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Critique de Marti94
J'adore Michaël Lonsdale parce que c'est un acteur qui a beaucoup joué avec Marguerite Duras au théâtre et au cinéma. Pour moi il est à l'image du personnage qu'il joue dans « India song » : le vice-consul élégant dans son costume blanc.
Lui qui a appris le français tardivement et qui ne maîtrise pas parfaitement l'écrit (c'est lui qui le dit) à quand même eu envie d'écrire ce livre, autobiographie originale qui se base sur ses témoignages. Il appelle cela des "Visites".
Il ne cherche pas à être exhaustif mais raconte son vécu avec l'aide de Valérie Marin la Meslée.
Ce sont des visites comme des portes ouvertes et des rencontres qui lui vont bien, lui qui aime son prochain. Il parle de la foi et de Dieu qui est pour lui l'amour de tous.
Bien que je ne partage pas ses croyances j'ai aimé la façon dont il évoque son rapport à la religion.
Il a pour livre de chevet les vagues de Virginia Woolf, et je partage son admiration pour l'auteure anglaise. J'en ai également profité pour regarder « Snobs » de Jean-Pierre Mocky qui lui a donné son premier rôle important au cinéma en 1961 (et ce ne sera qu'un début).
Mais ce qui m'a le plus intéressée c'est sa spéciale dédicace à Samuel Beckett et surtout à Marguerite Duras. C'est pour cela que j'aime cet acteur unique qu'est Michael Lonsdale : homme de théâtre et de cinéma il est avant tout un comédien durassien pour moi.
Il raconte des anecdotes de tournage, la façon dont ils faisaient les enfants ensemble et sa grande complicité malgré les blasphèmes de Duras.
Sans oublier qu'il est peintre car la peinture est sa vocation première.
J'ai eu le sentiment de jubiler de toutes ces visites dont l'intérêt va crescendo pour se terminer sur un éloge de la lecture à voix haute et de l'importance de la voix. Je partage totalement.
Lui qui a appris le français tardivement et qui ne maîtrise pas parfaitement l'écrit (c'est lui qui le dit) à quand même eu envie d'écrire ce livre, autobiographie originale qui se base sur ses témoignages. Il appelle cela des "Visites".
Il ne cherche pas à être exhaustif mais raconte son vécu avec l'aide de Valérie Marin la Meslée.
Ce sont des visites comme des portes ouvertes et des rencontres qui lui vont bien, lui qui aime son prochain. Il parle de la foi et de Dieu qui est pour lui l'amour de tous.
Bien que je ne partage pas ses croyances j'ai aimé la façon dont il évoque son rapport à la religion.
Il a pour livre de chevet les vagues de Virginia Woolf, et je partage son admiration pour l'auteure anglaise. J'en ai également profité pour regarder « Snobs » de Jean-Pierre Mocky qui lui a donné son premier rôle important au cinéma en 1961 (et ce ne sera qu'un début).
Mais ce qui m'a le plus intéressée c'est sa spéciale dédicace à Samuel Beckett et surtout à Marguerite Duras. C'est pour cela que j'aime cet acteur unique qu'est Michael Lonsdale : homme de théâtre et de cinéma il est avant tout un comédien durassien pour moi.
Il raconte des anecdotes de tournage, la façon dont ils faisaient les enfants ensemble et sa grande complicité malgré les blasphèmes de Duras.
Sans oublier qu'il est peintre car la peinture est sa vocation première.
J'ai eu le sentiment de jubiler de toutes ces visites dont l'intérêt va crescendo pour se terminer sur un éloge de la lecture à voix haute et de l'importance de la voix. Je partage totalement.
