On saute allègrement d'une invraisemblance à une autre invraisemblance, censée nous faire rire : ce n'est pas sérieux, quoique de temps à autre Levy tente de nous amener vers le tragique, en faisant par exemple mourir un enfant sur une table d'opération. Alors, Grand Guignol ou roman naturaliste ? Il faut choisir, sinon le pauvre lecteur, il ne sait plus où il en est ! et il décroche, fatalement.
Je n'ai pas aimé non plus comment Levy joue sur des ficelles comme dans «
Mes amis, mes amours », on prend deux célibataire (ou divorcés), deux grands amis qui passent le temps à s'engueuler. Reprendre des ficelles de ce type, ce n'est pas très sport. Faut laisser parler son imagination !
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