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Ce tome 5 intitulé "Message pour l'éternité" est au clairement au sein de la saga un de ceux que j'aime le moins, et pourtant il démarre très bien…
Suite à de fortuites rencontres l'héroïne est recrutée par le Major Dundee en tant que pilote d'aéroplane pour une périlleuse mission, et cela ne plaît pas du tout au dénommé Stevens qui a été évincé parce que sa concurrente qui surveille sa ligne ne pèse que 50 kilos… Intimidation, sabotage, tentatives de meurtres et d'enlèvements : on est dans le cahier des charges du récit d'espionnage vintage et l'auteur pousse le vice jusqu'à fait de chouettes emprunts au film jamesbondien "Goldfinger" ! Il faut atteindre un lieu reculé himalayen d'où provient un mystérieux message de détresse envoyé en 1933, et Yoko s'entraîne d'arrache pied en simulateur avant de se lancer dans la réalité… le milieu du récit est ainsi très technique, voire assez aride… ACHTUNG ZONE SPOILERS Puis ensuite on a un cratère géant, une météorite magnétique qui enregistre les messages radios et qui les diffusent à chaque fois qu'elle est touchée par la foudre, mais aussi les ruines d'une civilisation disparue, un survivant en mode Robinson Crusoë, un baroudeur espion qui fait son retour pour jouer des mauvais tours, et des singes qui se prosterne devant un monolithe noir (ça alors ! ^^)… Je ne sais pas à quel point précisément cela « jump the shark », mais Yoko craque, et quelque part moi aussi ! L'épilogue montre une fois de plus toutes les qualités humaines de Yoko, mais au final on ne saura jamais quels étaient ces précieux documents secrets que l'intelligent service britannique voulait récupérer à tout prix, quitte à se fâcher avec la Russie, la Chine, l'Inde et le Pakistan, et que les autres puissances voulaient récupérer elles aussi pour lui damner le pion… Nous sommes bels et bien en présence d'un pur MacGuffin ! (un objet mystérieux qui n'existe que pour faire avancer l'intrigue, parfois complètement artificiellement)
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Je préfère les albums de Yoko Tsuno[1] qui tournent autour de la science-fiction (voyages dans le temps, les vinéens). Ce n'est pas l'album qui me plaît le plus. Pourtant, je l'ai lu plusieurs fois lorsque j'étais jeune. Ce cinquième tome montre à nouveau les capacités d'adaptation de l'héroïne. Tournant autour du thème de l'espionnage, « Message pour l'éternité » présente une Yoko Tsuno agent secret qui va essayer de mener à bien sa mission, tout en déjouant les sabotages.
[...]
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Comme d'habitude, jusqu'à présent, le scénario est suffisamment complexe pour être intéressant, suffisamment documenté pour être crédible et avec des personnages suffisamment creusé pour être apprécié. Si je devais trouver un point faible, ce serait, selon moi, l'explication de ce message pour l'éternité. Alors oui, c'est expliqué, scientifiquement habillé mais... je lui trouve un petit air d'inachevé, de trop court pour être satisfaisant. C'est tout de même la cause même de cette aventure, du titre même du tome et sur ce point, j'ai comme un manque. Mais, je le répète, je pinaille, et dans son ensemble, scénario et dessin (qui gagne encore en précision) font de cet album un délice de plus!
A lire et.... au suivant!
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Un grand récit d'aventure, au rythme soutenu et blindé d'incohérences, comme il se doit dans les récits d'aventure pour ados. Par exemple, Yoko Tsuno est recrutée par l'Intelligence Service pour piloter un planer high tech, accolé à un avion qui va voler dans la stratosphère... et qui sera piloté par Vic et Pol qui reçoivent une formation de 15 jours... Mentionnons les babouins domestiqués, ou le cratère magnétisé, et le final en happy end...

Le but de la mission confiée à Yoko est de retrouver d'importants documents perdus dans un avion qui s'est abîmé dans un cratère aux confins de l'Afghanistan, du Pakistan, de la Russie et de la Chine. Roger Leloup ne ménage pas ses efforts pour les lignes épurées des avions, pour la complexité du centre de télécommunications spatiales de Plomeur-Bodou, pour les paysages qu'ils soient verdoyants ou arides... Et il ne ménage pas non plus les explications exhaustives et longues, très exhaustives et très longues. On se croirait dans du Blake et Mortimer... (humour)

On découvre une Yolo Tsuno athlétique (on le savait), souriante, avec de l'humour, de la répartie et un altruisme assez poussé (même si elle demande à Vic de balancer un extincteur dans le pare-brise d'une voiture qui les tamponne).

