" Nous allons causer! " Je vous ai fait venir " pour causer ". Nous sommes sur les lieux du crime ; eh bien, de quoi causerions-nous si nous ne causions pas du crime ? Parlons-en donc! Parlons-en avec abondance, avec intelligence, ou avec stupidité. Disons tout ce qui nous passera par la tête! Parlons sans méthode, puisque la méthode ne nous réussit point. J'adresse une fervente prière au dieu Hasard, le hasard de nos conceptions! Commençons!...
Tout est bizarre, dans cette affaire, mon ami, mais croyez bien que le bizarre que vous, vous connaissez n'est rien à côté du bizarre qui vous attend!
la raison a deux bouts : le bon et le mauvais. Il n'y en a qu'un sur lequel vous puissiez vous appuyer avec solidité : c'est le bon. On le reconnaît à ce que rien ne peut le faire craquer, ce bout-là, quoi que vous fassiez ! Quoi que vous disiez !
Le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat...
Avocats criminels et journalistes ne sont point ennemis, les uns ayant besoin de réclame et les autres de renseignements.
Le presbytère n’a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat !
L'homme qui est venu la m'aura tout pris... Ma fille et mon œuvre...Mon coeur et mon âme...
Plus nous croyons savoir quelque chose, plus nous ne savons rien !
Moi aussi je me suis penché sur le "traces sensibles", mais pour leur demander uniquement d'entrer dans le cercle qu'avait dessiné ma raison. Ah! bien des fois le cercle fut si étroit, si étroit ... Mais si étroit était-il, il était immense puisqu'il ne contenait que la vérité!... Oui, oui, je le jure, les traces sensibles n'ont jamais été que mes servantes...elles n'ont point été mes maîtresses... Elles n'ont point fait de moi cette chose monstrueuse , plus terrible qu'un homme sans yeux : un homme qui voit mal!