Je crois profondément en ce langage essentiellement visuel qu’est le cinéma et j’irai jusqu'à dire qu’un bon film doit pouvoir être compris par les spectateurs même s’ils ne connaissent pas un mot de la langue originale. Cela ne veut pas dire que nous ne devrions tourner que des films muets…Au contraire, il me semble que je me préoccupe autant de parvenir à un équilibre entre la musique, le son et les paroles que de l’image elle-même.
1796 - [p. 116] Notes sur The Servant, de Joseph Losey