Leloup, considérant visiblement qu'il n'y a pas assez de "matière", rajoute plusieurs couches... de l'espionnage, du James Bond, un brin d'éthologie, quelques couches de géologie, etc. Il n'y a pas de temps mort. Même dans les commentaires et dans les dialogues. Chez Roger Leloup, une case semble ne pas se suffire à elle-même. Il faut un commentaire. On compte sur les doigts des deux mains les case sans texte ou dialogue.

Côté dessins, je l'ai signalé, c'est fort soigné. On a encore quelques têtes disproportionnées, mais c'est beaucoup mieux qu'avant.

Globalement, un tome que j'aime bien malgré les incohérences. On a les basiques des aventures de Yoko Tsuno. Roger Leloup positionne son héroïne (qui se détache du trio) de manière très originale.
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Pour « Message pour l'éternité », Yoko se transforme en James Bond : elle évite les balles, fait des courses poursuite en voiture et part en mission aux frontières de la Chine, de la Russie et de l'Afghanistan à la recherche d'un avion de 1933 contenant des documents secrets britanniques...
Mais l'hommage de Leloup au héros de Fleming s'arrête là : il n'y a ni « Yoko Tsuno Boys » ni comique de situation. C'est même au contraire une aventure plutôt sombre. Yoko « craque » pour la première fois et les personnages qu'elle rencontre ont peu de scrupules. Jusqu'à John Smith, le seul survivant de l'avion, qui après quarante ans isolé avec des singes, a perdu les notions de bien et de mal.
L'auteur et dessinateur signe ici une histoire plus adulte et plus noire, dépassant le cadre habituel de l'aventure romanesque.
Personnellement, cette BD m'amène à réfléchir et à méditer sur les mathématiques et aux courbes exponentielles : acheté en juillet 1984 dans un magasin Euromarché, « Message pour l'éternité » coûtait alors 30 francs 40, soit 4 euros 57... le message est éternel, mais pas le prix...
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Je continue ma (re)découverte de Yoko Tsuno. Ici, pas de SF façon space-opera, mais plutôt une histoire plausible, expliquée scientifiquement. J'avoue n'avoir pas passé un moment inoubliable, contrairement à certaines autres histoires de Yoko, mais la lecture restait agréable.

Le dessin est encore un peu moyen, par rapport aux tomes qui suivront (avec ma manie d'alterner intégrales et tomes individuels, les niveaux fluctuent !), et je dois bien avouer que j'ai trouvé les singes très laids. Mais pour autant, je continue avec plaisir l'exploration des aventures de Yoko Tsuno (qui sait donc à peu près tout faire) !
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Le dessin remarquable de R. Leloup est toujours au rendez-vous, avec son extrême finesse et sa grande précision. On a atteint la belle période du dessin également en ce qui concerne les personnages. Les visages sont fins (sauf Pol qui conserve de grands yeux "cartoonesques") et les silouettes bien représentées.

L'histoire est toujours un très bon dosage entre la science et la fiction, avec un petit bonus d'histoire et de nostalgie des vieux appareils qui vient colorer ce récit. le caractère de Yoko s'adoucit et les dialogues sont moins péremptoires à sens unique : on entame vraiment l'âge d'or de la série avec cet album.
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Nous retrouvons Yoko pour de nouvelles aventures : une mission délicate mélangeant différents pays qui ne s'entendent pas tous très bien, pour récupérer un avion datant de la seconde guerre mondiale et des papiers top secrets.
Ce n'est pas mon volume préféré, mais celui-ci est nettement plus sombre au niveau de l'intrigue et de la psychologie des personnages. Pour la première fois, on y voit Yoko qui pleure de désespoir...
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Dans cet album, Yoko va voyager tout en aidant des britanniques à récupérer des documents des services secrets, datant des années 1930. Alliant perspicacité, courage et inventivité, elle va tout faire pour essayer de les récupérer, même frôler la mort.

Yoko, n'étant pas une fille potiche, arrive toujours à se débrouiller même sans ses acolytes et à résoudre tous les mystères qui s'offrent à elle :-)
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le 5eme tome de cette saga qui allait devenir si célèbre. 1978, vu l'histoire nous sommes en plein science fiction. un genre qu'adore l'auteur. Yoko qui decidement sait tout faire, se retrouve entraînée dans une histoire d'avion à récupérer dans un endroit impossible. Bien entendu elle entraînera avec elle Vic et pol devenus en qq semaines pilotes d'avion super sophistiquer. nous sommes dans une BD.
Ma soeur m'a avouer que petite elle pensait qu'elle deviendrait comme yoko....et nous trouvions ces tenues hyper moderne, nous aurions aimé nous habiller comme elle.
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Thème : Yoko Tsuno, tome 1 : Le trio de l'étrange de Roger LeloupCréer un quiz sur ce livre

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