Ce sont les poèmes de « la moitié du chemin », selon la référence à Dante.
JavierLentini, catalan d’expression castillane, chirurgien, homme de culture, infatigable traducteur, s’y arrête un instant, entre les jeux subversifs de son Musée de Masques (1981) et le lyrisme de La Dernière Île (1989). Instant de méditation et d’ironie, dialogue avec les lumières et les voix d’une vie, que marquent, non sans baroquisme, les maximes et paroles que le poète se doit ...
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