C'est le dernier tome de la trilogie de Mathieu Lecerf et la lectrice que je suis est prête à passer à autre chose. Ce dernier titre m'a quelque peu déçue. Vraiment, je m'attendais à quelque chose de moins commun, de plus élevé. Mais bon soyons honnête j'avais bien hâte de retrouver les trois principaux personnages avec qui j'ai sympathisé tout au long de cette trilogie.
Mais le trash dès le début, ouf, je crois qu'il y a d'autres façons de décrire le laid. le convenu de ce tueur en série qui collectionne des parties de ses victimes ça m'a semblé banal et déjà vu. Pas de secret, on devine rapidement l'identité de ce tueur.
Puis, l'écriture m'a paru avoir été faite dans l'urgence. Procédé narratif facile, l'auteur m'avait fait espérer mieux avec les tomes précédents.
Bref la dernière traque de Manny, Cris et Esperanza fut essoufflante mais pas époustouflante.
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Vous qui entrez ici,abandonnez tout espoir...de sortir indemne de ce roman.
C'est impossible.
Mon ressenti,c'est parfait.
L'auteur a eu l'intelligence de reparler de "l'épouvantail" dont le procès a lieu,à la fin vous ne pourrez pas dire qu'il reste une zone d'ombre ou éprouver un sentiment d'inachevé.
En lisant les premières lignes,je me suis dis la chute va être épique!
Et quelle chute...
J'ai fini le livre en larmes (merci Mathieu! ^^)
Je peine à trouver les mots tellement la fin m'a percutée.
Les retournements de situation m'ont bousculé aussi, un notamment.
Je n'ai pas vu la fin venir,et je n'ai décidément pas les mots pour rendre justice à ce roman.
On retrouve avec plaisir notre trio,c'est difficile de leur dire au revoir mais c'est ainsi et je me dis que je relirai les 3 d'affilés pour voir si j'ai loupé des choses et me reimprégner de ces atmosphères que je trouve différentes à chaque opus.
Décidément,rien ne leur sera épargné encore une fois,c'est sadique un peu quand même!
Je n'ai qu'un conseil, prenez la main que l'auteur vous tend et plongez dans son imagination débordante.
Je suis vraiment bluffé car n'oublions pas que c'est une trilogie quand même.
Qu'il a mené d'une main de maître.
L'histoire d'amour, on en parle ou pas?
Quand ils sont ensemble,ils sont tellement beaux,touchés par la grâce,il ne faudrait pas les séparer ces 2 là,n'est ce pas?

Un grand merci à Mathieu Lecerf,je garderai Cris,Esperanza et Manny en mémoire bien longtemps.

Et je vais garder un oeil sur cet auteur donc...Hâte de le retrouver...Ça va être long j'en ai bien peur ^^
En fermant le livre,une citation m'est venue en tête "Il faut beaucoup de chaos en soi pour accoucher d'une étoile qui danse"
✨️🥰😍💖

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Coup de ♥️

Je ne sais par pour vous, mais moi, lorsque J'ADORE un livre, je peine à trouver les mots pour exprimer tout ce que j'ai ressenti en le lisant.

J'ai le sentiment de ne pas être à la hauteur des émotions, de ne pas réussir à communiquer mon engouement.

Pour moi, les coups de coeur sont les plus difficiles à chroniquer. Heureusement, ils sont assez rares (6-8 maxi dans l'année).

Qu'en est-il du dernier opus de cette trilogie de dingo ?

Verdict : 10 jours pour pondre ces quelques lignes.

10 jours de panne de lecture.

10 jours sans réussir à me plonger dans un ouvrage même d'un registre différent.

10 jours pendant lesquels j'ai pensé régulièrement à Cristian, Manny et Esperanza.

En refermant cette pépite, j'ai eu l'impression de dire adieu à des copains de vacances avec qui j'aurais vécu une intense tranche de vie.

Certes, l'histoire est dingue et addictive à souhait, en revanche elle n'a pas l'originalité qu'ont certains ouvrages, puisqu'on reste dans du pur roman policier.

La construction est très habile, mais pas au point de nous retourner le cerveau.

Alors comment expliquer un tel coup de coeur ?

La force de Mathieu Lecerf c'est ses personnages. Ils sont d'une authenticité si rare, qu'ils continuent de nous hanter à l'issue de la lecture. Ils sont vrais, humains, profonds.

On perçoit de l'auteur dans chacun d'eux, on sent qu'il s'est nourri de son vécu personnel pour les construire.

L'histoire d'amour qui colore cet opus ravira de nombreux lecteurs. Moi, je la redoutais tant je déteste les romances. Pourtant elle m'a touchée.

Si comme moi les trucs « love love » vous rebutent, pas d'inquiétude, ici ça passe crème ! Il y a tout de même de nombreuses paupières arrachées et des tétons sectionnés, d'horribles meurtres perpétrés par Urizen, un serial killer bien dérangé du ciboulot.

Ce roman peut se lire seul (comme un one shot), mais je vous recommande néanmoins de lire la trilogie dans l'ordre. Comme un cycle de vie, il clôture parfaitement le fond d'une histoire qui commence dans « La part du démon » en emboitant toutes les pièces d'un puzzle visible uniquement pour les lecteurs ayant lu les deux précédents tomes.

Si j'ai été moins emballée par « Au royaume des cris » , je trouve qu'il prend tout son sens à la lecture de « La mort dans l'âme ».

Mathieu Lecerf m'a dit une fois : « j'ai écrit les deux premiers pour écrire celui-ci ». Je comprends désormais pourquoi.

Il m'apparaît un évident parallèle avec la vie personnelle de l'auteur.

Un passé quelque peu tumultueux par moments mais désormais révolu, une période qui se clôture par son récent mariage en même temps que s'achève sa trilogie et qu'il dit au revoir aux personnages qui l'ont accompagné durant 10 ans.

Je déteste tout ce qui est mièvre, mais ça ne l'est pas. C'est juste beau, fort et émouvant.

J'ai refermé ce livre en pleurant, après avoir été incapable de le poser.

Un roman qui se dévore, qui prend aux tripes et fout la chiale, pour moi c'est un énorme coup de coeur.

Lisez Mathieu Lecerf, il a tout des grands auteurs qui écrivent des ouvrages indélébiles.

Lien : https://livrite.fr/la-mort-d..
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Une fois n'est pas coutume, je suis la série de Mathieu Lecerf depuis le premier tome. Je possède tous les éléments des enquêtes et toutes les subtilités des personnages principaux. C'est donc avec une grande joie que j'ai débuté cette lecture aux côtés de Esperanza, Cristian et Manny.

A la fermeture de la dernière page, ce troisième opus donne une impression de maîtrise. Là où les précédents avaient tendance à partir dans tous les sens, cet épisode fait preuve d'une sobriété qui canalise l'énergie. L'intrigue est recentrée dans un seul objectif, les protagonistes vont dans la même direction. J'ai senti que l'auteur avait pris confiance en son talent, en se dispensant d'artifices. Il a décidé d'aller à l'essentiel, ce qui évite au texte de s'éparpiller. le résultat s'en ressent. Il dégage une efficacité terrible qui ne faiblit pas au fil des chapitres et qui nous tient en haleine en permanence.

Sur le fond, les acteurs principaux sont toujours aussi intéressants. Après les différents volumes, leurs personnalités et leurs relations se sont étoffées. Ils nous apparaissent comme familiers. On est empathie avec eux et on est touché par leurs histoires intimes. Cette ultime mission met tout le monde sous pression. le lecteur subit lui aussi le suspense qui monte crescendo, sur un tempo élevé. le déroulement des évènements ouvre la porte à de multiples pistes. le mystère reste entier à chaque nouveau rebondissement. L'auteur met en oeuvre une mécanique parfaitement huilée et on reste scotché jusqu'au dénouement surprenant qui clôture avec brio l'aventure. En peu de temps, Mathieu Lecerf a fait une entrée remarquée dans le monde du thriller. Il s'est très vite approprié les subtilités du genre, pour créer sa propre recette. Sa première trilogie est une réussite et laisse augurer une belle carrière, que je me ferai un plaisir de suivre de près !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Dernier tome de la trilogie... Beaucoup de tristesse de quitter ces personnages, quitter cette aventure. Dans ce volet, on découvre l'histoire enfouie de la famille de Almeida mais pas que bien sûr. J'ai avalé ce 3ème opus avec avidité, peut-être aurais-je dû prendre mon temps pour faire durer...
Je me sens un peu orpheline...
Bonne lecture à tous et pour Mathieu LECERF... Au boulot pour ne pas vous endormir sur vos lauriers 😉😇 Mille mercis !!!!!
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